Yenagoa - Plusieurs centaines de rebelles nigérians opérant dans la région du Delta du Niger ont rendu leurs armes dans le cadre d’une amnistie gouvernementale. Le pouvoir cherche ainsi à sécuriser cette zone pétrolifère perturbée par les actions rebelles.
La cérémonie, organisée à Yenagoa, la capitale de l’Etat de Bayelsa, est la plus importante depuis le lancement il y a deux semaines d’un programme d’amnistie prévu pour durer 60 jours.
"Nous renonçons à nos armes pour donner une chance à la paix et pour que les compagnies pétrolières et d’autres multinationales s’implantent dans notre région pour la développer", a déclaré Erepamutei Olotu, connu sous le nom de général Ogunbos.
En juin dernier, le président Umaru Yar’Adua a offert une amnistie sans condition à tous les activistes armés qui seraient prêts à rendre les armes. L’objectif est de sécuriser cette région où les troubles ont entravé l’exploitation pétrolière.
Sabotages d’oléoducs, attaques d’installations pétrolières et enlèvements d’employés de ce secteur depuis le début 2006 ont coûté des milliards de dollars de manque à gagner au Nigeria, huitième pays exportateur de pétrole de la planète.
Cette insécurité a également contribué aux tensions et à la volatilité des cours du pétrole. Le gouvernement fédéral espère que ce programme de désarmement et de réinsertion permettra de réintégrer dans la société quelque 10’000 hommes armés.
SDA-ATS
La cérémonie, organisée à Yenagoa, la capitale de l’Etat de Bayelsa, est la plus importante depuis le lancement il y a deux semaines d’un programme d’amnistie prévu pour durer 60 jours.
"Nous renonçons à nos armes pour donner une chance à la paix et pour que les compagnies pétrolières et d’autres multinationales s’implantent dans notre région pour la développer", a déclaré Erepamutei Olotu, connu sous le nom de général Ogunbos.
En juin dernier, le président Umaru Yar’Adua a offert une amnistie sans condition à tous les activistes armés qui seraient prêts à rendre les armes. L’objectif est de sécuriser cette région où les troubles ont entravé l’exploitation pétrolière.
Sabotages d’oléoducs, attaques d’installations pétrolières et enlèvements d’employés de ce secteur depuis le début 2006 ont coûté des milliards de dollars de manque à gagner au Nigeria, huitième pays exportateur de pétrole de la planète.
Cette insécurité a également contribué aux tensions et à la volatilité des cours du pétrole. Le gouvernement fédéral espère que ce programme de désarmement et de réinsertion permettra de réintégrer dans la société quelque 10’000 hommes armés.
SDA-ATS
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