Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le Maroc va-t-il couper le Gazoduc Maghreb-Europe?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le Maroc va-t-il couper le Gazoduc Maghreb-Europe?


  • #2
    Un demi milliards de mètres cube du gaz algérien sert au Maroc dans 2 usines la production d'électricité , fin du gazoduc prévu 2022 .

    Commentaire


    • #3
      C'est la plus mauvaise idée qu'on puisse avoir.

      Commentaire


      • #4
        Envoyé par hakimcasa Voir le message
        C'est la plus mauvaise idée qu'on puisse avoir.
        50% d'accord avec toi. D'un côté, ce ne serait pas bon pour le peuple algérien parce qu'en finalité c'est lui qui paiera les pots cassés de l'animosité de ses dirigeants. D'un autre côté, beaucoup a l'Est prennent sagesse pour faiblesse... et finalement, je n'ai pas vraiment vu de sentiment de solidarité algérien pour les paysans d'Al Arja, mis a part quelques personnes que l'on peut compter sur les doigts d'une main...

        En tous cas, cela montre, une fois de plus, l'incompetence et le degré de "ta7maritude" des dirigeants algeriens. Ils sont en pleine crise financiére, en situation de pre faillite et ils choisissent le moment ou le Maroc prend posession du Pipeline, ils savent que le Maroc a fait des decouvertes de gaz a quelques kms du pipeline en plus de l'offshore et ils continuent à vouloir le provoquer en bombant le torse.

        Ma foi, tant pis poir eux, comme le dit Abboud, si ca permet d'accelerer la chute du regime, tant mieux !
        Dernière modification par ayoub7, 07 avril 2021, 10h21.

        Commentaire


        • #5
          Si le Maroc empêche le gaz algérien de transiter par son territoire, il va s'attirer l'hostilité des états européens à qui ce gaz est destiné. Il ne faut pas l'oublier.

          Commentaire


          • #6
            Envoyé par hakimcasa Voir le message
            Si le Maroc empêche le gaz algérien de transiter par son territoire, il va s'attirer l'hostilité des états européens à qui ce gaz est destiné. Il ne faut pas l'oublier.
            Les interets nationaux d'abord.

            ​​​​​Je nai pas encore verifie les reserves dont parle Abboud mais si c'est confirmé, on pourra exporter...

            Sinin, je suis sur qu'un consulat espagnol, portuguais et algerien a Dakhla regleraient l'affaire

            ​​​​​​

            Commentaire


            • #7
              il faut s'y resoudre, le courant ne passe plus.

              Commentaire


              • #8
                je pense que le Maroc ne va pas rompre ses engegements envers les europeens qui souffrent de la russie ,c'est une occasion de montrer le respect des accords internationaux

                Commentaire


                • #9
                  Ces accords se terminent cette année. Je soupçonne que ce qui se passe avec ces complexés qui dirigent l'algerie est qu'ils ne veulent pas faire le pas de demander la reconduction de l'accord et le Maroc est en train d'attendre tranquillement son expiration...

                  Commentaire


                  • #10
                    Medgaz est le second gazoduc lui direct méditerranéen Algérie Espagne , là n'est la question si le Maroc va couper le gazoduc qui passe sur sont territoire mais juste qu'ont va lui coupé le gaz en 2022 a la fin du contrat non renouvellement .

                    Commentaire


                    • #11
                      le Maroc dispose de son propre gaz ​​​​​​

                      Par contre ce que je ne savais pas, c'est que l'Espagne a diminue de 50%! ses importations de gaz venant de l'algerie au profit du gaz américain...
                      Dernière modification par ayoub7, 07 avril 2021, 13h10.

                      Commentaire


                      • #12
                        La quantité de Gaz découverte et prouvée n'est pas du tout conséquente : dans le champs de TINDRARA c'est à peine 19 Milliards m3 alors que Le nouveau champ d’Anchois la quantité est environ 28 Milliards m3 ... en plus on pourra pas exploiter le champs de Tindrara avant fin 2022 alors que pour Le champ d’Anchois il faut attendre jusqu'au 2024 ...
                        Renouveler le contrat est dans l'intérêt de tout le monde Maroc Algérie et européens (Espagnols et portugais )
                        Pour le deuxième Gazoduc direct entre l'Algérie et l'Espagne il n'est à lui seul suffisant pour satisfaire les besoins et la demande espagnol comme formulé dans le dernier contrat ...

                        Commentaire


                        • #13
                          Envoyé par ayoub7 Voir le message
                          Ces accords se terminent cette année. Je soupçonne que ce qui se passe avec ces complexés qui dirigent l'algerie est qu'ils ne veulent pas faire le pas de demander la reconduction de l'accord et le Maroc est en train d'attendre tranquillement son expiration...
                          c'est un peu ça, il faut noter que l'algerie a construit une deviation du gazoduc maghreb europe vers medgaz cad sans passer par le maroc, devant etre pret en 2020

                          et donc l'algerie s'est preparé pour couper

                          article 2018


                          Manœuvres géopolitiques autour du gazoduc Maghreb-Europe?

