Le Premier ministre russe a confirmé vendredi à Nicolas Sarkozy la décision de Moscou de geler la livraison de missiles anti-aériens perfectionnés de type S-300 à l'Iran, déclare la présidence française.
Vladimir Poutine a précisé au président français, lors d'un déjeuner à l'Elysée, que les Iraniens étaient "très mécontents" et voulaient infliger à Moscou des pénalités pour non exécution de ce contrat signé depuis plusieurs années mais dont la Russie différait la mise en oeuvre, a-t-on précisé de même source.
Selon l'Elysée, Nicolas Sarkozy a estimé que c'était une mesure "extrêmement courageuse". Il s'est également félicité de ce que la Russie se soit jointe aux dernières sanctions votées par le Conseil de sécurité de l'Onu contre l'Iran.
Emmanuel Jarry, édité par Yves Clarisse
Vladimir Poutine a précisé au président français, lors d'un déjeuner à l'Elysée, que les Iraniens étaient "très mécontents" et voulaient infliger à Moscou des pénalités pour non exécution de ce contrat signé depuis plusieurs années mais dont la Russie différait la mise en oeuvre, a-t-on précisé de même source.
Selon l'Elysée, Nicolas Sarkozy a estimé que c'était une mesure "extrêmement courageuse". Il s'est également félicité de ce que la Russie se soit jointe aux dernières sanctions votées par le Conseil de sécurité de l'Onu contre l'Iran.
Emmanuel Jarry, édité par Yves Clarisse
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