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Fiscalité et kabylie ou l'odieux ethnicisme !

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  • Fiscalité et kabylie ou l'odieux ethnicisme !

    encore un sujet sur la kabylie ?? rassurez vous apres je parlerais d'autre chose !

    mais je tiens à attirer votre attention sur des faits pour le moins choquant !
    sur la base de chiffres qui selon toute vraisemblance sont justes, nous constatons que la "region" de kabylie a été et est peut-etre toujours victime d'un racket fiscal audieux !


    "...Cette lourde imposition et l’absence de meilleures conditions politiques et sécuritaires ne peuvent pas créer un dynamisme économique à même d’attirer les investisseurs. Nos interlocuteurs trouvent anormal que la wilaya de Tizi Ouzou verse plus d’impôts qu’elle ne reçoit en termes de subventions. Classée zone déshéritée, Tizi Ouzou participe à raison de 10% du budget de l’État. La wilaya de Tizi Ouzou, en terme de chiffres, participe avec plus de 170 milliards en imposition fiscale, alors que son budget d’équipements et de fonctionnement c’est à peine s’il dépasse les 100 milliards....Même l’engagement du wali de Tizi Ouzou pris, lors d’une rencontre de l’observatoire de l’investissement en avril dernier, pour sensibiliser le Chef du gouvernement concernant les préoccupations des opérateurs privés et publics, a fondu comme neige au soleil. "Quand des zones d’activité ne sont pas viabilisées, quand les routes sont barrées à cause des émeutes répétitives, il n’y a pas de place à l’investissement. Nous avons été fortement pénalisés ces trois dernières années", avoue un industriel qui requiert l’anonymat. Ce dernier a été contraint de délocaliser son entreprise pour ne pas mettre la clef sous le paillasson. Et il n’est pas le seul à avoir "déménagé" en dehors de la wilaya de Tizi Ouzou. Ils ont subi de terribles manques à gagner. Mais leur départ vers d’autres wilayas (Alger, Blida et Boumerdès la plupart des cas), a laissé des bataillons de nouveaux chômeurs sur le carreau. Une situation qui a généré de nouveaux comportements sociaux. Le tout est couronné par un pourrissement "ambiant" auquel pousse vulgairement le pouvoir pour des visées bassement politiciennes...."

    (source : le matin 17/11/03)


    j'aimerais savoir ce que vous en pensez, d'avance merci pour les contributions serieuses.

  • #2
    ferhat meheni que l'on peut ne pas aimé avait declaré à algeria-watch :

    "Croire que c’est le Trésor qui nourrit la Kabylie est une hérésie. La contribution de la Kabylie à la fiscalité nationale est la plus importante de toutes les régions. Le taux de recouvrement en Kabylie avoisine les 100 % alors qu’ailleurs c’est déjà un record d’atteindre les 25 %. En 2000, les wilayas de Tizi Ouzou et de Béjaïa ont versé au Trésor 18 milliards de dinars. Et quelle est la part qui leur a été retournée? 300 millions de dinars par wilaya. Faites le compte! […]"


    peu importe que ce soit lui qui l'ait dit ! là encore ces chiffres meme si ils sont à examiner semblent confirmer ce que dit la chambre de commerce djurdjura !


    important :
    j'espere que personne ne deviera le sujet vers une polemique tournant autour du mak et de ce genre de truc ! je connais des personnes de profil algeriannistes qui font le meme constat ...

    Commentaire


    • #3
      Marasme et désinvestissement
      Les temps sont durs en Kabylie
      Le jeudi 20 février 2003.