                          https://www.medias24.com/images/phot...licence004.jpgSamir El Ouardighi


                          Le 20 septembre 2018 à18:23

                          Modifié le 20 septembre 2018 à 18:23

                          Le contrat du gazoduc algérien Maghreb-Europe qui fournit l’Espagne via le Maroc, moyennant une redevance annuelle de 0,5 milliard de mètres cubes, s’achèvera en 2021. L’accord pourrait ne pas être reconduit sachant que l'Algérie affirme avoir lancé un chantier pour construire un autre gazoduc qui lui permettra, à partir de 2020, de se passer du tronçon marocain. Selon une source marocaine crédible, cette annonce géopolitique destinée à provoquer une réaction marocaine n’aura aucune incidence sur la capacité du Maroc à trouver d’autres fournisseurs.

                          Encore dépourvu de réserves en gaz et de station de traitement pour le stocker en masse, le Maroc s’approvisionne auprès de son voisin algérien pour ses besoins gaziers.

                          Depuis son entrée en service en 1996, le gazoduc Maghreb-Europe, long de 1.300 km, part du gisement algérien de Hassi R’mel, traverse 540 km de territoire marocain avant de continuer sa route (maritime et terrestre) jusqu’à sa destination finale, Cordoue.

                          En échange du droit de passage du gaz algérien (13,5 milliards de mètres cubes par an), le Maroc perçoit, depuis 2011, une redevance annuelle en nature d’un demi-milliard de mètres cubes de gaz, soit près de la moitié de la consommation annuelle du Royaume.

                          Notons qu’avant d’être payé en gaz pour approvisionner, en partie, ses 2 centrales électriques très proches du gazoduc, le Royaume percevait 100 à 150 millions de dollars/an.

                          Simple nouveau gazoduc ou embargo gazier ?

                          Le gazoduc est propriété de l'Espagne jusqu'en 2020. En 2021, il devient propriété du Maroc. Il ne s'agit donc pas de la fin d'un contrat mais d'un changement de propriété.

                          Trois ans avant cette date, la presse algérienne rapporte que son ministre de l’Energie a lancé, mercredi 12 septembre, un chantier de déviation du GME reliant directement l’Algérie à l’Espagne sans passer par le Maroc, et qui sera prêt en 2020.

                          Le ministre algérien a déclaré que le branchement du GME (Gazoduc Maghreb Europe) au gazoduc Medgaz (qui a une capacité de 8 MM m3/an) avait pour seul objectif d’accroître le volume des exportations gazières de l'Algérie. Les médias des deux pays ont toutefois interprété ses déclarations comme une volonté de se préparer à la non-reconduction de l'accord de transport de gaz en 2021.

                          Interrogé par Médias24, un grand opérateur énergétique marocain nous déclare qu’en lançant ce chantier, les autorités algériennes désirent sonder les intentions marocaines par un ballon d’essai.

                          Selon lui, c’est une partie d’échecs qui se joue entre trois acteurs (Algérie, Espagne, Maroc) voisins qui se jaugent et où chaque coup gagné est une victoire géopolitique.

                          Pour l'Algérie, construire ce nouveau gazoduc serait une prise de position déguisée voulant mettre le Maroc en position de demandeur en 2021 mais également un moyen d’affirmer sa puissance énergétique sachant que ce pays fournit l'essentiel du gaz consommé au Maroc.

                          En 2021, prendront fin deux contrats essentiels: Le 1er concerne le GME et le 2ème lie l’ONEE (Office national de l’électricité) à la Sonatrach (2011-2021) qui lui livre chaque année 640 M m3 de gaz pour alimenter les deux centrales électriques de Aïn Béni Mathar (470 MW) et Tahaddart (385 MW).

                          Aucune difficulté pour le Maroc à remplacer son fournisseur historique

                          "Si en 2021, l'Algérie décide d'arrêter de livrer l'Espagne à travers le GME, il n'y aura plus de redevance gazière pour le Royaume. Mais le Maroc n’aura aucun mal à trouver un autre fournisseur. Le problème n’est pas de remplacer le gaz algérien, il est plutôt d’ordre géopolitique. Pour faire court, la démarche algérienne est de mettre son voisin dans l’embarras en le privant de ressources gazières.

                          "Si nous consommons 1,1 MM m3/an dont 0,5 MM viennent de la redevance et 0,6 MM achetés à l’Algérie, nous pourrons cependant nous fournir auprès des USA, de la Russie ou du Qatar qui ne demandent que ça.

                          "Dans le cas où notre voisin refuserait de renouveler le transit par le GME, le Maroc peut très bien lui proposer d’acheter son gaz sans condition préférentielle. Ainsi l’Espagne vient de renouveler avec ce pays un contrat de fourniture portant sur une quantité annuelle de 10 milliards de mètres cubes.

