Chers amis, bonjour.
Permettez-moi de faire deux remarques essentielles à propos de la notion de "race" dans ce phénomène socio-juridique qu'on appelle le "racisme", la première se situe sur le plan de l'objectivité même de la notion de "race", et la seconde se situe sur le plan de la référence et du système de valeur y étant établi :
-1] toute la réalité à la base de laquelle se trouve cette notion de "race" se résume à la seule réalité pénale que l'on désigne par le "racisme", à la notion de "race" n'est liée aucune réalité positive, la "race" n'est jamais évoquée dans un contexte positif. Normal me diriez-vous puisque cette notion ne représente aucune valeur sociale, on ne l'utilise que négativement quand il ne s'agit de l'appliquer qu'à un délit et principalement à la victime, son actualité est toujours liée à une réalité délictuelle. Cela devrait nous aider, ou du moins nous inciter, à définir la psychologie et mieux comprendre la criminogéneité de l'usage officiel du mot "race", qui semble vraisemblablement servir de "légitimation" pour le délit qu'il couvre dans la mesure où il lui fournit un support pseudo signifiant. Et encore une fois, si le mot "race" doit être banni de la circulation ce n'est pas parce qu'il aurait un sens socialement inacceptable mais bien parce qu'il n'a aucun sens, il est totalement insignifiant, c'est un mot vide de toute signification, et c'est notamment sur ce vide que le droit repose la saisie des faits. Je rappelle que le mot « race » vient du latin « ratio » qui signifie raison, la "race" des femmes était entendue comme étant la raison des femmes, la "race" des gentils est elle aussi entendue comme étant la raison des gentils, et ainsi de suite, et la "race" en ce qui concerne la délinquance qui nous intéresse est non pas la raison du sujet mais la raison de l'acte délictuel du sujet délinquant.
-2] enfin bref, toujours est-il que dans tous les discussions sur le racisme on met systématiquement la négativité de la problématique du côté de la victime au lieu de la mettre du bon côté, c'est à dire du côté du sujet coupable, ce qui bizarrement semble faire problème c'est toujours la différence que présenterait la victime par rapport au sujet raciste tenu pour référentiel et jamais la différence du sujet raciste en rapport à une subjectivité normale, celle du sujet de droit. Je souligne l'importance du référentiel des subjectivités mises en jeu dans la problématique du racisme qui est le principe du Tiers Normatif, et Dieu sait quelle est la valeur structurante de ce référentiel aussi bien au niveau des normes psychologiques du sujet que sur le plan des lois physiques de l'univers. Pourquoi, Bon Dieu, à chaque fois qu'on parle de "racisme" on ne fait que dépeindre ces différenciations morphologiques qu'on fait porter à la victime en prenant toujours soin d'éviter d'évoquer la réalité monstrueuse de l'imposture ontologique qui gît au fond du problème ? La "différence" dont il est question dans le "racisme" est toujours sous entendue portée par la victime et jamais par le coupable, et c'est ici même que l'on se rend compte de l'instrumentation de ce phénomène du racisme et de la manipulation de ses victimes dans une visée purement ontologique voire religieuse, question de peuple élu et, par conséquence logique, de peuple déchu, rescapé de la sainteté. Avec ce phénomène du "racisme", on fait une pierre deux coups, on transpose sur le champ du rationnel la déraison du délit, et on pérennise cette déraison même sur la base de ces délits, on n'est pas très loin de la psychologie du sacrifice humain chez les païens.
Cordialement, Mezghenna.
Permettez-moi de faire deux remarques essentielles à propos de la notion de "race" dans ce phénomène socio-juridique qu'on appelle le "racisme", la première se situe sur le plan de l'objectivité même de la notion de "race", et la seconde se situe sur le plan de la référence et du système de valeur y étant établi :
-1] toute la réalité à la base de laquelle se trouve cette notion de "race" se résume à la seule réalité pénale que l'on désigne par le "racisme", à la notion de "race" n'est liée aucune réalité positive, la "race" n'est jamais évoquée dans un contexte positif. Normal me diriez-vous puisque cette notion ne représente aucune valeur sociale, on ne l'utilise que négativement quand il ne s'agit de l'appliquer qu'à un délit et principalement à la victime, son actualité est toujours liée à une réalité délictuelle. Cela devrait nous aider, ou du moins nous inciter, à définir la psychologie et mieux comprendre la criminogéneité de l'usage officiel du mot "race", qui semble vraisemblablement servir de "légitimation" pour le délit qu'il couvre dans la mesure où il lui fournit un support pseudo signifiant. Et encore une fois, si le mot "race" doit être banni de la circulation ce n'est pas parce qu'il aurait un sens socialement inacceptable mais bien parce qu'il n'a aucun sens, il est totalement insignifiant, c'est un mot vide de toute signification, et c'est notamment sur ce vide que le droit repose la saisie des faits. Je rappelle que le mot « race » vient du latin « ratio » qui signifie raison, la "race" des femmes était entendue comme étant la raison des femmes, la "race" des gentils est elle aussi entendue comme étant la raison des gentils, et ainsi de suite, et la "race" en ce qui concerne la délinquance qui nous intéresse est non pas la raison du sujet mais la raison de l'acte délictuel du sujet délinquant.
-2] enfin bref, toujours est-il que dans tous les discussions sur le racisme on met systématiquement la négativité de la problématique du côté de la victime au lieu de la mettre du bon côté, c'est à dire du côté du sujet coupable, ce qui bizarrement semble faire problème c'est toujours la différence que présenterait la victime par rapport au sujet raciste tenu pour référentiel et jamais la différence du sujet raciste en rapport à une subjectivité normale, celle du sujet de droit. Je souligne l'importance du référentiel des subjectivités mises en jeu dans la problématique du racisme qui est le principe du Tiers Normatif, et Dieu sait quelle est la valeur structurante de ce référentiel aussi bien au niveau des normes psychologiques du sujet que sur le plan des lois physiques de l'univers. Pourquoi, Bon Dieu, à chaque fois qu'on parle de "racisme" on ne fait que dépeindre ces différenciations morphologiques qu'on fait porter à la victime en prenant toujours soin d'éviter d'évoquer la réalité monstrueuse de l'imposture ontologique qui gît au fond du problème ? La "différence" dont il est question dans le "racisme" est toujours sous entendue portée par la victime et jamais par le coupable, et c'est ici même que l'on se rend compte de l'instrumentation de ce phénomène du racisme et de la manipulation de ses victimes dans une visée purement ontologique voire religieuse, question de peuple élu et, par conséquence logique, de peuple déchu, rescapé de la sainteté. Avec ce phénomène du "racisme", on fait une pierre deux coups, on transpose sur le champ du rationnel la déraison du délit, et on pérennise cette déraison même sur la base de ces délits, on n'est pas très loin de la psychologie du sacrifice humain chez les païens.
Cordialement, Mezghenna.
Commentaire