      Il n'existe qu'un seul Office de promotion de l'investissement (OPI) en Algérie. Créé en 1990, il se trouve dans la wilaya de Tizi Ouzou. De même qu'un observatoire de l'investissement, mis en place en mai 2000. Ainsi qu'une cellule de suivi de l'investissement, créée en novembre de l'année dernière.
      Ces structures ne sont que la deuxième génération des instruments mis en place par les autorités successives de la wilaya de Tizi Ouzou pour promouvoir l'investissement et garantir la relance économique, c'est-à-dire la création de richesse et d'emploi.
      Précédemment, l'on a vu naître l'Office de gestion des zones d'expansion touristique (Ogzet), dissous en 1992, quelque temps après lui avoir construit un siège en préfabriqué. Quant à l'Office de gestion des zones d'activité (OGZA), il a simplement pris la nouvelle dénomination de l'OPI. A cette inflation de sigles a été bien entendu ajouté le Calpi (Comité d'assistance, de localisation et de promotion de l'investissement), qui, il est vrai, existe dans toutes les wilayas du pays depuis 1994. Quel est le bilan de ce formidable dispositif d'établissements et d'administrations dont le point commun est la volonté de favoriser la création de l'emploi et de la richesse ? Le Calpi livre le bilan de ses activités. Depuis sa mise en place en 1994, ce comité, présidé par le secrétaire général de la wilaya et regroupant les membres de l'exécutif concernés par le secteur économique, a reçu au total 1021 dossiers d'investissement. En bout de course, le nombre de PME-PMI créées est de 26, duquel il faut soustraire au moins une « entreprise », puisqu'il s'agit d'un simple centre commercial. Un projet sur quarante est donc arrivé à la mise en service effective. Il faut noter que la moitié des projets déposés a été classée sans suite.

      Les chiffres de l'administration
      Sur les 1021 dossiers desquels le Calpi a accusé réception, 971 ont été examinés, 429 ont reçu l'agrément et 472 ont été rejetés. A noter que 43 projets relevant du secteur du tourisme ont été mis en instance, en attendant le transfert des terrains d'assiette situés en zone d'expansion touristique au profit de l'Agence nationale de développement du tourisme (ANDT). Cette agence a engagé, nous a-t-on indiqué, des bureaux d'études pour l'aménagement d'une partie de ces zones, qui sont au nombre de huit dans la wilaya de Tizi Ouzou.
      Toutes côtières, les ZET sont aujourd'hui, treize ans après leur délimitation dans un décret officiel, vierges de toutes infrastructures à vocation touristique, mais touchées en revanche par le phénomène des constructions illicites.
      Le Calpi indique que les 26 projets qui ont vu le jour ont permis la création de 1184 emplois. Ce dernier chiffre reste « théorique », puisqu'il s'agit du décompte effectué sur les fiches initialement déposées par les promoteurs. Entre les données prévisionnelles mentionnées dans les dossiers et la réalité de l'activité, il y a en général une différence assez sensible. Ce phénomène de décalage s'explique par le fait que les opérateurs ont conscience que l'administration est plus prompte à donner son agrément à un projet où la promesse de création d'emploi est significative. L'OPI, qui a reçu 19 entreprises dans ses zones d'activités, n'annonce approximativement que quelque 200 emplois créés. Les 429 projets qui ont reçu l'agrément du Calpi promettent, à titre indicatif, la création de 12 253 emplois. Le coût global de ces projets est de 80 milliards de dinars. Leur répartition par secteur d'activité montre une prédominance pour l'industrie (254 projets), 39 relèvent de l'agriculture, 25 du tourisme et de l'artisanat (hors ZET), 39 du BTPH, 52 projets du commerce, et 20 sont classés dans le chapitre « autres services », qui peut être de la promotion immobilière ou autre créneau à forte plus-value. La même répartition est observée dans les unités opérationnelles. Sur les 26 dénombrées, 23 relèvent du secteur industriel, lui-même dominé par l'agroalimentaire, deux unités classées dans l'agriculture (huileries), et le centre commercial qui a pu convaincre de son opportunité le comité technique de la wilaya. La mission principale de ce dernier est l'affectation du terrain devant accueillir le projet de réalisation. Ainsi, pour les 429 agréments délivrés, il y a eu 320 affectations dans les zones d'activité acquises par l'OPI, 30 dans des terrains domaniaux, 70 en zones d'activité communales, gérées par les agences foncières, et 6 dans les terrains appartenant à l'Urbab, basée à Blida mais possédant des terrains à Tizi Ouzou.
      Le Calpi ne manque pas de noter dans son bilan que 45 entreprises sont en cours de réalisation, sans pouvoir donner le taux d'avancement des travaux.

