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C'était à Oujda en1975

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  • #31
    bachi ce n'est pas 1973 qui justifie l'expulsion de 1975 , si tu relis bien j'ai dit que c'était justifié par la prise de position politique de ces marocains et compensé par les évènements de 1973 et 1994.
    Super, l'expulsion , l'expropriation de 350.000 marocains en 1975 se justfife par ce qu'on subit certains touristes algériens en 1994 ......

    c'est logique .....

    PS : en 1973 , les mesures d'expropriation (et pas d'expulsion le jour de l'Aid) on touchés majoritairement et dans un ordre décroissant , des francais , des espagnols , des Marocains ..... et puis des algériens .

    compare ce qui est comparable s'il te plait.
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #32
      Bourguignon tu es d'une mauvaise foie incroyable.

      Jamais les algériens résident au Maroc n'ont été traités comme ça.
      Vous parlez de la marocanisation qui a touché du syrien au français en passant par l'espagnols l'algérien ou le sénégalais.

      Cette loi de la marocanisation (catastrophique) n'a touché que 237 algériens, 237... C'est rien comparé aux milliers d'espagnols et français expropriés.
      Et c'est anécdotique comparé aux 350 000 marocains qui ont laissé leur vie en Algérie (et pas leur pretites vacances).

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      • #33
        D'une vous confondez les 350 000 marocains qui ont fait la marche verte avec les 45 000 qui ont été expulsés.
        De deux monsieur beidawi , il n'a pas été question de viols ou de violences sauf chez les recalcitrants mais ça ce n'est pas l'apanage de la police algerienne et SI, l'expulsion et la spoliation des algeriens en 1973 que le roi a toujours refusé d'indemniser s'assimile bien à celle des marocains d'algerie.
        La présence des algeriens au Maroc était quand même bien négligeable comparée à celle venue du Maroc vers l'Algerie durant la colonisation.
        Dernière modification par Bourguignon89, 25 décembre 2009, 16h58.

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        • #34
          HOUARI ne me réponds plus

          c est ça qui manque de la parti gouvernante au Maroc ...

          - glorifier la monarchie alaouite , tant mieux , mais rabaisser et falsifier l Histoire du Voisin , ça c est inacceptable .
          Toi t'es un perroquet ,aucun sens d'analyse ni de synthèse,tu me ramènes rien de nouveau ,tu me saoules avec tes messages et je t'ai demandés la dernière fois de ne plus répondre à mes messages.

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          • #35
            Cette loi de la marocanisation (catastrophique) n'a touché que 237 algériens
            Faux Beidawi , ce n'etait pas une marocanisation , c'etait une étatisation...... meme les marocains sont passés à la trappe.

            et quand bien meme elle aurait touché 350.000 algériens, ceux ci n'ont jamais été brutalement expulsé avec leur famille ..... et un jour de 3id en plus .

            franchement , c'est une honte suprême que de vouloir comparer les deux évènements.
            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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            • #36
              Cell les français ont été indemnisés, les Algeriens n'ont obtenu que du vent t'en dis quoi de ça ?

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              • #37
                D'une vous confondez les 350 000 marocains qui ont fait la marche verte avec les 45 000 qui ont été expulsés.
                c'est 45.000 familles ...... soit à peu prés 350.000 personnes

                et quand bien meme ca serait 45.000 , ca ne rend pas le geste moins horrible.


