En Algérie, Petro-Canada et SONATRACH (la société pétrolière nationale algérienne) ont conclu un contrat de partage de la production visant les activités d’exploration et de mise en valeur dans le bloc Tinrhert, situé à 1 000 kilomètres au sud-est d’Alger. Petro-Canada agit en tant qu’exploitant de ce projet.
Gaz, Lubrifiants et Pétrole

Réparation de réservoirs cryogéniques GNL en Algérie

Stockage et manutention de gaz liquéfiés
(GPL, GNL etc.), lubrifiants et pétrole

L'économie algérienne a un rendement positif en comparaison de celle des autres pays d'Afrique, et le gouvernement reconnaît pourtant qu'il y a encore beaucoup de place pour la croissance et l'amélioration de la stabilité. Le pétrole est le facteur clé qui a rendu possible la réussite économique récente de l'Algérie. Cependant, ce secteur a contribué à apporter peu de changement à l'économie en tant qu'ensemble. Même s'il génère beaucoup de recettes pour le pays, le secteur pétrolier n'a pas d'effet positif sur l'emploi. La principale préoccupation économique du gouvernement de l'Algérie est donc son taux de chômage élevé et la nécessité de diversifier son économie. On a éprouvé des difficultés du côté de la relance de l'emploi, mais le gouvernement a mis sur pied plusieurs initiatives en vue de diversifier l'économie, par exemple la diversification du marché et des mesures en vue de réduire la dépendance par rapport aux nations commerçantes d'Europe.
Le secteur des hydrocarbures est le pilier de l'économie : il représente environ 60 % des recettes prévues au budget, 30 % du produit intérieur brut (PIB) et plus de 95 % des recettes d'exportation. L'Algérie possède les réserves de gaz naturel qui occupent la cinquième place dans le monde et est le deuxième pays exportateur de ce produit en importance. Ce secteur continue de croître et génère des quantités de plus en plus grandes de devises. Malheureusement, les progrès réalisés sous ce rapport n'ont en aucune façon réduit le taux de chômage.
Les hausses récentes du cours du pétrole ont eu un effet sensible sur la croissance du PIB de l'Algérie. Le taux de croissance du PIB a beaucoup augmenté au fil des dernières années, étant passé de 3,9 %, en 1999 à 5,2 % en l'an 2000.
http://atn-riae.agr.ca/africa/f3358.htm
pour SNC lavalin (canada) Client : Sonatrach, la société d’état de pétrole et gaz de l’Algérie
Emplacement du projet : Rhourde Nouss, Algérie
Valeur : 305 millions $ US
Structure : Dette à long terme multi-pays
SNC-Lavalin Capital : Aviseur-arrangeur
SNC-Lavalin Capital a élaboré la structure de la dette, a entièrement structuré le financement et a supervisé les négociations financières. Le financement à long terme provient de prêts de banques commerciales garantis par Ducroire et CESCE, ainsi que de prêts directs de la EDC, de la BEI et d’une banque arabe participante avec une garantie partielle de la province de Québec. La clôture du financement a eu lieu en juin 1996, et en janvier 1998 pour le financement additionnel.
Le projet Rhourde Nouss inclut l’expansion des installations de récupération d’eau de condensation, l’ajout d’une usine d’extraction de GPL, d’un réseau collecteur de gaz et d’une canalisation de transport pour exportation du GPL. Il représente un élément critique de la stratégie d’exportation Sonatrach. Ce projet a été mis en service au début de l’année 2000. http://www.snclavalincapital.com/frp...ww-petrol.htmlhttp://www.snclavalincapital.com/frreseau.html
pays à population jeune et croissante ayant des besoins sociaux importants. Dans ces pays (Algérie, Iran, Irak, Mexique, Nigeria...), l’État a utilisé ses recettes accrues provenant du pétrole, pour dépenser dans d’ambitieux programmes de développement. Par exemple, l’argent pouvait servir au développement des écoles, des hôpitaux et des programmes sociaux, mais parfois aussi dans les dépenses militaires. En plus de l’argent provenant des ventes de pétrole, ces pays ont aussi emprunté massivement. Ces emprunts importants se justifiaient par le fait que l’on croyait à l’époque, que les revenus élevés générés par le vente de pétrole, seraient éternels. À l’OPEP, ces pays cherchent à maximiser leur production et leurs recettes, au détriment des prix. C’est-à-dire, que leur but est de faire des profits rapidement en vendant beaucoup de pétrole, même si cela peut entraîner une baisse des prix à moyen terme. Cette divergence de point de vue à l’intérieur de l’OPEP contribuera à l’éclatement du cartel et à la baisse des prix.
http://www.cvm.qc.ca/pitlamon/module23.htm
ALGER - Le 5 octobre 2002 L'industrie algérienne du pétrole et du gaz offre de nombreux débouchés aux exportateurs canadiens », souligne Henri Souquières, vice-président des Marchés internationaux à EDC. « La présence d'EDC en Algérie n'est qu'un exemple de son engagement continu sur le continent africain et à l'endroit des exportateurs canadiens présents sur les marchés émergents. »
L'accord a été signé par M. Souquières et le directeur exécutif des finances de Sonatrach, Ahmed Mostefaoui. A. Ian Gillespie, président et chef de la direction d'EDC, et Chakib Khelil, président de Sonatrach, étaient aussi présents lors de la signature.
L'Algérie est le plus important partenaire commercial du Canada en Afrique. Au cours des cinq dernières années, la valeur des services de financement et d'assurance fournis par EDC à l'égard de ventes à l'exportation et d'investissements destinés à l'Algérie a totalisé 450 millions de CAD. EDC y a en outre établi une ligne de crédit de 100 millions de USD avec la Banque Algérienne de Développement.
http://www.edc.ca/docs/news/2002/2003_news_f_659.htm
Gaz, Lubrifiants et Pétrole


