Le patronat marocain (CGEM) et le Conseil de la Promotion du Commerce extérieur de Chine (CCPIT) ont tenu, vendredi dernier, une rencontre économique visant à présenter aux opérateurs économiques chinois les opportunités de commerce et d’investissement au Maroc, et dans la région de Casablanca-Settat en particulier.
Cette rencontre, qui a connu la participation de plus de 200 sociétés chinoises, visait à créer des synergies et partenariats concrets entre les entreprises des deux pays, ainsi que d’encourager les sociétés chinoises à s’établir dans cette région qui présente plusieurs opportunités aux investisseurs, notamment à la veille de la mise en œuvre de la nouvelle Charte de l’Investissement, indique la CGEM.
Lors de cette rencontre, l’Ambassadeur du Maroc en Chine, Aziz Mekouar, a souligné que « malgré la crise sanitaire internationale, la coopération Maroc-Chine et les échanges commerciaux ont connu un essor significatif ». La Chine reste le 3e partenaire commercial du Maroc depuis 2016 jusqu’à 2021, ainsi rappelé le diplomate, soulignant que ces échanges, qui ont connu une croissance de 50%, passant de 4 à 6 milliards de dollars, « témoignent de la force et de la pérennité de cette relation qui s’est dotée d’un cadre de coopération et de mécanismes de suivi inédits
l'économiste
Cette rencontre, qui a connu la participation de plus de 200 sociétés chinoises, visait à créer des synergies et partenariats concrets entre les entreprises des deux pays, ainsi que d’encourager les sociétés chinoises à s’établir dans cette région qui présente plusieurs opportunités aux investisseurs, notamment à la veille de la mise en œuvre de la nouvelle Charte de l’Investissement, indique la CGEM.
Lors de cette rencontre, l’Ambassadeur du Maroc en Chine, Aziz Mekouar, a souligné que « malgré la crise sanitaire internationale, la coopération Maroc-Chine et les échanges commerciaux ont connu un essor significatif ». La Chine reste le 3e partenaire commercial du Maroc depuis 2016 jusqu’à 2021, ainsi rappelé le diplomate, soulignant que ces échanges, qui ont connu une croissance de 50%, passant de 4 à 6 milliards de dollars, « témoignent de la force et de la pérennité de cette relation qui s’est dotée d’un cadre de coopération et de mécanismes de suivi inédits
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