      D'annulations en désistements…
      Elles sont toutes du secteur industriel, 45 projets en cours de réalisation sur 429 qui ont reçu l'agrément du Calpi, avec affectation de terrain, cela représente le taux très faible de 10 % de mise en route des investissements. Créé en 1990, en activité depuis 1992, l'OPI (statut Epic, établissement public à caractère industriel et commercial), dont le conseil d'administration est présidé par le wali, est encore en train de chercher les milliards nécessaires à la viabilisation (eau, route, énergie, téléphone) des dix zones d'activité (1,5 million de m2) acquises auprès des Domaines, 259 investisseurs potentiels ont signé des contrats de réservation des terrains d'assiette, 156 dossiers de permis de construire ont été déposés, 108 délivrés, et 75 projets sont en cours de réalisation, 19 entreprises sont entrées en activité, à tendance agroalimentaire, et une moyenne de dix postes d'emploi chacune. Les 259 promoteurs, qui ont « maintenu l'idée d'investir », promettent de créer au total 6200 emplois. Les 15 milliards de centimes engrangés par l'office dans la cession de terrains aux investisseurs ont été injectés dans les travaux de viabilisation des zones d'activité. Les banques refusent poliment les demandes de financement, n'ayant pas l'habitude d'accorder des crédits pour la réalisation des amenées de réseaux primaires sur des terrains nus.
      La wilaya, qui a créé l'office, a débloqué une seule subvention, consistant en la réalisation du siège de l'établissement en 1992. Le programme national de réhabilitation des zones industrielles, engagé en 1999, a alloué à l'OPI deux enveloppes de deux et trois milliards de centimes comme soutien aux travaux ayant eu lieu dans les zones de Oued Aïssi et Draâ Ben Khedda. Contribution modeste, si l'on considère les budgets nécessaires pour rendre ces zones en état de recevoir des installations industrielles. Le directeur de l'OPI regrette l'attitude qui a prévalu pendant dix ans au niveau des instances pouvant faciliter la tâche qui a été assignée à cet organisme. « Elus et administration ont toujours considéré l'OPI comme un opérateur économique, nous invitant à trouver nous-mêmes nos financements, alors que nous ne sommes qu'un instrument mis en place par les autorités pour promouvoir l'investissement. Il y a eu un directeur d'exécutif (DPAT) qui m'a déclaré préférer viabiliser un bout de village que réaliser un réseau pour une zone industrielle. » Résultat, il est arrivé que l'office achète un terrain au prix fort (2500 DA/m2) pour bâtir un réservoir d'eau dans la zone de Draâ Ben Khedda, une tâche qui aurait pu relever des services déconcentrés de l'Etat. Y a-t-il des perspectives de déblocage de la situation ? Oui, selon Ould Rabah. « La cellule d'appui à l'investissement nous a récemment demandé de déposer des fiches techniques concernant l'ensemble de ces zones, afin de demander les budgets nécessaires », a-t-il dit. Le wali se serait engagé à défendre ces requêtes au niveau des autorités centrales. En attendant cette bouffée d'oxygène du gouvernement, les opérateurs ayant signé des contrats de réservation font du surplace et n'engagent aucun dinar sur des terrains qui ne leur paraissent pas accueillants. « Je pourrais résilier la moitié de ces contrats, si l'on appliquait les dispositions des cahiers des charges », fait remarquer le responsable de l'office, qui indique que 174 projets ont été déjà annulés (désistements, résiliations). Le bilan de ces dix années de promotion de l'investissement peut se résumer au fait d'avoir « acquis des zones d'activité, les préservant de la spéculation et du détournement, et d'avoir assaini l'aspect juridique » M. Medjkouh, lui, refuse de regarder vers l'avenir.
      C'est le présent qui le préoccupe. Il est président de la Chambre de commerce et d'industrie du Djurdjura (CCID). « La promotion de l'investissement, c'est l'avenir. A présent, on est face à un phénomène de désinvestissement. Les opérateurs sont en train de réduire leurs activités ou de partir. Ils délocalisent leurs entreprises et libèrent les travailleurs. Nous voyons de plus en plus de locaux professionnels vides de toute activité.
      La délocalisation a concerné une dizaine d'entreprises, et environ 1450 emplois ont été perdus », nous a déclaré le président de la Chambre de commerce et d'industrie. Il précisera que le contexte actuel, lié à l'environnement social, n'a fait qu'« accentuer une situation prévalant antérieurement, marquée par le manque d'infrastructures de base dans les zones d'activité, dont certaines sont devenues un repoussoir à l'investissement ». Les grands bénéficiaires de ce transfert d'activité sont les wilayas d'Alger et de Boumerdès, souligne M. Medjkouh. L'unique opérateur dans le secteur de l'électroménager dans la wilaya de Tizi Ouzou a transféré l'essentiel de ses activités vers Alger.
      ElWatan 17/02/03

