Envoyé par Laurent Bervas
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OFFSHORING au Maroc : vers un FIASCO ?
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ouais il a eu quelques mois de retard, big deal, j'imagine que ca remet en jeu toute la politique de l'etat, je me marre...
Pour le Munci,
Laurent Bervas a des billets qui sont bien, mais il n'a rien compris a l'offshoring le pauvre, il vient de s'installer il n'y a pas longtemps au Maroc. Crois moi, ce n'est pas une autorite dans un quelconque domaine, c'est un simple agent immobilier qui veut profiter de l'effervescence economique que connait le pays, il n'est pas dans le domaine de l'offshoring, je l'ai ete...
Le Munci, je pense que leur vision est claire, que ce soit dans l'acte I, acte II ou acte 15874523, ce sera la meme chose, la defense du salarie francais en vilipendiant les pays accuillants ces postes perdus en France, c'est de bonne guerre, mais ca ne change absolument rien a la realite, c'est la mondialisation...
Donc le Munci dont les propos ne peuvent etre sujet a polemique selon toi est une blague, je recopie si tu n'as pas bien lu
Si de telles déclarations sont confirmées, le président de la CNIL, par ailleurs sénateur, tient là des propos IRRESPONSABLES, qui témoignent de la vision fréquemment indifférente ou approximative que nos dirigeants politiques ont de l’offshoring et de ses conséquences sociales en France... IRRESPONSABLES à la fois en tant que sénateur, censé défendre d’abord les intérêts de la France et des travailleurs français, mais aussi en tant que président d’une autorité administrative indépendante, la CNIL, qui est un organisme administratif agissant au nom de l’État. Or, jusqu’à nouvel ordre, la CNIL n’a strictement AUCUNE PREROGATIVE pour "accompagner le développement de l’offshore" au Maroc !!?"
L'énorme retard dans la livraison du projet
Le problème de la confidentialité des informations
et la rareté des ressources humaines.
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Le Munci ne nous apprend rien,
Laurent Bervas a des billets qui sont bien, mais il n'a rien compris a l'offshoring le pauvre, il vient de s'installer il n'y a pas longtemps au Maroc.
je l'ai ete...
Pour le retard, il est constaté de visu sur la vidéo. et c'est pas une question de semaines ni de quelques mois. Reste , .... le reste.
Mon sentiment, c'est que ce casa machin est trop opaque et fait l'objet d'approximations à la limite du farfelu. Prenez, les emplois attendus :
Une petite recherche et vous lirez tantot (pour les mêmes horizons ou à quelques années près), 10 000, 30 000 voire 100 000 et quelques fois 400 000 jusqu'à 500 000 emplois attendus.Dernière modification par jawzia, 11 mars 2008, 20h47.
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C'est vrai qu'en y reflechissant on aurait du prendre exemple sur des constructions de metro et le temps que ca prend, que ca prend, avec les annonces qu'on fait, qu'on fait...
Mon ami, te fais pas bcp de souci pour le Maroc cote offshoring, nous sommes leaders et on est en train de passer au BPO deja. Comblez votre retard, apres on parlera de "Laurent Bervas" qui lui a quitte la France pour venir gagner son pain au... Maroc. Un poste de perdu en France = un poste cree au Maroc, on revient au "MUNCI"...
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C'est vrai qu'en y reflechissant on aurait du prendre exemple sur des constructions de metro et le temps que ca prend, que ca prend, avec les annonces qu'on fait, qu'on fait...
Mon ami, te fais pas bcp de souci pour le Maroc cote offshoring, nous sommes leaders et on est en train de passer au BPO deja. Comblez votre retard, apres on parlera de "Laurent Bervas" qui lui a quitte la France pour venir gagner son pain au... Maroc. Un poste de perdu en France = un poste cree au Maroc, on revient au "MUNCI"..
Laurent a donc raison.
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D'ailleurs je n'ai pas vraiment a rajouter quoique ce soit, il me suffit de copier la suite de l'intervention du MUNCI pour mieux comprendre..:
...Rappelons que l’offshoring informatique - qu’il s’agisse de délocalisations ou de "relocalisations" de postes - représente dans la plupart des cas une concurrence humaine sauvage, mal vécue par les informaticiens français, plus particulièrement pour les jeunes diplômés : en effet, contrairement à une idée un peu trop répandue, l’offshoring ne concerne pas seulement la délocalisation de tâches "à faible valeur ajoutée" (pour lesquelles nous n’allons pas nous "offusquer"...) mais, de plus en plus souvent, celle de projets exigeant des niveaux de qualification élevés (au minimum Bac+2 en informatique, et le plus souvent Bac+5).
L’offshoring dévalorise progressivement le métier le plus noble de l’informatique, celui de développeur, avec notamment un impact négatif à long terme sur les salaires.
La gestion des projets offshore est elle-même très souvent une source de désagréments et d’ingratitudes pour les chefs de projets en France (abondance des spécifications et des tests, problèmes de communication, lourdeurs du travail à distance, etc), sans parler des conditions de travail souvent mauvaises des informaticiens en offshore.
C’est une perte d’emplois directe pour les informaticiens français et européens dont les avantages économiques sont toujours plus faibles que ceux espérés initialement (toutes les enquêtes le montrent), tout en faisant courir des risques importants pour les donneurs d’ordres : risques qualitatifs et techniques (écarts aux spécifications, sécurité, qualité des connexions...), financiers (augmentation du TJM/turnover...), juridiques (protection intellectuelle et des données personnelles, réassurance, licences d’utilisation, tribunaux compétents...), dépendances (sous-traitance en cascade...), géopolitiques, etc.
Cette perte d’emplois qualifiés est beaucoup plus importante que ne le laissent entendre certaines études extrêmement partielles (voir partiales ?), comme celle du Syntec Informatique.
Néanmoins, avec la reprise du secteur depuis quelques années, elle est masquée par un différentiel de créations d’emplois positif en France (rappelons toutefois qu’il y a actuellement plus de 30 000 informaticiens demandeurs d’emplois, soit un taux de chômage sectoriel d’environ 6%), mais pour combien de temps encore ? Si la conjoncture s’inverse à nouveau (cas le plus probable dans un secteur aussi cyclique que celui des services informatiques), il n’en sera probablement plus de même... La réaction des informaticiens risque alors d’être très vive à l’instar de ce qui s’est passé aux Etats-Unis il y a quelques années (...)."
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il ne faut pas des livres pour comprendre le but de cette organisation
Pour une fois qu'un sujet corresponde à tes compétences (du moins ce que tu affirmes), c'est léger comme .... expertise.Dernière modification par jawzia, 11 mars 2008, 21h12.
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Euh... je ne suis pas diplome de l'informatique et des Telecoms. Nice try though...
Ecoutez a zine, je t'ai mis l'etat d'esprit sur lequel le MUNCI se base pour faire ses "analyses" et quel camp ils defendent en ce qui concerne l'offshoring. Tu peux les accepter ou tu peux les rejeter mais ce sont des faits.
Pas interesse par faire une discussion personnalise entre toi et moi encore une fois des que les arguments commencent a manquer.
une autre fois peut etre...
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