                          "Il parait improbable que l’Algérie se refuse à nous livrer comme elle le ferait avec n’importe quel autre client; mais au pire, nous pourrions, s’il le faut, acheter du gaz à l’Espagne", précise notre source qui se veut optimiste en assurant que d’ici 2021, le Maroc sera en mesure de se passer du gaz algérien.

                          Notre interlocuteur avance, en effet, qu’au terme des 3 ans restants, les recherches gazières entreprises par la société d’exploration Sound Energy, à Tendrara dans l’Oriental, aboutiront à une exploitation effective.

                          Tendrara, une solution pour quelques années

                          Il faudra attendre 2019 ou 2020 pour connaître avec précision le volume des réserves commercialisables des puits de Tendrara. Il apparaît cependant déjà probable qu’elles seront suffisantes et que Sound Energy pourra mettre, chaque année sur le marché entre 0,5 et 1 MM m3.

                          En fonction du volume des futures découvertes gazières, Sound Energy a d’ailleurs déjà prévu de se brancher sur le tronçon marocain du GME pour, le cas échéant, exporter son gaz vers le continent européen via l’Espagne.

                          Une consommation de 5 milliards de mètres cubes de gaz à l’horizon 2025

                          Sachant que le ministère de l’Energie prévoit en 2025 une consommation nationale annuelle de 5 MM m3 de gaz, le Maroc a lancé deux grands projets qui permettront de sécuriser ses importations de gaz et d’assurer l’approvisionnement de ses centrales électriques à cycle combiné, gaz-charbon.

                          Le premier consiste à construire une énorme station de traitement de gaz naturel liquide (GNL) sur le site de Jorf Lasfar pour un montant de 45 milliards de DH. Le chantier censé démarrer en 2014 n’a toujours pas avancé.

                          En parallèle, le Maroc a signé, lors d’une visite royale au Nigéria, un protocole d’accord avec ce grand pays producteur pour construire un gazoduc reliant le Nigéria à l’Europe via le Maroc.

                          Sachant que les études techniques (tracé, pays traversés…) n’ont pas encore été finalisées, on ne connaît pas encore la date de sa mise en service ni son coût qui devrait cependant s’élever à plusieurs milliards de dollars.

                          Au final, si le terminal gazier a plus de chances de voir le jour avant le gazoduc Maroc-Nigéria, tout se jouera en fonction de la volonté politique au Maroc et en Afrique.

                          le maroc aussi s'y est preparé depuis 2014 et une des solostions serait d'importer depuis l'espagne via ce meme gazoduc qui est reversible

                          https://www.medias24.com/MAROC/ECONO...n-en-2021.html
                          Dernière modification par oumbar, 07 avril 2021, 13h29.

                          Commentaire


                          • #14
                            Aie aie aie.. ça doit chialer chez la Junte :"7agrouna lmrarqa"...

                            Nous on attendra le Hirak pour renouveler .. et les généraux seraient dans un EHPAD regardant la télé les retrouvailles entre les peuples, le train Tanger Tunis, l'autoroute bondée de Casa à la Tunis ..

                            Commentaire


                            • #15
                              Envoyé par sergio Voir le message
                              Pour le deuxième Gazoduc direct entre l'Algérie et l'Espagne il n'est à lui seul suffisant pour satisfaire les besoins et la demande espagnol comme formulé dans le dernier contrat ...

                              l'espagne a importé en 2020 pour 9,6 Milliards de m3 algerien (dont une partie est destinée au Portugal) alors que la capacité totale de medgaz est à plus de 11 milliards

                              Algérie-Espagne : Mise en service du gazoduc Medgaz en avril


                              18 MARS 2011 À 1 H 00 MIN


                              11
                              «La mise en service de ce gazoduc commencera le mois d’avril avec l’acheminement des quantités de gaz contractuelles», a déclaré le ministre à la presse à l’issue d’une séance d’ouverture des offres pour l’attribution de blocs d’exploration d’hydrocarbures. Peu auparavant, le représentant du groupe espagnol Cepsa, dont la compagnie a décroché un bloc d’exploration lors de cet appel d’offres, a avancé que «l’entrée en service de ce projet interviendra le 1er avril 2011». . Le Medgaz va relier l’Algérie (Beni Saf) à l’Espagne (Almeria), et devrait acheminer près de 8 milliards de mètres cubes par an, alors que sa capacité de transit totalise les 11,4 milliards de mètres cubes. D’une longueur de 1050 km, dont 550 km sur le territoire algérien, Medgaz a coûté près d’un milliard d’euros. Le 1er mars, les partenaires de Medgaz ont procédé à sa mise en gaz avec succès, avec l’ouverture symbolique de la vanne du gazoduc.
                              plus, le Medgaz deviens prioritaire

                              Sonatrach devient actionnaire majoritaire du gazoduc Medgaz

                              Par Rédaction AE -
                              30 mai 2020 /
                              Dernière modification par oumbar, 07 avril 2021, 13h51.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X