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OFFSHORING au Maroc : vers un FIASCO ?

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  • upup
    a répondu
    et pourtant la construction continue sur les technopoles.
    les batiments sortent de terre sur celui de Rabat , quelques 15 000 emplois sont attendus du coté de la belle foret de la Maamora .

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Euh... je ne suis pas diplome de l'informatique et des Telecoms. Nice try though...

    Ecoutez a zine, je t'ai mis l'etat d'esprit sur lequel le MUNCI se base pour faire ses "analyses" et quel camp ils defendent en ce qui concerne l'offshoring. Tu peux les accepter ou tu peux les rejeter mais ce sont des faits.

    Pas interesse par faire une discussion personnalise entre toi et moi encore une fois des que les arguments commencent a manquer.

    une autre fois peut etre...

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  • jawzia
    a répondu
    il ne faut pas des livres pour comprendre le but de cette organisation
    Association de diplomés de l'informatique et des Télécoms.


    Pour une fois qu'un sujet corresponde à tes compétences (du moins ce que tu affirmes), c'est léger comme .... expertise.
    Dernière modification par jawzia, 11 mars 2008, 21h12.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    D'ailleurs je n'ai pas vraiment a rajouter quoique ce soit, il me suffit de copier la suite de l'intervention du MUNCI pour mieux comprendre..:


    ...Rappelons que l’offshoring informatique - qu’il s’agisse de délocalisations ou de "relocalisations" de postes - représente dans la plupart des cas une concurrence humaine sauvage, mal vécue par les informaticiens français, plus particulièrement pour les jeunes diplômés : en effet, contrairement à une idée un peu trop répandue, l’offshoring ne concerne pas seulement la délocalisation de tâches "à faible valeur ajoutée" (pour lesquelles nous n’allons pas nous "offusquer"...) mais, de plus en plus souvent, celle de projets exigeant des niveaux de qualification élevés (au minimum Bac+2 en informatique, et le plus souvent Bac+5).

    L’offshoring dévalorise progressivement le métier le plus noble de l’informatique, celui de développeur, avec notamment un impact négatif à long terme sur les salaires.

    La gestion des projets offshore est elle-même très souvent une source de désagréments et d’ingratitudes pour les chefs de projets en France (abondance des spécifications et des tests, problèmes de communication, lourdeurs du travail à distance, etc), sans parler des conditions de travail souvent mauvaises des informaticiens en offshore.

    C’est une perte d’emplois directe pour les informaticiens français et européens dont les avantages économiques sont toujours plus faibles que ceux espérés initialement (toutes les enquêtes le montrent), tout en faisant courir des risques importants pour les donneurs d’ordres : risques qualitatifs et techniques (écarts aux spécifications, sécurité, qualité des connexions...), financiers (augmentation du TJM/turnover...), juridiques (protection intellectuelle et des données personnelles, réassurance, licences d’utilisation, tribunaux compétents...), dépendances (sous-traitance en cascade...), géopolitiques, etc.

    Cette perte d’emplois qualifiés est beaucoup plus importante que ne le laissent entendre certaines études extrêmement partielles (voir partiales ?), comme celle du Syntec Informatique.

    Néanmoins, avec la reprise du secteur depuis quelques années, elle est masquée par un différentiel de créations d’emplois positif en France (rappelons toutefois qu’il y a actuellement plus de 30 000 informaticiens demandeurs d’emplois, soit un taux de chômage sectoriel d’environ 6%), mais pour combien de temps encore ? Si la conjoncture s’inverse à nouveau (cas le plus probable dans un secteur aussi cyclique que celui des services informatiques), il n’en sera probablement plus de même... La réaction des informaticiens risque alors d’être très vive à l’instar de ce qui s’est passé aux Etats-Unis il y a quelques années (...)."

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    concernant le Munci oui... il ne faut pas des livres pour comprendre le but de cette organisation je te l'ai deja recopie 2 fois... Tu as fait de cette source le coeur de ton sujet. Desole que ca n'ait pas tenu la route...

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  • jawzia
    a répondu
    C'est vrai qu'en y reflechissant on aurait du prendre exemple sur des constructions de metro et le temps que ca prend, que ca prend, avec les annonces qu'on fait, qu'on fait...
    N'a rien à voir avec le sujet.
    Mon ami, te fais pas bcp de souci pour le Maroc cote offshoring, nous sommes leaders et on est en train de passer au BPO deja. Comblez votre retard, apres on parlera de "Laurent Bervas" qui lui a quitte la France pour venir gagner son pain au... Maroc. Un poste de perdu en France = un poste cree au Maroc, on revient au "MUNCI"..
    C'est tout ce qu'un spécialiste de l'offshore a à dire ????


