Les prix du pétrole continuent de baisser ce mardi 16 août. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre se situe en dessous des 95 dollars et le baril américain demeure sous la barre des 89 dollars. Les mauvaises nouvelles de l’économie chinoise et l’espoir d’un accord sur le nucléaire iranien sont les principales raisons.
Les investisseurs surveillent de très près les discussions sur le nucléaire iranien qui sont dans leur dernière phase - semble t-il-. Si un accord est conclu il devrait entraîner la fin des sanctions américaines, décidées après le retrait américain de l'accord de 2015, et par conséquent le retour du pétrole iranien sur le marché mondial.
L'Iran -qui dispose des troisièmes réserves d’or noir au monde- pourrait alors augmenter sa production de brut d’un million de barils par jour en quelques mois et inonder un marché tandis que la demande faiblit en raison de contraction de la demande chinoise, estiment les analystes. En effet, l’économie chinoise, grande consommatrice de pétrole, montre des signes de faiblesse. En juillet, les ventes de détail et la production industrielle ont connu un ralentissement inattendu en raison de la politique zéro Covid conduite par Pékin et de la crise immobilière.
Après avoir flambé en début d’année avec la forte demande post-Covid et le début de l’invasion russe en Ukraine, les cours du baril ont perdu plus de 20% en deux mois. Une bonne nouvelle pour le consommateur qui subit la hausse des prix de l'énergie. Par ailleurs, la chute des prix du brut affecte la monnaie russe. Le rouble s’est affaibli à 62 roubles pour un dollar américain ce mardi 16 août.
RFI
Les investisseurs surveillent de très près les discussions sur le nucléaire iranien qui sont dans leur dernière phase - semble t-il-. Si un accord est conclu il devrait entraîner la fin des sanctions américaines, décidées après le retrait américain de l'accord de 2015, et par conséquent le retour du pétrole iranien sur le marché mondial.
L'Iran -qui dispose des troisièmes réserves d’or noir au monde- pourrait alors augmenter sa production de brut d’un million de barils par jour en quelques mois et inonder un marché tandis que la demande faiblit en raison de contraction de la demande chinoise, estiment les analystes. En effet, l’économie chinoise, grande consommatrice de pétrole, montre des signes de faiblesse. En juillet, les ventes de détail et la production industrielle ont connu un ralentissement inattendu en raison de la politique zéro Covid conduite par Pékin et de la crise immobilière.
Après avoir flambé en début d’année avec la forte demande post-Covid et le début de l’invasion russe en Ukraine, les cours du baril ont perdu plus de 20% en deux mois. Une bonne nouvelle pour le consommateur qui subit la hausse des prix de l'énergie. Par ailleurs, la chute des prix du brut affecte la monnaie russe. Le rouble s’est affaibli à 62 roubles pour un dollar américain ce mardi 16 août.
RFI
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