                Cell les français ont été indemnisés, les Algeriens n'ont obtenu que du vent t'en dis quoi de ça ?
                que le régime marocain à l'epoque a commis une grande injustice envers ces algériens , et que si aujourd'hui , l'un d'entre eux exigait réparation , je le soutiendrais sans ménagement au lieu d'essayer de justifier cette infamie par une autre infamie
                " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                • #38
                  En parlant la loi du dahir du 2 mars 1973, elle n'a pas été respectée notamment pour les proprietaires algeriens :

                  Le plus grave, c’est que cette loi n’a été appliquée que contre nos ressortissants, comme nous avons pu le constater sur place. Une discrimination que ne peuvent justifier ni expliquer des responsables concernés du royaume. Embarrassés, ils fondent cependant un grand espoir dans le réchauffement des relations entre nos deux pays pour « rétablir nos frères algériens dans leurs droits ». Guercif, dans l’Oriental. Une agglomération moyenne qui, économiquement, reste à la traîne des autres cités du territoire chérifien. Une situation que la fermeture des frontières terrestres en 1994 a davantage noircie. Mohamed-Abdelouahab Bousmaha, le représentant d’une famille algérienne de Sidi Bel Abbès dépossédée, les larmes aux yeux, nous prie de nous arrêter pour nous montrer « les dizaines d’hectares qui nous ont été pris injustement ». Située en plein centre urbain, une partie des terres a été donnée en exploitation à un citoyen marocain qui a pignon sur rue. L’autre a été transférée pour utilité publique. C’est quand même curieux cette réquisition par l’Etat de ces biens en ce sens que cette grande superficie est située en zone urbaine donc, en principe, non concernée par la loi royale. D’ailleurs, le maire de Guercif le reconnaît dans une attestation signée le 10 juin 2003. « Cette parcelle se trouve dans le secteur urbain de la ville de Guercif conformément au découpage administratif de l’année 1992. » A la Conservation foncière de Taza, un responsable qui connaît bien le dossier avoue : « Ce cas est inexpliqué. Normalement, cette terre ne devrait pas être touchée par la loi de 1973, mais... » Gêné, il continue : « Mais il devrait être réglé avec ce dégel entre nos deux pays. Patience. » Et qu’en est-il des autres biens, dont seuls les Algériens ont été touchés ? Notre interlocuteur, embarrassé, dit poliment : « Espérons qu’un autre Dahir sortira pour annuler le premier. » Il n’en dira pas plus. L’avocat de la famille de Mohamed-Abdelouahab Bousmaha, un Algérien installé à Oujda depuis longtemps, est perplexe : « Malgré tous nos documents et un dossier bien ficelé, les différentes instances marocaines continuent de faire la sourde oreille. Nos courriers restent sans réponse. » Au consulat d’Algérie à Oujda, le vice-consul nous reçoit expéditivement et nous rassure : « Le dossier des Algériens expropriés est entre de bonnes mains. » Nous lui avons demandé de nous communiquer le nombre de nos concitoyens victimes de ce Dahir. « Tous les dossiers se trouvent à notre ambassade de Rabat. » Et comme si ce dossier était du domaine du secret défense, le vice-consul précipita notre départ. Qu’à cela ne tienne. A l’ambassade, l’attaché de presse nous informe : « Ce dossier est bien pris en charge par les autorités algériennes. » Nous apprendrons que sur le territoire chérifien 14 000 Algériens sont recensés, mais qu’il en existe plus de 60 000. Quant aux victimes de ce Dahir, point de chiffre. Dans la même circonscription de Guercif, la famille Abbou parle de cette spoliation avec amertume : « Non seulement ils nous ont pris nos terres, mais ils nous ont chassés du Maroc comme des malfrats. Ils nous ont éloignés du royaume pour nous empêcher de défendre nos droits. »

                  Pour continuer sur la lancée des témoignages :

