La première école doctorale d’astrophysique en Algérie, voire au Maghreb, mise sur rails lors de l’année pédagogique écoulée à l’université Mentouri de Constantine, a donné des résultats «encourageants», indiquent ses responsables.
La première école doctorale d’astrophysique en Algérie, voire au Maghreb, mise sur rails lors de l’année pédagogique écoulée à l’université Mentouri de Constantine, a donné des résultats «encourageants», indiquent ses responsables. L’école «se sent prête», estime la même source, à poursuivre son chemin et à organiser le 2ème concours d’entrée pour les étudiants répondant aux conditions et désireux de rejoindre ses rangs. L’expérience de la mise sur pied de cette école «est intéressante à plus d’un titre», notamment le plan mis en place pour assurer l’encadrement des étudiants, assure-t-on de même source.
Le projet qui semblait, à première vue, hors de portée des moyens scientifiques disponibles dans le pays, a pu mettre en synergie les compétences existantes au sein des universités algériennes, notamment celles de Constantine et de Batna, dans les grands centres nationaux de recherche dans ce domaine comme le CRAAG d’Alger et le Centre des techniques spatiales (CTS) d’Arzew en plus de professeurs visiteurs de l’étranger. Dès sa première année d’existence l’école a pu organiser, en avril dernier, avec la collaboration de l’université de Batna, une rencontre internationale d’astrophysique intitulée «The Aurasesian workshop on astrophysics and astronomy» qui a réuni toute la communauté nationale activant dans le domaine de l’astronomie avec des spécialistes venus d’Europe des Etats-Unis et du Moyen-Orient.
Cette rencontre avait permis de dresser un état des lieux de l’astronomie et de l’astrophysique en Algérie et de prospecter son avenir, souligne-t-on. Le projet de création d’un observatoire d’astronomie dans le massif des Aurès, associé à cette école, est également «sur la bonne voie», selon la même source qui rapporte que deux missions, dont une japonaise, ont prospecté le site d’implantation de ce projet qui va «permettre à l’Algérie d’inscrire son nom sur la carte mondiale des grands observatoires dont elle est jusqu’ici singulièrement absente».
La consolidation de l’école doctorale d’astrophysique va également permettre à l’Algérie de marquer sa présence dans la célébration de «l’Année Mondiale de l’Astronomie 2009» décidée par l’ONU et l’UNESCO, souligne-t-on.
Le financier
La première école doctorale d’astrophysique en Algérie, voire au Maghreb, mise sur rails lors de l’année pédagogique écoulée à l’université Mentouri de Constantine, a donné des résultats «encourageants», indiquent ses responsables. L’école «se sent prête», estime la même source, à poursuivre son chemin et à organiser le 2ème concours d’entrée pour les étudiants répondant aux conditions et désireux de rejoindre ses rangs. L’expérience de la mise sur pied de cette école «est intéressante à plus d’un titre», notamment le plan mis en place pour assurer l’encadrement des étudiants, assure-t-on de même source.
Le projet qui semblait, à première vue, hors de portée des moyens scientifiques disponibles dans le pays, a pu mettre en synergie les compétences existantes au sein des universités algériennes, notamment celles de Constantine et de Batna, dans les grands centres nationaux de recherche dans ce domaine comme le CRAAG d’Alger et le Centre des techniques spatiales (CTS) d’Arzew en plus de professeurs visiteurs de l’étranger. Dès sa première année d’existence l’école a pu organiser, en avril dernier, avec la collaboration de l’université de Batna, une rencontre internationale d’astrophysique intitulée «The Aurasesian workshop on astrophysics and astronomy» qui a réuni toute la communauté nationale activant dans le domaine de l’astronomie avec des spécialistes venus d’Europe des Etats-Unis et du Moyen-Orient.
Cette rencontre avait permis de dresser un état des lieux de l’astronomie et de l’astrophysique en Algérie et de prospecter son avenir, souligne-t-on. Le projet de création d’un observatoire d’astronomie dans le massif des Aurès, associé à cette école, est également «sur la bonne voie», selon la même source qui rapporte que deux missions, dont une japonaise, ont prospecté le site d’implantation de ce projet qui va «permettre à l’Algérie d’inscrire son nom sur la carte mondiale des grands observatoires dont elle est jusqu’ici singulièrement absente».
La consolidation de l’école doctorale d’astrophysique va également permettre à l’Algérie de marquer sa présence dans la célébration de «l’Année Mondiale de l’Astronomie 2009» décidée par l’ONU et l’UNESCO, souligne-t-on.
Le financier