    Laurent a donc raison.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    C'est vrai qu'en y reflechissant on aurait du prendre exemple sur des constructions de metro et le temps que ca prend, que ca prend, avec les annonces qu'on fait, qu'on fait...

    Mon ami, te fais pas bcp de souci pour le Maroc cote offshoring, nous sommes leaders et on est en train de passer au BPO deja. Comblez votre retard, apres on parlera de "Laurent Bervas" qui lui a quitte la France pour venir gagner son pain au... Maroc. Un poste de perdu en France = un poste cree au Maroc, on revient au "MUNCI"...

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  • jawzia
    a répondu
    Le Munci ne nous apprend rien,
    Ah !! SI. Sur un Topic similaire que je pourrai retrouver, à l'evocation des retards nos amis marocains étaient offusqués. Certains jurait de tous les cieux que ça a déjà commencé. D'autres que c'est une question de 2 à 3 mois. ICI ....http://www.algerie-dz.com/forums/sho...68#post1094968

    Laurent Bervas a des billets qui sont bien, mais il n'a rien compris a l'offshoring le pauvre, il vient de s'installer il n'y a pas longtemps au Maroc.
    Le problème n'est pas Bervas ou le Munci. Quelques points précis et importants sont soulevés. La discussion serait celle de débattre de la pertinence ou le caractère erroné de ce constat.
    je l'ai ete...
    Raison de plus.


    Pour le retard, il est constaté de visu sur la vidéo. et c'est pas une question de semaines ni de quelques mois. Reste , .... le reste.

    Mon sentiment, c'est que ce casa machin est trop opaque et fait l'objet d'approximations à la limite du farfelu. Prenez, les emplois attendus :

    Une petite recherche et vous lirez tantot (pour les mêmes horizons ou à quelques années près), 10 000, 30 000 voire 100 000 et quelques fois 400 000 jusqu'à 500 000 emplois attendus.
    Dernière modification par jawzia, 11 mars 2008, 20h47.

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  • jawzia
    a répondu
    auscasa

    Pourquoi, pas ? Bonne résolution pour la résorption des bidonvilles casablancais.
    Dernière modification par jawzia, 11 mars 2008, 20h47.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    ouais il a eu quelques mois de retard, big deal, j'imagine que ca remet en jeu toute la politique de l'etat, je me marre...

    Pour le Munci,

    Laurent Bervas a des billets qui sont bien, mais il n'a rien compris a l'offshoring le pauvre, il vient de s'installer il n'y a pas longtemps au Maroc. Crois moi, ce n'est pas une autorite dans un quelconque domaine, c'est un simple agent immobilier qui veut profiter de l'effervescence economique que connait le pays, il n'est pas dans le domaine de l'offshoring, je l'ai ete...

    Le Munci, je pense que leur vision est claire, que ce soit dans l'acte I, acte II ou acte 15874523, ce sera la meme chose, la defense du salarie francais en vilipendiant les pays accuillants ces postes perdus en France, c'est de bonne guerre, mais ca ne change absolument rien a la realite, c'est la mondialisation...

    Donc le Munci dont les propos ne peuvent etre sujet a polemique selon toi est une blague, je recopie si tu n'as pas bien lu

    Si de telles déclarations sont confirmées, le président de la CNIL, par ailleurs sénateur, tient là des propos IRRESPONSABLES, qui témoignent de la vision fréquemment indifférente ou approximative que nos dirigeants politiques ont de l’offshoring et de ses conséquences sociales en France... IRRESPONSABLES à la fois en tant que sénateur, censé défendre d’abord les intérêts de la France et des travailleurs français, mais aussi en tant que président d’une autorité administrative indépendante, la CNIL, qui est un organisme administratif agissant au nom de l’État. Or, jusqu’à nouvel ordre, la CNIL n’a strictement AUCUNE PREROGATIVE pour "accompagner le développement de l’offshore" au Maroc !!?"


