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Les schistes bitumineux au Maroc peuvent dégager 50 Mrds de barils de petrole

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  • Les schistes bitumineux au Maroc peuvent dégager 50 Mrds de barils de petrole

    Les schistes bitumineux au Maroc peuvent dégager l'équivalent de 50 milliards de barils de pétrole

    A travers le pays, le potentiel en schistes bitumineux s’élève à 50 milliards de barils. Face à un baril à 100 dollars et plus, les frais engagés dans l’extraction en valent la peine.


    C’est un potentiel riche en schistes bitumineux que le Maroc a à son actif. Chiffrées à plus de 50 milliards de barils, les réserves géologiques du Royaume lui offrent des capacités énergétiques de taille.
    C’est ce qui ressort d’un rapport sur l’activité de l’Office nationale des hydrocarbures et des mines (ONHYM) durant l’exercice 2007.
    Si l’extraction de l’or noir de ces schistes bitumineux est coûteuse, la flambée des prix du pétrole incite les opérateurs à explorer ce qu’on appelle désormais « des sources exotiques ». Face à un baril à 100 dollars et plus, les marges de bénéfices n’en sont que plus alléchantes pour ces investisseurs, même si les factures de frais d’extraction sont exorbitantes.
    Évoquant la décision gouvernementale qui concerne l’amendement du Code des hydrocarbures, ce même rapport indique que le fait d’enrichir ce support avec les données relatives aux schistes bitumineux, ne peut être que rentable et à même d’en catalyser le développement.
    En ce sens que cette ressource offre un atout énergétique d’une importance stratégique.
    Il y a quelques mois déjà, l’ONHYM démentait la présence de schistes bitumineux dans la province de ********** Dès lors que des études étaient en cours et n’avaient, à cette date, pas conclu à coup sur la présence de grandes quantités de schistes bitumineux dans cette zone. En ce sens que pour mettre fin à plusieurs tergiversations autour du sujet, l’office avait publié un communiqué dans lequel il se prononcçait sur cela, mais où il mettait en relief l’attention accordée au bassin de Boujdour dans son plan de développement 2008-2012.
    « D’autres travaux complémentaires de géologie, de géophysique et de forage, programmés dans le cadre du plan de développement 2008-2012, seront réalisés sur ce même bassin et permettront d’approfondir nos connaissances sur les paramètres des formations géologiques, d’apprécier les différents systèmes pétroliers et de tester les objectifs définis », avait-on spécifié sur ce document.
    Parallèlement, autre bonne nouvelle apportée, le rapport d’exercice 2007. Cela concerne le volet de l’exploration minière. Cette section ayant fait montre de résultats concrets, et ce, sur la plupart des 20 projets conduits en 2007, avec notamment la confirmation des potentialités minières des sites de prospection de Azouggar N’Tilili, Glibat Lahfouda et Lafwila dans la zone Sud. Notons, par ailleurs, la spécificité de cette même région qui touche à la concentration de prospection pour les métaux précieux et lourds et, entre autres, le diamant. Sur un autre registre, ce sont 41 nouveaux permis de recherche et 4 autorisations de reconnaissance que le secteur minier national des hydrocarbures a relevés au terme de l’année 2007, fait savoir la même source. Ainsi, ce rapport souligne qu’à fin 2007, le domaine minier des hydrocarbures compte 58 permis onshore, 53 permis offshore, 7 autorisations de reconnaissance onshore et 10 concessions d’exploitation, et ce sur une superficie totale de 288.349 km2.
    Diffusé à l’occasion de la conférence internationale sur « les défis de l’exploration et de la production en Afrique du
    Nord », qui s’est déroulée du 12 au 14 mars à Marrakech, ce document met en exergue, de par ses informations, un retour en force de l’activité d’exploration pour les bassins onshore de par l’importance qui leur est accordée. Pour preuve, citons les découvertes enregistrées à l’échelle internationale sur des faciès similaires, à savoir que quelque 29 projets d’études ont été conduits durant l’année 2007, dont 26 en partenariat et 3 sur fonds propres de l’Office

    Le 17-3-2008

    aujourdhui.ma

  • #2
    Si l’extraction de l’or noir de ces schistes bitumineux est coûteuse, la flambée des prix du pétrole incite les opérateurs à explorer ce qu’on appelle désormais « des sources exotiques »
    ya monsieur,
    si jamais le maroc exploite son sol et met sur le marché 5O milliards de baril de petrole le prix du baril deviendra 10$:22:
    c'est la loi du marché

    si la demande>offre = le prix aumentera
    si l'offre > demande = le prix baissera:22:

    de toute façon tot ou tard vous sortirez du sahara occidentale alors c'est pas la peine de voler des maintenant les avoirs des sahraouis
    Dernière modification par fumeurdethé2, 17 mars 2008, 14h19.

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    • #3
      Un oubli majeur dans l article
      combien faut il de m3 de gaz pour transformer du bitumeux en un un baril de petrole


      In other words, the Canadian oil-sands industry consumes about 1.1 billion cubic feet of natural gas every day. Of all the gas consumed in Canada every day, more than half of it is used to turn bitumen – oil sand – into oil.

      Canada's National Energy Board says, "Natural gas requirements for the oil sands industry are projected to increase to 2.1 billion cubic feet (bcf) per day in 2015."
      Dernière modification par nacer-eddine06, 17 mars 2008, 14h23.
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        Solas il y a des procédés de recuperation in situ ( procédé Shell) pas besoin ni de gaz, ni d'eau .

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        • #5
          donc les canadiens ont rate un chapitre
          si c etait rentable crois moi qu ils l auraient fait
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            Solas, les canadiens le font déjà.
            Il représente un peu plus de 30% de l’ensemble des opérations de récupération des schistes.
            Par contre, c’est une technologie très complexe et très coûteuses (en matériel et ressources humaines) pour un pays non innovateur (c-a-d qui doit l’importer).
            Bonne chance pour nous fréres
            .


            Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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            • #7
              le maroc doit innover ds le solaire, ca ne sert a rien de perdre de l'argent ds ce genre de procede ds la limite est tres clair.... mais bon, pkoi pas pour un test sur qqe gisement et on aura une vrai reponse a nos questions.


              Le maroc comme l'algerie possedent a mes yeux les competences humaines et naturelles pour extraire le maximum d'energie du sahara, vous allez me dire comment...

              un exple en Afrique du sud, il utilise l'energie solaire de la journne pour chauffer des bassins d'eaux enfuit dans sous terres qui seront utiliser le soir pour produire de l'energie.

              Ca ne demande pas bcp de travail mais une volenter et surtt un systeme de distribution de l'eletricite bien moderne..... L'algerie comme le maroc sont deja inter-connecter, il suffit de donner un nouveau souffre pour rechauffer les relations entre les 2 pays et surtt pouvoir les garder a temperature embiente

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              • #8
                .....entre eux une température ambiante, et même chaleureuse s'il le faut .
                INCHAA ALLAH

                L’inconvénient avec l'extraction des schistes est les dégâts causés à mère nature, après l'extraction, le site ressemblera à une carrière à ciel ouvert.
                .


                Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                • #9
                  ayayaya

                  a besseha avec les schistes, vous en manquez des ressources hein
                  mais je crois que ce n'est pas assez rentable, le bresil et l'estonie en savent plus, d'après ce que j'ai lu dans un article, en tout cas c'est pour l'avenir

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                  • #10
                    procution du petrole à partir des sables bitumineux

                    http://fr.wikipedia.org/wiki/Sables_bitumineux_de_l'Athabasca

                    Merci Google, merci Wiki

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