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      • #4
        pendant ce temps le journal "l'expression" disait que la kabylie allait beneficier de 2 milliards de dollards ds le cadre de la relance economique !

        en deux temps la relance economique correspond (d'apres la presse) à 18 milliards de dollaards ! (7+11)

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        • #5
          Pour une Kabylie libre et indépendante !

          Et si demain la Kabylie réclame son indépendance?

          Cette région ignorée par le gouvernement central d'Alger doit effectivement multiplier ces actions et ses voix déjà nombreuses qui exigent une indépendance de l'Algérie.

          A Alger, la junte militaire n'avait rien entrepris pour doter la région d'infrastructures de base à l'instar d'autres régions, qui malgré les lacunes et les insuffisances lisibles à l'oeil nu, sont de loin meilleurs que la région de Tizi Ouazzou ou la vie des habitants est indecente et précaire.

          L'Algérie des milliards de dollars annuels comme rentrée de gaz, a du mal a doter cette région de ce qui pourrait constituer une vraie locomotive de son développement, avec un programme réfelechi et réalisable. Mais tout celà semble avoir été orchestré par les dirrigeants d'Alger.

          En tout cas, les amis de l'observatoire Kabyle, peuvent compter sur l'aide et le soutien de tous les hommes libres au Maroc, pour faire valoir leur droit et faire en sorte, qu'ils ne restent sujets à aucune discrémination, ou exclusion.

          Si l'Algérie est aux algeriens, les kabyles doivent à mon sens etre traité de manière equitable. Autrement, une indépendance ne peut leur être que bénefique.

          Alors luttons pour l'indépendance de la Kabylie.

          et tjs lumière

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          • #6
            encore un sujet sur la kabylie ?? rassurez vous apres je parlerais d'autre chose !ll

            la Kabylie, mérite plus d’un topique, elle mérite toutes notre attention.
            Vous pouvez parler de ce que vous vouliez et continuer a en parler tant que vous respectez les règles du Forum.


            Ce n’est pas une ville industrielle, pas de ressources, pas de tourisme…
            Je ne connaissais pas ces chiffres, mais c’est tout de même remarquable et inconcevable que la participation soit de 10% du budget de l’etat et qu’elle verse plus d’impôts qu’elle ne reçoit en termes de subventions.


            Cette région ignorée par le gouvernement central d'Alger doit effectivement multiplier ces actions et ses voix déjà nombreuses qui exigent une indépendance de l'Algérie.
            Que voulez vous dire par Indépendance ? est ce une solution ?
            Je ne pense pas les habitants de tiziouzou sont aussi des Algériens et ont le droit a ses biens ne se trouvant pas sur le territoire de la wilaya, il faut plutôt multiplier ces actions et ses voix pour revendiquer les droits, faire partie du tout et être traité de manière équitable comme vous dites.

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            • #7
              si tu savais le nombre de kabyles morts pour que l algerie soit independante tu ne viendrais pas distiller ton venin separatiste-je suis kabyle et donc 100% algerien-tes conseils sont mal venus pour me parler d independance de la kabylie le marocain libre que tu pretends etre devrait commencer par liberer les enclaves ceuta mellila et le rocher persil et il est certain que si ces enclaves se trouvaient en kabylie il yaurait longtemps que l occupant espagnol aurait choisi la valise et le cerceuil-
              si la kabylie paie beaucoup d impots c est qu elle gagne beaucoup d argent

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              • #8
                marin,

                1/ il n'est pas question du l'independance de la kabylie mais de son anormale imposition !