    L'énorme retard dans la livraison du projet
    Le problème de la confidentialité des informations
    et la rareté des ressources humaines.
    Yup ce sont 3 challenges a relever, comme dans tous les autres domaines... Le Munci ne nous apprend rien, on a deja identifie ces problemes et on a deja etabli des programmes depuis belle lurette pour les contrer. Le mythe du Maroc qui se casse la gueule sur l'offshoring est tres risible, il suffit de noter combien de compagnies delocalisent chaque... semaine... pour se rendre compte du non-serieux du propos...

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  • auscasa
    a répondu
    jawzia on a annuler le projet, on va plutot creer des habitat social dans ces batiment.

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  • jawzia
    a répondu
    Envoyé par Laurent Bervas
    Le Casaneashore a changé 3 fois de nom. Il s’est tout d’abord appelé Casashore, puis Casanearshore et enfin Casablanca Neashore Park. Le nom a changé chaque fois qu’un retard a été constaté ! Un bricolage pour cacher le retard sous le tapis ? (On notera que le “plan émergence” sur l’offshoring porte aujourd’hui le nom de “plan envol”. Faut t’il s’inquiéter ?)
    sensé être officiellement inauguré en Décembre 2007... Avancement des travaux !!!

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  • jawzia
    a répondu
    Ayoub

    Sauf que la teneur des propos dans l'Acte II ne sont pas ceux du Munci mais ceux de Laurent Bervas qui les a exposé dans l'un de ses excellents billets.

    Les seuls propos du Munci sont les trois points evoqués dans l'acte III et qui ne peuvent être sujets à equivoque puisque de notoriété publique :
    • L'énorme retard dans la livraison du projet
    • Le problème de la confidentialité des informations
    • et la rareté des ressources humaines.


    Donc comme tu vois, hormis le Munci, le fond du Topic est largement d'actualité.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Voila la "vision" du Munci et pourquoi il pense que ce qui se passe au Maroc est negatif, tout simplement ce que j'avais dit avant, il defend les interets des travailleurs francais, pour eux, un job cree au Maroc = un job perdu en France. bienvenue a la mondialisation...

    Le Munci reproche à la CNIL son parti pris pro offshore

    Lors de sa visite au Maroc, Alex Türk, le président de la CNIL, a non seulement mis en garde les prestataires offshore et leurs clients européens sur les risques liés à une protection insuffisante des données (cf notre brève du 7 février), mais il a également tenu des propos sur le développement de l’offshore au Maroc qui ont suscité la colère du Munci (Mouvement pour une Union Nationale et Collégiale des Informaticiens).

    En voici la teneur (extrait de son interview auprès du journal marocain "l’économiste") : "Les chefs d’entreprises que nous avons rencontrés au patronat à Casablanca sont pressés. Normal, parce que cette problématique conditionne un développement économique très important. Le patronat nous a expliqué que le pays compte passer le seuil des 100.000 emplois dans le domaine de l’offshoring à l’échéance 2012. C’est une excellente chose. Et la CNIL est là pour accompagner ce développement. Nous ne sommes pas venus empêcher quoi que ce soit. "

    En bref, le MUNCI lui reproche de cautionner le mouvement d’externalisation offshore, comme il l’a précisé dans un article du 11 février sur son site (extrait) : "Si de telles déclarations sont confirmées, le président de la CNIL, par ailleurs sénateur, tient là des propos IRRESPONSABLES, qui témoignent de la vision fréquemment indifférente ou approximative que nos dirigeants politiques ont de l’offshoring et de ses conséquences sociales en France... IRRESPONSABLES à la fois en tant que sénateur, censé défendre d’abord les intérêts de la France et des travailleurs français, mais aussi en tant que président d’une autorité administrative indépendante, la CNIL, qui est un organisme administratif agissant au nom de l’État. Or, jusqu’à nouvel ordre, la CNIL n’a strictement AUCUNE PREROGATIVE pour "accompagner le développement de l’offshore" au Maroc !!?"

    Sources : www.munci.org / www.cnil.fr

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  • Pihman
    a répondu
    Il y a certainement des cas d'echec d'externalisation

    MAIS cela ne se fera pas automatiquement au detriment des plateformes maghrébines

    au contraire, c'est parfois à leur avantage pour les raison de facilité de communication et de de cout de formation

    Un fournisseur d'équipement aeronautique a été obligé de renoncer à la roumanie et l'inde pour le maghreb pour ne pas avoir à traduire tous ses docs de procedures toutes ses correspondances et faire appel à des formateurs bilingues

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