Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Economie algérienne : le ministre des Finances expose les prévisions de croissance en 2023

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • kamel075
    a répondu
    un secteur en plein développement depuis interdiction importation des produit électricité industrie algérienne a relever le défis

    2023 GE va commencer la construction de pièce pour turbines

    L'industrie locale activant dans la filière de l'électricité, a pu réduire et compenser les importations d'une valeur de 1,2 milliard USD au cours de l'année écoulée, grâce à la stratégie nationale adoptée pour promouvoir cette filière industrielle, a ajouté M. Zeghdar.

    Laisser un commentaire:


  • kamel075
    a répondu
    enfin le chiffre a était publier

    Les ressources du Fonds de régulation des recettes atteindront 2.300 milliards DA à la fin de 2022 soit 17 milliard $

    la lois de finance 2023 annonce un déficit de 5000 milliard DA

    se font sert a payer le déficit budgétaire

    Laisser un commentaire:


  • kamel075
    a répondu
    tout et magnifique

    surtout les chiffre de agriculture et industrie

    faut pas oublier que pour les finance

    le calcule de référence et de 60$ le barils pour le budget 2023 et le pétrole et 90$ a se jours

    soit 50% de plus prévus pour le budget

    Laisser un commentaire:


  • Economie algérienne : le ministre des Finances expose les prévisions de croissance en 2023

    Le ministre des Finances, Brahim Djamel Kassali, a exposé, dimanche à Alger, les prévisions de croissance de l’économie algérienne en 2023.

    Lors d’une séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN), consacrée aux réponses du ministre aux interrogations des députés sur le Projet de loi de finances (PLF-2023), M. Kassali indiqué qu’un taux de croissance économique global de 4,1% est attendu l’année prochaine, contre 3,7% d’ici à la fin de l’année en cours, « expliquée par les performances de l’ensemble des secteurs, à l’exception du secteur des hydrocarbures qui connaitra un stabilité en termes de volume », a-t-il expliqué.

    Le ministre des Finances a précisé que le taux de croissance hors hydrocarbures devrait atteindre 5,6% en 2023, grâce aux performances prévues dans différents secteurs d’activités, contre 4,6% d’ici à fin 2022.

    Une production prévisionnelle de 67 millions de quintaux de céréales en 2023

    Le secteur de l’Agriculture devrait enregistrer un taux de croissance de 6,9% en 2023, motivée principalement par une hausse de plus de 50% de la production céréalière qui passera de 41 millions de quintaux en 2022 à 67 millions de quintaux en 2023, a-t-il encore fait ressortir.

    Par ailleurs, les secteurs de l’industrie et du Bâtiments et Travaux publics (BTP) devront atteindre respectivement des taux de 8,5% et 5,6%, bénéficiant d’une hausse des dépenses d’équipement et de plusieurs avantages offerts aux investisseurs à la faveur de la nouvelle loi relative à l’investissement, en plus de l’extension des zones industrielles et la reprise des activités de plusieurs entreprises.

    Le secteur des services marchands devrait bénéficier de la dynamique que connaissent d’autres secteurs, ajoute le ministre, faisant savoir que les exportations hors hydrocarbures continueront d’augmenter en 2023 de plus de 7% par rapport aux prévisions de clôture pour 2022, contre une diminution prévue des importations « pour renforcer l’approche du Gouvernement visant à les rationaliser ».
    Balance commerciale, réserves de change et inflation


    La balance commerciale connaîtra, ainsi, un excédent l’année prochaine de 9,4 milliards de dollars à la faveur de l’augmentation du niveau des exportations à 46,3 milliards de dollars, par rapport au niveau attendu des importations, prévu à 36,9 milliards de dollars, poursuit-il, selon le compte-rendu de l’agence APS.

    Cela mènera à une augmentation des réserves de change, prévues d’ici la fin de 2023 à 59,7 milliards de dollars, soit une augmentation de 9% par rapport aux réserves attendues d’ici à la fin de 2022.

    Concernant l’inflation qui a constitué l’un des points évoqués par les députés, le ministre a souligné que le Gouvernement s’attèle à la juguler à court terme, en ce sens qu’elle devrait ralentir en 2023 pour atteindre 5,1 %, contre 7,7 % dans les prévisions de clôture pour 2022.

    Cette amélioration de 2,6 points de pourcentage interviendra, selon M. Kassali, grâce « aux politiques adoptées par les pouvoirs publics en vue de garantir la disponibilité des produits de base à des prix en adéquation avec les revenus des citoyens, contrôler les prix et lutter contre la spéculation ».

    algerie-eco.
Chargement...
X