                  La famille Khiter, originaire de Khemis Miliana, se rappelle la période durant laquelle leur ferme de valeur et près de 300 ha situés à Agadir ont été transférés à l’Etat. « Du jour au lendemain, on nous a réduits à des gueux. Mais à ce jour nous continuons à lutter par la voie légale pour récupérer nos biens. » A Casablanca, K. Khiter, une Algérienne, chef d’entreprise, respectée pour les prouesses qu’elle accomplit dans son domaine ( le traitement des eaux), parle de l’expropriation avec tristesse, colère et impuissance : « Loin de juger qui que ce soit, il faut qu’on sache que nos biens actés nous ont été pris. Légalistes, nous continuons à lutter pour recouvrer nos droits. » Et de nous montrer un dossier volumineux transmis à toutes les instances des deux pays. La famille Louzri de Soumaâ, à Blida, possède (ou possédait) des biens à Beni Mellal. « Nous sommes très nombreux éparpillés sur tout le territoire du Maroc. Et tous les Algériens dans notre cas ne demandent qu’une seule chose : nos droits. » Sur le boulevard Mohammed V, à Casablanca, se dresse majestueusement l’hôtel Lincoln.
                  Une association pour recouvrer les droits
                  Une infrastructure dont sont fiers les Casablancais de souche. Mais le Lincoln n’est pas fonctionnel. Les travaux de restauration sont à l’arrêt. La raison ? Le propriétaire : la famille Bendra, d’origine algérienne, de l’extrême ouest. Et cela explique tout. Un journaliste du Matin Eco, nous sachant algériens, essaie de commenter cette situation : « Cet hôtel est une fierté pour nous. Sa restauration n’est pas allée à son terme parce que les autorités reprochent au propriétaire, à ce qu’il paraît, de ne pas respecter l’architecture du monument. Espérons que toutes les parties arriveront à une solution parce que cette fermeture dénature quelque peu ce boulevard de renom. » Maigre justification : les Casablancais interrogés sur la situation du Lincoln n’y vont pas par quatre chemins pour reconnaître que la raison est toute simple : « C’est un Algérien et certains acceptent mal qu’un Algérien réussisse. Et puis le projet est tellement grandiose qu’il attise les convoitises. » Les Algériens propriétaires de biens fonciers victimes des dépassements des autorités marocaines sont très nombreux. Pour défendre leurs droits, ils s’attellent à créer une association dénommée Algériens expropriés au Maroc (ALEMA), dont le président provisoire est Mohamed-Abdelouahab Bousmaha, résidant à Sidi Bel Abbès. « Nous lançons un appel à tous les Algériens expropriés au Maroc de nous contacter au 070 36 01 13 ou au 071 33 03 05 pour constituer notre association qui est encouragée par notre ambassade à Rabat et nos différents consulats au Maroc. Nos objectifs sont clairs : nous sommes apolitiques. Nous voulons recenser tous les concernés par ce problème et défendre les droits de cette catégorie d’Algériens résidant en Algérie ou au Maroc. Enfin, nous sommes optimistes quant à l’issue de nos revendications, surtout que les relations entre nos deux pays repartent sur de bonnes bases », souligne M. Bousmaha. Le site de cette association est en construction. Nos différents interlocuteurs affirment : « On ne peut pas envisager le raffermissement des relations entre les deux pays si ce contentieux - un parmi d’autres - n’est pas réglé. Ce serait hypocrite et fragile de rebâtir une union sur des litiges lourds. C’est comme si on construisait une maison sur un volcan. »

                  Chahredine Berriah

                  Il n'y a pas de chiffres avancés sur le nombre d'algeriens expulsés mais c'est bien plus que 200 personnes.

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                  • #39
                    Bourguignon88

                    D'une vous confondez les 350 000 marocains qui ont fait la marche verte avec les 45 000 qui ont été expulsés.
                    Tu confends famille et individus..
                    Il s'agissait de 45000 familles . si tu multiplies par une moyenne de 7 ou 8 par famille ça fait bien 350 000 .
                    C'est peut être une coincidence que ce soit le même nombre que celui des marocains ayant participé à la marche verte , ou Boumedienne avait fait d'expluser exprêt le même nombre pour passer le message à H2 .. comme quoi ana warak wi zammam tawil...
                    Vive le Sahara marocain et vive l'UM(A)

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                    • #40
                      Il n'y a pas de chiffres avancés sur le nombre d'algeriens expulsés mais c'est bien plus que 200 personnes.
                      soyons fous et multiplions ce chiffre par 10.