Réparation de réservoirs cryogéniques GNL en Algérie

Stockage et manutention de gaz liquéfiés
(GPL, GNL etc.), lubrifiants et pétrole

L'économie algérienne a un rendement positif en comparaison de celle des autres pays d'Afrique, et le gouvernement reconnaît pourtant qu'il y a encore beaucoup de place pour la croissance et l'amélioration de la stabilité. Le pétrole est le facteur clé qui a rendu possible la réussite économique récente de l'Algérie. Cependant, ce secteur a contribué à apporter peu de changement à l'économie en tant qu'ensemble. Même s'il génère beaucoup de recettes pour le pays, le secteur pétrolier n'a pas d'effet positif sur l'emploi. La principale préoccupation économique du gouvernement de l'Algérie est donc son taux de chômage élevé et la nécessité de diversifier son économie. On a éprouvé des difficultés du côté de la relance de l'emploi, mais le gouvernement a mis sur pied plusieurs initiatives en vue de diversifier l'économie, par exemple la diversification du marché et des mesures en vue de réduire la dépendance par rapport aux nations commerçantes d'Europe.
Le secteur des hydrocarbures est le pilier de l'économie : il représente environ 60 % des recettes prévues au budget, 30 % du produit intérieur brut (PIB) et plus de 95 % des recettes d'exportation. L'Algérie possède les réserves de gaz naturel qui occupent la cinquième place dans le monde et est le deuxième pays exportateur de ce produit en importance. Ce secteur continue de croître et génère des quantités de plus en plus grandes de devises. Malheureusement, les progrès réalisés sous ce rapport n'ont en aucune façon réduit le taux de chômage.
Les hausses récentes du cours du pétrole ont eu un effet sensible sur la croissance du PIB de l'Algérie. Le taux de croissance du PIB a beaucoup augmenté au fil des dernières années, étant passé de 3,9 %, en 1999 à 5,2 % en l'an 2000.
http://atn-riae.agr.ca/africa/f3358.htm
pour SNC lavalin (canada) Client : Sonatrach, la société d’état de pétrole et gaz de l’Algérie
Emplacement du projet : Rhourde Nouss, Algérie
Valeur : 305 millions $ US
Structure : Dette à long terme multi-pays
SNC-Lavalin Capital : Aviseur-arrangeur

Le projet Rhourde Nouss inclut l’expansion des installations de récupération d’eau de condensation, l’ajout d’une usine d’extraction de GPL, d’un réseau collecteur de gaz et d’une canalisation de transport pour exportation du GPL. Il représente un élément critique de la stratégie d’exportation Sonatrach. Ce projet a été mis en service au début de l’année 2000. http://www.snclavalincapital.com/frp...ww-petrol.htmlhttp://www.snclavalincapital.com/frreseau.html
pays à population jeune et croissante ayant des besoins sociaux importants. Dans ces pays (Algérie, Iran, Irak, Mexique, Nigeria...), l’État a utilisé ses recettes accrues provenant du pétrole, pour dépenser dans d’ambitieux programmes de développement. Par exemple, l’argent pouvait servir au développement des écoles, des hôpitaux et des programmes sociaux, mais parfois aussi dans les dépenses militaires. En plus de l’argent provenant des ventes de pétrole, ces pays ont aussi emprunté massivement. Ces emprunts importants se justifiaient par le fait que l’on croyait à l’époque, que les revenus élevés générés par le vente de pétrole, seraient éternels. À l’OPEP, ces pays cherchent à maximiser leur production et leurs recettes, au détriment des prix. C’est-à-dire, que leur but est de faire des profits rapidement en vendant beaucoup de pétrole, même si cela peut entraîner une baisse des prix à moyen terme. Cette divergence de point de vue à l’intérieur de l’OPEP contribuera à l’éclatement du cartel et à la baisse des prix.
http://www.cvm.qc.ca/pitlamon/module23.htm
ALGER - Le 5 octobre 2002 L'industrie algérienne du pétrole et du gaz offre de nombreux débouchés aux exportateurs canadiens », souligne Henri Souquières, vice-président des Marchés internationaux à EDC. « La présence d'EDC en Algérie n'est qu'un exemple de son engagement continu sur le continent africain et à l'endroit des exportateurs canadiens présents sur les marchés émergents. »
L'accord a été signé par M. Souquières et le directeur exécutif des finances de Sonatrach, Ahmed Mostefaoui. A. Ian Gillespie, président et chef de la direction d'EDC, et Chakib Khelil, président de Sonatrach, étaient aussi présents lors de la signature.
L'Algérie est le plus important partenaire commercial du Canada en Afrique. Au cours des cinq dernières années, la valeur des services de financement et d'assurance fournis par EDC à l'égard de ventes à l'exportation et d'investissements destinés à l'Algérie a totalisé 450 millions de CAD. EDC y a en outre établi une ligne de crédit de 100 millions de USD avec la Banque Algérienne de Développement.
http://www.edc.ca/docs/news/2002/2003_news_f_659.htm
Commentaire