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Algerie : une industrie pharmaceutique en plein développement

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  • Algerie : une industrie pharmaceutique en plein développement

    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

  • #2
    Enfin des bonnes nouvelles, j'espère que d'autres ressources commence à se réaliser pour le peuple algérien et pour le reste de l'Afrique.Inch'allah

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    • #3


      Ali Aoun : Ahmed Ouyahia voulait la liquidation du Groupe Saïdal !

      ...( 12 : 00)

      Dernière modification par sako, 19 septembre 2022, 20h45.

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      • #4
        mtn, il faut juste que les gens tombent malades....comme cette industrie tournera à fond...

        drôle de monde et drôle de temps, plus les gens tombent malades, plus l'industrie pharma tourne, et cerise sur le gâteaux, ca fait partie de la croissance du pays

        ps: je parle de tout les pays de la planète....ghi 3tiwni tissa3

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        • #5
          La venue de Aoun sera benefique à l'industrie pharmaceutique en algérie

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          • #6

            La venue de Aoun sera benefique à l'industrie pharmaceutique en algérie
            Ali Aoun est un cadre competent, integre et ambitieux.
            ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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            • #7
              Absolument faux. Quand Aoun a pris Saidal, celle ci a été totalement restructurée dans le temps par les pouvoirs publics: effacement des dettes, crédits soutenus, prix libérés et multipliés par 4 à 10 fois. C'est au contraire une entreprise assainie qu'il a prise. Après, tout le partenariat qui a tourné autour de Saidal avec les grands laboratoires a été encouragé et soutenu par les pouvoirs publics (Etat, holdings etc....).

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              • #8
                Un temoignage d'euronews, du beau marketing pour l'industrie pharmaceutique dz

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                • #9
                  En effet, le deal de Macron à l'émissaire de la junte Tebboune, c'était on vient prendre plus de gaz, et on vous fera en retour un peu de pub sur euronews pour la consommation interne.

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                  • #10
                    Bonne nouvelle pour mon pays ...


                    Nabil Mellah, le « patron » algérien politiquement incorrect


                    Détenu depuis quinze mois, le fondateur de l’une des sagas industrielles à succès en Algérie a été condamné à quatre ans de prison à la fin de juillet.


                    Il y a trente ans, on aurait dit de lui : « C’est un patron rouge. » Médecin entrepreneur, mêlé à ses collaborateurs, souvent en tenue de motard, Nabil Mellah n’est pas reconnaissable dans les allées du siège de Merinal, une entreprise de près de 1 000 employés, modèle à forte identité sociale, deuxième laboratoire pharmaceutique algérien et premier par les exportations en 2020.

                    Cet entrepreneur iconoclaste à succès, trop encombrant pour les autorités algériennes, a fêté son cinquantième anniversaire derrière les barreaux. Détenu depuis quinze mois, il a été lourdement condamné à quatre ans de prison le 31 juillet, pour infraction à la législation des mouvements de capitaux, en dépit d’une expertise judiciaire qui l’avait disculpé. La défense a fait appel de ce verdict, mais le « découragement dans le monde de l’entreprise en Algérie est, lui, sans appel », s’inquiète Reda Amrani, expert en industrie.

                    « La figure la plus emblématique d’une nouvelle génération de chefs d’entreprise »


                    À l’affût des innovations et des anticipations de marché, le jeune leader aux convictions « industrialistes » fortes, a incarné la politique de substitution aux importations, et la production de médicaments génériques, qui a permis à la filière algérienne de la pharmacie de couvrir jusqu’à 60 % de parts de marché en 2020. Ce lauréat du baccalauréat scientifique à 16 ans, primé par le président Chadli Bendjedid, a hissé Merinal au sommet de l’industrie des médicaments du pays avec 60 millions de boîtes produites en 2021. Son dernier pari : capter, après les leçons de la crise du Covid, une partie des relocalisations de fabrication des donneurs d’ordre européens dans la plus grande usine d’Algérie, qu’il devait inaugurer sous peu.

                    « Durant les années Bouteflika, il était la figure la plus emblématique d’une nouvelle génération de chefs d’entreprise qui n’hésite pas, à haute voix, à mettre les pouvoirs publics face à leurs responsabilités afin que l’économie marche », témoigne un de ses pairs. Un état d’esprit toléré jusqu’à un certain seuil avant « la remise en ordre » qui a frappé tous les milieux « qui n’applaudissent pas », selon sa formule, à l’arrivée du nouveau pouvoir en 2019.
                    « Le problème n’est plus économique, mais politique »


                    Au seuil du fourgon de gendarmerie qui allait l’emmener en prison, le 9 mai 2021, Nabil Mellah demandait à ses proches « d’aller doucement » dans sa défense. « Il est réprimé pour son statut de patron engagé, mais il ne veut gêner personne au sein de sa famille et de son entreprise avec ses engagements personnels », rapporte l’avocate Zoubida Assoul.

                    Nabil Mellah est, en quelque sorte, revenu, en même temps que les Algériens, de sa quête de développement sous un régime autocratique cleptomane. « Le problème n’est plus économique, mais politique », expliquait-il déjà aux dernières années de l’ère Bouteflika.



                    Le chef d’entreprise s’était engagé dans le mouvement Mouwatana, hostile au cinquième mandat du président vieux et malade. Il a ensuite, avec sa compagne, Amina, manifesté tous les vendredis lors des marches du Hirak, lancées en février 2019. Critique assidu sur son compte Twitter, il a aussi soutenu la liberté de la presse, en étant notamment actionnaire de Radio M, webradio poil à gratter.

                    Déjà condamné à une peine avec sursis début 2021, il avait alors publié un oracle saisissant : «Je suis révolté par mon impuissance face à l’insulte qui m’est faite et qui est faite à l’entreprise. Mon unique recours pour l’heure : écrire et dénoncer. En revanche, dans un certain sens, ils m’ont rendu service : désormais, je suis contraint de me retirer du monde du travail. Une sorte de retraite forcée. »
                    وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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                    • #11
                      Dommage pour nabil mellah, que le justice prenne son cours, mais pour merinal, il reste un acteur principal ds l'industrie pharmaceutique dz.
                      Un acteur de santé publique
                      Plus qu’un laboratoire pharmaceutique, MERINAL ambitionne d’être un véritable acteur de santé publique en Algérie.

                      En mettant sur le marché annuellement plus de 50 millions d’unités vente, MERINAL accompagne les praticiens de la santé dans leur noble mission de prise en charge des patients algériens.

                      Une qualité reconnue
                      En tant que laboratoire pharmaceutique, MERINAL s’engage à offrir les meilleures garanties de qualité en matière de produits, de procédés, et de services, dans le strict respect des bonnes pratiques de fabrication, de la réglementation en vigueur, ainsi que des exigences de ses clients.

                      Ces efforts incessants ont ainsi permis à MERINAL de positionner nombre de ses produits parmi les leaders de leurs classes thérapeutiques.

                      100% Algérien
                      MERINAL, c’est avant tout des équipes 100% algériennes. Notre Laboratoire compte ainsi, parmi ses actionnaires, de nombreux professionnels de la santé, notamment des pharmaciens et des médecins. L’implication, la rigueur, et le sérieux de ses 600 collaborateurs ont permis à MERINAL, non seulement de s’imposer sur le marché algérien, mais également de relever le défi de l’exportation dans 7 pays.

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