L’investissement industriel en Algérie attire les entreprises japonaises. Plusieurs de ces entreprises sont intéressées par les domaines de l’industrie mécanique, particulièrement l’industrie automobile.
Cette volonté de la part des entreprises japonaise, a été exprimée par le ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères japonais, Kenji Yamada, lors de sa rencontre ce dimanche, avec le ministre de l’Industrie, Ahmed Zaghdar.
Affirmant que les relations entre l’Algérie et le Japon sont des relations « historiques et privilégiées », le ministre japonais a indiqué, également, que d’autres secteurs économiques intéresseraient les entreprises de son pays. Notamment, « dans les domaines de la fabrication des médicaments et de l’énergie », a-t-il précisé, indiquant que ces entreprises “se préparent à se conformer aux nouvelles dispositions nécessaires à l’accès au marché algérien”.
Le responsable japonais a affirmé la volonté de son pays de renforcer la présence de ses entreprises en Algérie, notamment au vu de sa position stratégique permettant l’accès aux marchés africain, européen et arabe. Il a également exprimé la disposition de son pays à doubler d’efforts en vue de promouvoir les relations bilatérales entre les deux pays, en particulier dans le domaine économique.
Pour le ministre de l’Industrie, la rencontre a été l’occasion d’expliquer et de présenter le contenu de la nouvelle loi sur l’investissement et les réformes engagées par le président de la République, soulignant que l’Algérie “attire désormais tous les États, dont le Japon”.
Maghreb Emergent
Cette volonté de la part des entreprises japonaise, a été exprimée par le ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères japonais, Kenji Yamada, lors de sa rencontre ce dimanche, avec le ministre de l’Industrie, Ahmed Zaghdar.
Affirmant que les relations entre l’Algérie et le Japon sont des relations « historiques et privilégiées », le ministre japonais a indiqué, également, que d’autres secteurs économiques intéresseraient les entreprises de son pays. Notamment, « dans les domaines de la fabrication des médicaments et de l’énergie », a-t-il précisé, indiquant que ces entreprises “se préparent à se conformer aux nouvelles dispositions nécessaires à l’accès au marché algérien”.
Le responsable japonais a affirmé la volonté de son pays de renforcer la présence de ses entreprises en Algérie, notamment au vu de sa position stratégique permettant l’accès aux marchés africain, européen et arabe. Il a également exprimé la disposition de son pays à doubler d’efforts en vue de promouvoir les relations bilatérales entre les deux pays, en particulier dans le domaine économique.
Pour le ministre de l’Industrie, la rencontre a été l’occasion d’expliquer et de présenter le contenu de la nouvelle loi sur l’investissement et les réformes engagées par le président de la République, soulignant que l’Algérie “attire désormais tous les États, dont le Japon”.
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