IRIB- Après le massacre de la population civile, les arrestations arbitraires, la destruction des mosquées, le régime des Al-e Khalifa profane, désormais, les tombes des grands oulémas chiites.
Les images diffusées sur l’internet montrent les forces de l’ordre bahreinis bien à l’œuvre. Ces dernières détruisent les lieux de cultes chiites, brûlent les Corans, arrêtent les députés et les femmes bahreïnies et, comble d’ignominie, profanent le carré des oulémas, dans les cimetières chiites. Cette profanation vire souvent à l’excavation des tombes. «C’est au tour des morts», s’insurgeait, hier, le reporter d’Al-Manar, sur place. Selon ce reportage, deux députés du parlement bahreïni ont, aussi, présenté leur démission, mardi, pour protester contre la répression sanglante en cours. Ces deux députés ont été arrêtés, au cours d’une descente policière, à leur domicile. Toujours, selon cette information, 47 médecins et infirmières, appréhendés, ces dernières semaines, devront, bientôt, comparaître devant le tribunal. La pseudo-justice bahreïnie leur reproche d’avoir secouru les blessés des affrontements qui opposent, régulièrement, les forces de l’ordre aux manifestants sans défense.
Les images diffusées sur l’internet montrent les forces de l’ordre bahreinis bien à l’œuvre. Ces dernières détruisent les lieux de cultes chiites, brûlent les Corans, arrêtent les députés et les femmes bahreïnies et, comble d’ignominie, profanent le carré des oulémas, dans les cimetières chiites. Cette profanation vire souvent à l’excavation des tombes. «C’est au tour des morts», s’insurgeait, hier, le reporter d’Al-Manar, sur place. Selon ce reportage, deux députés du parlement bahreïni ont, aussi, présenté leur démission, mardi, pour protester contre la répression sanglante en cours. Ces deux députés ont été arrêtés, au cours d’une descente policière, à leur domicile. Toujours, selon cette information, 47 médecins et infirmières, appréhendés, ces dernières semaines, devront, bientôt, comparaître devant le tribunal. La pseudo-justice bahreïnie leur reproche d’avoir secouru les blessés des affrontements qui opposent, régulièrement, les forces de l’ordre aux manifestants sans défense.
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