                2/ tu dis qu'elle paye bcp parce qu'elle en gagne bcp !!! pourquoi tous les jeunes la quitte ds ces cas là ??? elle gagne de l'arent grace à l'esprit d'initiative kabyle. les kabyles sont ceux qui créé le plus d'entreprise, mais quand on voit qu'elle donne deux fois plus qu'elle ne recoit là on peut se poser des questions !

                3/ il ne suffirait de pas grand chose pour son decollage economique ! amenager les zones d'activité et les zones industrielles ! boutef a fait le tour de l'algerie et a distribué des sommes d'argent colossale mais toujours rien pour la kabylie !

                4/ on parl ds la presse de 2 milliards de dollards pour la kabylie !!! franchement ce chiffre est revoltant pour deux raisons :
                - la kabylie n'a encore rien percu !
                - ca couterait 30 fois moins pour la faire decoller economiquement !

                5/ moi j'en conclu qu'il y a une volonté politqiue de maintenir la tete des kabyles sous l'eau !

                6 / le resultat est simple : les kabyles investissent ds l'ouest et sur alger ! ou alors ils partent en france !!!


                7/ au lieu de polemiquer qu'en penses-tu ?

                Commentaire


                • #9
                  Envoyé par Superted
                  6 / le resultat est simple : les kabyles investissent ds l'ouest et sur alger ! ou alors ils partent en france !!!
                  Je ne pense pas que ce soit à cause de la fiscalité puisque c'est la même à Tizi ou Alger ou Oran, il y a surement des raisons plus commercial comme l'instabilité politique.

                  Il n'y a pas d'impots locaux en Algérie ou de zone franches qui pourrait faire la difference, la seule zone qui a été décidé d'être franche serai quelque part du coté de Jijel et je ne suis pas sure quue ce projet à été abouti.

                  Si probleme de fiscalité il y a, et je pense qu'il y en a un effectivement il ne concerne pas seulement la kabylie, c'est incroyable ta volonté a chaque fois de differencié les kabyles des reste des algériens heureusement qu'en kabylie tout le monde ne pense pas comme toi la preuve les commerçant qui investisse en dehors et les kabyles qui habitent dans les autre régions et qui sont tout autant nombreux que ceux qui vivent en kabylie.
                  Dernière modification par amelle, 17 mars 2005, 13h38.

                  Commentaire


                  • #10
                    5/ moi j'en conclu qu'il y a une volonté politqiue de maintenir la tete des kabyles sous l'eau !
                    Mon chère , il y a une volonté de maintenir tout le peuple Algérien sous l'eau, alors on l'attaque et on crée des problèmes du point de vue sociale ( pas de travail), économique ( le prix du pain ) politique ( le terrorisme..) séctaire ( la kabylie .... et les gens se laisse faire, enfin ceux qui sont manipulables...

                    6 / le resultat est simple : les kabyles investissent ds l'ouest et sur alger ! ou alors ils partent en france !!!
                    Un bon citoyen est celui qui est prêt à donner pour son peuple
                    Même si ces infos sont vraies( ce que je doute fort), ce n'est pas anormale, plusieurs régions dans le mondes ont des fiscalités différentes vis à vis de leur propore pays.
                    Et bien maintenat , si les kabyles ne se sentent pas Algériens, ils n'ont cas à investir en France .... .

