La lutte contre le commerce illicite en Algérie est à nouveau à l'honneur. On en parle de temps à autre au gré des enquêtes et des traques menées, à chaque fois que l'on s'y intéresse ou que les pouvoirs publics en annoncent les résultats. Or, il s'agit d'une action permanente. Permanente, épuisante. Epuisante car il s'agit d'activité renouvelable. Pas de registre du commerce pour ce qui concerne le marché informel. Pas de facture même quand il y a un registre du commerce.
Question : Pourquoi ce commerce renaît-il sans cesse, après les traques menées par les services compétents.Quel environnement créer pour qu'il n'y ait plus de commerce illicite, sachant que la lutte contre ce fléau est menée depuis des décennies. Il s'agit également de la lutte contre la contrefaçon qui est sans cesse menée sans répit, sans pause et pourtant la lutte est interminable. Un observatoire du commerce illicite ? Il y a trop d'observatoires créés pour chaque fléau. Intensifier la pression ? C'est inévitable, mais c'est insuffisant. Pourquoi pas un débat collectif ? A l'Assemblée nationale ? Pourquoi pas des assises spécialisées où partis politiques et experts ainsi que les commerçants auront à en débattre ? En tout cas, il ne s'agit pas d'une simple affaire de contrôle et de répression.
source : le Maghreb
Question : Pourquoi ce commerce renaît-il sans cesse, après les traques menées par les services compétents.Quel environnement créer pour qu'il n'y ait plus de commerce illicite, sachant que la lutte contre ce fléau est menée depuis des décennies. Il s'agit également de la lutte contre la contrefaçon qui est sans cesse menée sans répit, sans pause et pourtant la lutte est interminable. Un observatoire du commerce illicite ? Il y a trop d'observatoires créés pour chaque fléau. Intensifier la pression ? C'est inévitable, mais c'est insuffisant. Pourquoi pas un débat collectif ? A l'Assemblée nationale ? Pourquoi pas des assises spécialisées où partis politiques et experts ainsi que les commerçants auront à en débattre ? En tout cas, il ne s'agit pas d'une simple affaire de contrôle et de répression.
source : le Maghreb
Commentaire