L'agent libyen Abdelbaset Ali al-Megrahi, seul condamné pour l'attentat de Lockerbie (Ecosse) qui avait fait 270 morts en 1988, a publié sur internet vendredi des documents légaux de sa défense afin de convaincre de son innocence.
Ces 353 pages font partie de la défense produite en appel de sa condamnation, qui n'a pas été étudié car il a été libéré de prison en raison de sa santé le mois dernier. Il les a rendus publics pour les familles des victimes de l'attentat et des Ecossais.
Les 270 passagers et membres d'équipage du vol de la Pan Am, principalement des Américains, et 11 personnes au sol avaient été tués le 21 décembre 1988, lorsqu'une bombe placée dans l'avion explosa au-dessus de l'Ecosse. Il a pu rentrer en Libye, où son accueil en héros a été dénoncé par plusieurs pays occidentaux.
"Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour persuader le public, et en particulier les Ecossais, de mon innocence", explique-t-il dans son communiqué. "J'espère que cela pourrait aider à comprendre mon cas, en particulier ceux qui en ont été affectés".
Al-Megrahi, qui souffre d'un cancer de la prostate et n'aurait plus que trois mois à vivre selon les médecins, a été libéré le mois dernier par les autorités écossaises pour raisons humanitaires.
source : AP
Ces 353 pages font partie de la défense produite en appel de sa condamnation, qui n'a pas été étudié car il a été libéré de prison en raison de sa santé le mois dernier. Il les a rendus publics pour les familles des victimes de l'attentat et des Ecossais.
Les 270 passagers et membres d'équipage du vol de la Pan Am, principalement des Américains, et 11 personnes au sol avaient été tués le 21 décembre 1988, lorsqu'une bombe placée dans l'avion explosa au-dessus de l'Ecosse. Il a pu rentrer en Libye, où son accueil en héros a été dénoncé par plusieurs pays occidentaux.
"Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour persuader le public, et en particulier les Ecossais, de mon innocence", explique-t-il dans son communiqué. "J'espère que cela pourrait aider à comprendre mon cas, en particulier ceux qui en ont été affectés".
Al-Megrahi, qui souffre d'un cancer de la prostate et n'aurait plus que trois mois à vivre selon les médecins, a été libéré le mois dernier par les autorités écossaises pour raisons humanitaires.
source : AP