La modernisation de la plus grande entité financière du pays bat son plein. Deux ans de restructuration et un an de « jumelage » entre Egypt Post et la poste française ont eu l’effet d’un lifting, plutôt que d’une métamorphose. « Nous sommes déjà à mi-chemin. Les résultats de la restructuration ne seront ressentis qu’à la fin de l’année prochaine », souligne Névine Al-Labbane, directrice des relations internationales auprès de la poste égyptienne, en ajoutant que l’administration de la poste tient à retenir du côté français les critères internationaux concernant la qualité de service et le marketing au sein de l’organisme.
Elle explique que « des experts français effectuent des visites mensuelles pour échanger leurs expertises avec le côté égyptien ».
Le premier fruit de leurs visites était un sondage qui a été effectué sur un échantillon de plus de 7 000 clients pour connaître leurs besoins et leurs commentaires sur la qualité de service. Les résultats de ce sondage ne sont pas encore révélés par la poste.
De plus, ils ont entamé une étude sur un grand nombre de centres de distribution de la poste pour mettre le point sur les lacunes du système comme la mauvaise répartition des bureaux de poste dans le pays et le manque de qualification des employés. « Et ce pour attirer le maximum de clients », renchérit Al-Labbane.
En effet, le programme de jumelage, entré en vigueur le 26 février 2006, sur une période de deux ans et financé par l’Union européenne avec 1,3 million d’euros, fait partie de l’accord d’association égypto-européen et qui vise à la restructuration des institutions gouvernementales dans les deux pays. Ainsi, ce programme a-t-il été intégré à la deuxième phase du plan de restructuration de la poste égyptienne. Ce plan compte, dans un délai de 5 ans, changer l’image traditionnelle d’un organisme gouvernemental à faible taux de productivité et de mauvaise performance.
suite sur: http://hebdo.ahram.org.eg/arab/ahram/2008/3/5/econ1.htm
Elle explique que « des experts français effectuent des visites mensuelles pour échanger leurs expertises avec le côté égyptien ».
Le premier fruit de leurs visites était un sondage qui a été effectué sur un échantillon de plus de 7 000 clients pour connaître leurs besoins et leurs commentaires sur la qualité de service. Les résultats de ce sondage ne sont pas encore révélés par la poste.
De plus, ils ont entamé une étude sur un grand nombre de centres de distribution de la poste pour mettre le point sur les lacunes du système comme la mauvaise répartition des bureaux de poste dans le pays et le manque de qualification des employés. « Et ce pour attirer le maximum de clients », renchérit Al-Labbane.
En effet, le programme de jumelage, entré en vigueur le 26 février 2006, sur une période de deux ans et financé par l’Union européenne avec 1,3 million d’euros, fait partie de l’accord d’association égypto-européen et qui vise à la restructuration des institutions gouvernementales dans les deux pays. Ainsi, ce programme a-t-il été intégré à la deuxième phase du plan de restructuration de la poste égyptienne. Ce plan compte, dans un délai de 5 ans, changer l’image traditionnelle d’un organisme gouvernemental à faible taux de productivité et de mauvaise performance.
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