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Le 15 novembre, le sultan al-Jaber, directeur général d’ADNOC, a fait savoir que pour répondre à la croissance prévue de la demande énergétique sur les 10 prochaines années, l’industrie du pétrole et du gaz a besoin de 600 milliards de dollars par an. Ceci, jusqu’en 2030.
Le responsable a fait cette déclaration dans le cadre du salon du pétrole et du gaz Adipec qui se déroule actuellement à Abou Dabi. L’évènement arrive deux jours après la conférence de la COP 26 où les pays producteurs d’énergies fossiles se sont engagés à accélérer l’abandon du charbon et à supprimer les subventions inefficaces aux combustibles fossiles en général.
« Si nous voulons réussir la transition vers le système énergétique de demain, nous ne pouvons pas simplement nous débrancher du système énergétique d’aujourd’hui. Nous ne pouvons pas simplement appuyer sur un interrupteur […]. Alors que le monde a accepté d’accélérer la transition énergétique, il est encore fortement dépendant du pétrole et du gaz […]. La demande a dépassé l’offre et, après près d’une décennie de sous-investissement dans notre industrie, le monde a sombré dans une pénurie d’approvisionnement. Il est temps de se réveiller », a-t-il expliqué.
Africanews
Le responsable a fait cette déclaration dans le cadre du salon du pétrole et du gaz Adipec qui se déroule actuellement à Abou Dabi. L’évènement arrive deux jours après la conférence de la COP 26 où les pays producteurs d’énergies fossiles se sont engagés à accélérer l’abandon du charbon et à supprimer les subventions inefficaces aux combustibles fossiles en général.
« Si nous voulons réussir la transition vers le système énergétique de demain, nous ne pouvons pas simplement nous débrancher du système énergétique d’aujourd’hui. Nous ne pouvons pas simplement appuyer sur un interrupteur […]. Alors que le monde a accepté d’accélérer la transition énergétique, il est encore fortement dépendant du pétrole et du gaz […]. La demande a dépassé l’offre et, après près d’une décennie de sous-investissement dans notre industrie, le monde a sombré dans une pénurie d’approvisionnement. Il est temps de se réveiller », a-t-il expliqué.
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