Apres l'episode de la coiffeuse Tunisenne, il est toujours bon de renseigner sur les femmes des presidents
Simone Ehivet Gbagbo, née en 1949 à Moossou, commune de Grand-Bassam a été la Première dame de Côte d'Ivoire, en tant qu'épouse de Laurent Gbagbo, président de la république de 2000 à 2010. Elle exerce sur son époux une certaine influence. Elle est surnommée la « Hillary Clinton des tropiques.
Simone Ehivet est la fille de Jean Ehivet, gendarme de son état et de Marie Djaha. Issue d'une famille de dix-huit enfants, elle a quinze sœurs. C'est une historienne, docteur 3e cycle en littérature orale, chercheur en linguistique appliquée et syndicaliste marxiste très proche des milieux évangéliques américains.
Elle participe aux mouvements de grève de l'enseignement en 1982, et fonde dans la clandestinité, avec son mari, le futur Front populaire ivoirien (FPI). Syndicaliste active dans les années 1970, elle a été plusieurs fois emprisonnée pour sa lutte en faveur du multipartisme lors de ces années, et torturée. Élue députée de la commune d'Abobo en 1996[4], elle est présidente du groupe du FPI à l'Assemblée nationale. En 1996, elle réchappe d'un accident de voiture avec son mari, ce qui lui vaut de devenir une femme très pieuse, notamment lorsqu'elle rencontre en 1998 le pasteur Koré, lequel l'oriente du catholicisme vers la foi évangélique. Influencée jusque dans sa carrière, elle déclare lors d'un discours : « Merci à Dieu de nous avoir donné ce président de la République. Merci mon Dieu tout simplement d'être Dieu ». Première dame du pays depuis 2000, alors que son époux devient président de la République, elle ne se cantonne pas à un rôle de représentation. Loin des paillettes et des artifices, elle se retrouve au cœur même des grandes décisions politiques de son pays. Ses actions dans le pays ne se limitent donc pas aux associations caritatives. Son bagage de syndicaliste et de politicienne lui permet de prendre ouvertement position sur la politique de la Côte d'Ivoire. Elle est très proche des Jeunesses Patriotes, les mouvements de jeunesse soutenant son mari.
Sa position de Première dame lui vaut également le fait de passer pour une conseillère de l'ombre de son mari, sinon de peser sur la vie politique du pays. Elle déclare ainsi à L'Express : « Tous les ministres ont du respect pour moi. Et on me situe souvent au-dessus d'eux ». Certains membres du gouvernement de son époux étaient des proches de Simone Gbagbo avant de se retrouver dans l'équipe gouvernementale, à l'instar du Premier ministre Gilbert Marie N'gbo Aké ou de la ministre de la lutte contre le Sida, Christine Adjobi, sa cousine.
(c) wiki
Simone Ehivet Gbagbo, née en 1949 à Moossou, commune de Grand-Bassam a été la Première dame de Côte d'Ivoire, en tant qu'épouse de Laurent Gbagbo, président de la république de 2000 à 2010. Elle exerce sur son époux une certaine influence. Elle est surnommée la « Hillary Clinton des tropiques.
Simone Ehivet est la fille de Jean Ehivet, gendarme de son état et de Marie Djaha. Issue d'une famille de dix-huit enfants, elle a quinze sœurs. C'est une historienne, docteur 3e cycle en littérature orale, chercheur en linguistique appliquée et syndicaliste marxiste très proche des milieux évangéliques américains.
Elle participe aux mouvements de grève de l'enseignement en 1982, et fonde dans la clandestinité, avec son mari, le futur Front populaire ivoirien (FPI). Syndicaliste active dans les années 1970, elle a été plusieurs fois emprisonnée pour sa lutte en faveur du multipartisme lors de ces années, et torturée. Élue députée de la commune d'Abobo en 1996[4], elle est présidente du groupe du FPI à l'Assemblée nationale. En 1996, elle réchappe d'un accident de voiture avec son mari, ce qui lui vaut de devenir une femme très pieuse, notamment lorsqu'elle rencontre en 1998 le pasteur Koré, lequel l'oriente du catholicisme vers la foi évangélique. Influencée jusque dans sa carrière, elle déclare lors d'un discours : « Merci à Dieu de nous avoir donné ce président de la République. Merci mon Dieu tout simplement d'être Dieu ». Première dame du pays depuis 2000, alors que son époux devient président de la République, elle ne se cantonne pas à un rôle de représentation. Loin des paillettes et des artifices, elle se retrouve au cœur même des grandes décisions politiques de son pays. Ses actions dans le pays ne se limitent donc pas aux associations caritatives. Son bagage de syndicaliste et de politicienne lui permet de prendre ouvertement position sur la politique de la Côte d'Ivoire. Elle est très proche des Jeunesses Patriotes, les mouvements de jeunesse soutenant son mari.
Sa position de Première dame lui vaut également le fait de passer pour une conseillère de l'ombre de son mari, sinon de peser sur la vie politique du pays. Elle déclare ainsi à L'Express : « Tous les ministres ont du respect pour moi. Et on me situe souvent au-dessus d'eux ». Certains membres du gouvernement de son époux étaient des proches de Simone Gbagbo avant de se retrouver dans l'équipe gouvernementale, à l'instar du Premier ministre Gilbert Marie N'gbo Aké ou de la ministre de la lutte contre le Sida, Christine Adjobi, sa cousine.
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