L'Algérie “a un système ouvert, transparent et compétitif, où les règles du jeu sont très claires”, a affirmé le ministre de l'Energie Chakib Khelil. L’Algérie apparaît aujourd’hui davantage comme un marché pour la Russie qu’un partenaire stratégique. Le président Bouteflika avait raison d’insister sur la nécessité “de préciser un certain nombre de concepts en matière de relations stratégiques entre l’Algérie et la Russie”, en plaidant en faveur d’un meilleur respect des obligations contractuelles. Mais le maître du Kremlin préoccupé qu’il est “à assurer sa succession”, a-t-il véritablement reçu le message du président de la République ?
La compagnie algérienne Sonatrach veut “avoir des activités en Russie” au même titre que les sociétés russes qui ont des investissements “très rentables” en Algérie. Cette déclaration du ministre de l'Énergie et des Mines, M. Chakib Khelil, en marge de la visite officielle du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en Russie, explique, du moins en partie, le divorce, après un mariage non consommé, entre Sonatrach et Gazprom. “Des sociétés russes ont eu plus de 500 millions de dollars de contrats pour la construction d'oléoducs et de gazoducs” en Algérie, a indiqué M. Khelil dans un entretien à l'APS.
source : Liberté
La compagnie algérienne Sonatrach veut “avoir des activités en Russie” au même titre que les sociétés russes qui ont des investissements “très rentables” en Algérie. Cette déclaration du ministre de l'Énergie et des Mines, M. Chakib Khelil, en marge de la visite officielle du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en Russie, explique, du moins en partie, le divorce, après un mariage non consommé, entre Sonatrach et Gazprom. “Des sociétés russes ont eu plus de 500 millions de dollars de contrats pour la construction d'oléoducs et de gazoducs” en Algérie, a indiqué M. Khelil dans un entretien à l'APS.
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