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Medgaz : des études sur l’adaptation des insfrastructures au transport combiné de gaz naturel et de l’hydrogène

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  • Medgaz : des études sur l’adaptation des insfrastructures au transport combiné de gaz naturel et de l’hydrogène



    Le gazoduc Medgaz, via lequel est acheminé le gaz algérien depuis Beni-Saf (Ain Témouchent) vers Almeria (Espagne), fera l’objet d’études sur l’adaptation de ses installations au transport combiné de gaz naturel et de l’hydrogène.

    C’est ce qu’a annoncé, le 18 novembre en cours, la Socété Medgaz, détenue par le groupe Sonatrach à 51% et Medina Partnership (société conjointe à parts égales entre l’espagnol Naturgy et l’américain BlackRock) avec une participation de 49%.

    Dans un communiqué publié sur son site web, Medgaz s’est engagé « à étudier l’adaptation de ses installations au transport combiné de gaz naturel et de l’hydrogène »

    « Dans sa ferme volonté d’accompagner les changements et les mutations énergétiques vers un environnement plus propre, la société Medgaz a convenu de réaliser les études pertinentes pour adapter les installations existantes au transport combiné de gaz naturel et de l’hydrogène. Un marché qui selon plusieurs prévisions offre des perspectives d´un développement intéressant et prometteur, notamment en Europe », a annoncé la Société.

    A cet effet, Medgaz a indiqué qu’elle « va réaliser durant l’année 2023 les études nécessaires afin d´examiner la compatibilité de ses infrastructures avec le transport de l’hydrogène selon plusieurs proportions de mélanges avec le gaz naturel (ce qui est connu comme blending). » « En parallèle, un groupe de travail sera mis en place pour développer les opportunités d’affaires dans ce domaine », a expliqué la même source.

    Medgaz a exprimé sa « ferme intention de s’aligner et de s’adapter aux normes réglementaires en cours de développement en Algérie, en Espagne et en Europe, relatives au transport de l’hydrogène par gazoducs. Offrant ainsi une infrastructure de fourniture d’énergie fiable pour l’Europe et à faible empreinte carbone. »

    La Société a rappelé qu’elle vient de mener à bien l’extension de ses installations avec la mise en marche d’un quatrième compresseur au niveau de la station de Béni Saf (Algérie) qui permet de porter la capacité de transport à 10 bcm par an.

    algerie-eco

  • #2
    Cette news est passé inaperçu mais c'est une bombe !

    BlackRock, le monstre de la finance qui s'en mêle.

    C'est une très bonne nouvelle pour l'Algérie

    Commentaire


    • #3
      les allemand et algériens travail a se projet utiliser les gazoducs Espagne et Italie pour transporter hydrogéne si cette technique fonctionne Algérie pourra alimenter toute Europe en hydrogéne trais compétitif

      L’Allemagne mise sur l’hydrogène algérien

      Réseau de transport de l’hydrogène

      Pour ce qui est du transport de l’hydrogène, les experts des deux pays estiment que cette problématique ne se pose pas. L’Algérie dispose d’une infrastructure et d’un réseau de transport important, que ce soit pour l’hydrogène liquéfié ou gazéifié. Le réseau de transport du gaz passera de plus de 20.000 km pour une capacité de 400.000 millions de tonnes par an, à 27.291 km en 2027, en plus des gazoducs qui relient l’Algérie à l’Europe. «A cette infrastructure locale s’ajoutent deux gazoducs qui relient l’Algérie à l’Europe pour ce qui est de l’hydrogène gazéifié et la possibilité de l’utilisation des méthaniers pour le transport de l’hydrogène liquéfié, les deux options sont donc envisageables pour l’exportation de l’hydrogène, d’après les rédacteurs de ladite étude.


      Energie Verte: L’Algérie est en passe de devenir le leader mondial de l’exportation d’hydrogène

      L’Algérie dispose de potentiels d’énergies renouvelables qui la qualifient pour produire de l’hydrogène propre à des prix compétitifs et le transporter par gazoducs à un taux sûr de 10%.

      Cela intervient à un moment où l’Algérie négocie avec l’Allemagne pour construire une usine d’hydrogène vert, d’une capacité de production de 20 mégawatts, avec des attentes pour commencer à exploiter ce projet d’ici 2024.


      Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a affirmé que l’Algérie est capable de jouer un rôle mondial de premier plan dans le domaine de la production d’hydrogène.

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      • #4
        Une premiere mondiale, ce serait peut être comme le gnl

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