                    Commentaire


                    • #11
                      1/ il n'est pas question du l'independance de la kabylie mais de son anormale imposition !
                      ---sur ce point je ne faisais que repondre a l instillateur de venin mister darkhawk
                      2/ tu dis qu'elle paye bcp parce qu'elle en gagne bcp !!! pourquoi tous les jeunes la quitte ds ces cas là ??? elle gagne de l'arent grace à l'esprit d'initiative kabyle. les kabyles sont ceux qui créé le plus d'entreprise, mais quand on voit qu'elle donne deux fois plus qu'elle ne recoit là on peut se poser des questions !
                      ---oui c vrai mais c etait du a la conjencture -des regions entieres ou regnait la barbarie avec la duplicite certaine de certains prives ont detruit en premier lieu les centres de perception
                      3/ il ne suffirait de pas grand chose pour son decollage economique ! amenager les zones d'activité et les zones industrielles ! boutef a fait le tour de l'algerie et a distribué des sommes d'argent colossale mais toujours rien pour la kabylie !
                      ---ca c est la peur que l on devienne la locomotive economique du pays
                      4/ on parl ds la presse de 2 milliards de dollards pour la kabylie !!! franchement ce chiffre est revoltant pour deux raisons :
                      - la kabylie n'a encore rien percu !
                      - ca couterait 30 fois moins pour la faire decoller economiquement !
                      -----si j ycrois pour la toute bonne raison que cettesomme allouee ne correspond qu au rattrapage des annees perdues du fait de la destruction ordonnee du clan des arrouchs
                      5/ moi j'en conclu qu'il y a une volonté politqiue de maintenir la tete des kabyles sous l'eau !
                      ---la volonte politique (d un certain clan du pouvoir dont faisait partie boutef)existe a mon avis depuis la guerre des sables
                      6 / le resultat est simple : les kabyles investissent ds l'ouest et sur alger ! ou alors ils partent en france !!!
                      ----non ils investissent la ou le marche existe et non pour echapper a l impot-c vrai que la propension a corrompre un fonctionnaire des impots a alger ou oran est plus grande qu en kabylie

                      7/ au lieu de polemiquer qu'en penses-tu ?

                      Commentaire


                      • #12
                        Et si la kabylie deviendrait le kurdistan d'Algérie?

                        Il y a de fortes chances pour que celà soit possible.

                        1- Axer l'envie de se séparer du gouvernement d'Alger sur la base des acquis,
                        qui sont loin d'honnorer un gouvernement qui doit être le gouvernement de
                        tous les algeriens.

                        2- argumenter par la nature de la difference linguistique et sociologique des
                        autres régions de l'Algérie.

                        3- Faire entretenir dans le temps et dans l'espace les tueries et genocides de
                        l'Armée nationale populaire des militaires d'Alger lors des emeutes
                        sanglants de Kabylie.

                        4- Remettre dans son contexte réelle la bravoure des Kabyles lors de la
                        guerre de l'indépendance, dont seule la junte militaire et la partie arabe de
                        l'Algérie semblent avoir profité.( et encore?)

                        5-Associer la cause Kabyle au sort que connait le Kurdistan d'Irak depuis
                        l'arrivée des américains.( deux langages sont possibles: pro-americain pour
                        gagner leur soutien, ou anti-americain, pour avoir quelque choses a offrir
                        lorsqu'il sera question de positionner cette cause)

                        6-Reunir toutes les composantes de la société civile active Kabyle, à
                        l'interieur comme à l'exterieur.

                        7- planifier deux programmes de communications:
                        a)- en direct des acteurs internes pour faire de la cause Kabyle, une
                        région marginalisée, ignorée et abbatueet qui n'a rien a subir d'Alger.
                        b)- en direct de l'opinion internationale pour créer une synergie de soutien
                        a travers le monde.

                        Prendre un an d'actions fortement symboliques et faire le bilan des acquis, réorienter les actions futures, rectifier, recorriger, et puis, lancer d'autres campagnes de sensibilisations, pour consolider l'acquis, le temps de s'organiser.

                        Scénario à suivre.

                        Et tjs lumière

                        Commentaire


                        • #13
                          Yakhi qoqo!

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                          • #14
                            Je ne sais pas combien de fois on doit le dire :
                            Il n'y a pas de cause Kabyle.
                            L'Algérie est un tout et sera toujour un tout.
                            Il nous appartient à nous Algériens de corriger notre gouvernement ( chérie) de travailler pour notre avenir. On doit être révolutionnaire dans une optique d'Algérie et rien d'autre.
                            Ceux qui soutiennent le contraire sont des Traitres.

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                            • #15
                              hi

                              Peut etre, devrions nous prendre en compte le fait que la kabylie reçoit beaucoup d'argent de la part des immigrés. Ce qui permet à la kabylie de vivre, c'est aussi la periode estivale, qui voit arriver beaucoups d'euros.

                              cela dit, la fiscalité algerienne n'est pas anormale qu'en kabylie.

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