                      2000 algériens qui ont été expropriés dans le cadre d'une ETATISATION FORCé que meme les marocains ont subies , .

                      ca reste quand meme sans commune mesure avec ce que Boumédiéne a fait

                      mais le pire , c'est que VOUS , (certains) algériens n'hesitez pas à mettre en balance ces deux évènement dans une tentative désespérée de trouver le point d'equilibre . ne serait ce pas plus simple de désavouer l'action de Boumediéne et de reconnaitre que l'algérie a eu effectivement tord ....... ??

                      ca ne cicatrisera probablement pas les blessures des personnes lésées de part et d'autre , mais au moins ca te permettra de faire preuve d'une clairvoyance qui ne peut que t'honnorer .

                      penses y ..............
                      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                      • #41
                        PERSONNE N AVAIT ETE INDEMNISE, ni algériens ni français ni quoi que ce soit.

                        Les algériens ont été les derniers frappés par le dahir de la marocanisation qui à 90% a touchés des français et des espagnols sans qu'ils soient ni indémnisés ni quoi que ce soit. loinnnnn devant les 237 algériens expropriés.

                        Ils ont eux, en plus pu garder leur maison, leurs affaires, et ils ont eu le droit de rester vivre au Maroc.
                        Il y'a avit et y'a toujours des dizaines de milliers d'algériens au Maroc. Ils sont restés eux, ils n'ont jamais été ni touchés ni spoliés ni quoi que ce soit. mais eux pourquoi tu ne parles pas d'eux.

                        pour chaque algériens expropriés 1500 marocains ont été expulsés, une vrai politique raciste: 237 * 1500= 350 000 env

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                        • #42
                          Il faut bien ouvrir les yeux à beaucoup d'entre vous qui ont tendance à surestimer l'expulsion de 1975 par rapport à ce qui a été commis à l'encontre des algeriens du Maroc. Moi au contraire j'égalise tout en parlant de compensation. Il faut seulement ne pas dépasser le cadre de l'affaire, d'ailleurs qu'attendent ces associations pour réclamer officiellement leur dû plutôt que de se cacher derrière des medias qui déforment l'information à leur guise, ce que je dénonce implicitement depuis le début.

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                          • #43
                            D'une vous confondez les 350 000 marocains qui ont fait la marche verte avec les 45 000 qui ont été expulsés
                            C'est toi qui fais des confusions. Personne n'a parlé des marcheurs qui n'ont rien à voir avec les 350 000 (?) Marocains expulsés d'Algérie.
                            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                            • #44
                              Bourguignon tu est en train de négocier sur les faits.
                              Les algériens du Maroc, et j'en connais quelques uns, (Boudiaf aussi en était un), vivent très bien au Maroc, et ce n'est pas 237 expropriés en 1973 qui vont y changer grand chose.
                              De même que les français vivant au Maroc n'ont aucun souci avec ce pays, et ce n'est pas les milliers de français expropriés en 1973 qui vont y changer quoi que ce soit.

                              On ne négocie pas quant on a commis l'irréparable. Le Maroc n'a rien à se reprocher, tout le reste n'est que mensonge et propagande.

                              Par exemple Bourguignon, ce n'est pas en disant qu'en 1994 des résidents algériens ont été expulsés que tu va changer l'Histoire ce n'est pas aussi simple.
                              Car tout le monde sait bien qu'en 1994 SEULS quelques milliers de touristes ONT ETE PRIES de quitter le territoire et non chassés violement,

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                              • #45
                                Moi au contraire j'égalise tout en parlant de compensation.
                                Il n'est pas question de hierarchiser les responsabilités ou les méfaits.
                                Mais c'est faux, Bourgignon ne parlait pas de compensation. Il trouvait l'expulsion des Marocains justifiée.
                                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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