Egypte : Moubararak et sa famille jugés pour corruption ?
L'ex-Président Hosni Moubarak et sa famille, ainsi que des ex-responsables seront entendus par le parquet général égyptien pour corruption dès qu'il sera en possession des rapports et des résultats des investigations menées par les dispositifs de contrôle sur la base des plaintes déposées contre eux.
20 parquets enquêtent assidûment, a-t-il dit, dans les dossiers de corruption et les plaintes introduites à ce sujet afin de trancher au plus vite dans ces affaires et ester en justice les personnes impliquées, précisant que «personne n'échappera à la sanction».
Le parquet général avait demandé au dispositif de contrôle l'assistance judiciaire afin de prendre les mesures de gel, de confiscation et de rapatriement des fonds de l'ex-Président et de sa famille, ainsi que ceux de certains responsables qui se trouvent à l'étranger.
Vendredi, quelque 50 000 Egyptiens se sont rassemblés à la place Tahrir au Caire demandant le jugement des symboles de l'ancien système, tels le président du conseil consultatif, l'ex-secrétaire général du parti national démocratique au pouvoir, Safouat Cherif, le président du Parlement, Fethi Serrour, et le chef du cabinet présidentiel, Zakaria Azmi.
Le procès du ministre de l'Intérieur, le général Habib El Adli, accusé de cumul de biens en usant de sa fonction et de blanchiment d'argent devrait s'ouvrir aujourd'hui.
InfoSoir
L'ex-Président Hosni Moubarak et sa famille, ainsi que des ex-responsables seront entendus par le parquet général égyptien pour corruption dès qu'il sera en possession des rapports et des résultats des investigations menées par les dispositifs de contrôle sur la base des plaintes déposées contre eux.
20 parquets enquêtent assidûment, a-t-il dit, dans les dossiers de corruption et les plaintes introduites à ce sujet afin de trancher au plus vite dans ces affaires et ester en justice les personnes impliquées, précisant que «personne n'échappera à la sanction».
Le parquet général avait demandé au dispositif de contrôle l'assistance judiciaire afin de prendre les mesures de gel, de confiscation et de rapatriement des fonds de l'ex-Président et de sa famille, ainsi que ceux de certains responsables qui se trouvent à l'étranger.
Vendredi, quelque 50 000 Egyptiens se sont rassemblés à la place Tahrir au Caire demandant le jugement des symboles de l'ancien système, tels le président du conseil consultatif, l'ex-secrétaire général du parti national démocratique au pouvoir, Safouat Cherif, le président du Parlement, Fethi Serrour, et le chef du cabinet présidentiel, Zakaria Azmi.
Le procès du ministre de l'Intérieur, le général Habib El Adli, accusé de cumul de biens en usant de sa fonction et de blanchiment d'argent devrait s'ouvrir aujourd'hui.
InfoSoir
Commentaire