RIB-La réunion préparatoire avec l'émissaire spécial de l'ONU Lakhdar Brahimi vendredi à Genève pour la Conférence sur la paix en Syrie, prévue le 22 janvier à Montreux, a permis de confirmer la liste des pays participants, l'Iran n'étant pas invité contrairement à l'Arabie saoudite.
Différée à maintes reprises, la Conférence Genève-2, va finalement avoir lieu le 22 janvier, réunissant pour la première fois à la même table des représentants du régime et de certaines factions de l'opposition. La composition de ces délégations est un casse-tête pour les parrains de la conférence, qui se sont concertés une nouvelle fois vendredi à Genève. Une délégation de la Coalition nationale syrienne (CNS), présente à Genève, sans toutefois participer à la réunion, a confirmé à nouveau sa participation. Elle n'a pas de liste des participants arrêtée alors que le gouvernement syrien a fait savoir à l'ONU que sa délégation était établie et serait annoncée «bientôt». Il n'y a pas eu d'accord vendredi entre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité sur une invitation à l'Iran, principal soutien économique et militaire de la Syrie, les États-Unis y étant opposés. «Nous sommes très préoccupés par le fait que l'Iran n'a pas exprimé publiquement son accord avec le Communiqué de Genève (de juin 2012 NDLR) et sur les principes sur lesquels cette Conférence est fondée», a souligné un haut responsable américain devant quelques journalistes.
Blog de Jacques Tourtaux 21 décembre 2013
Différée à maintes reprises, la Conférence Genève-2, va finalement avoir lieu le 22 janvier, réunissant pour la première fois à la même table des représentants du régime et de certaines factions de l'opposition. La composition de ces délégations est un casse-tête pour les parrains de la conférence, qui se sont concertés une nouvelle fois vendredi à Genève. Une délégation de la Coalition nationale syrienne (CNS), présente à Genève, sans toutefois participer à la réunion, a confirmé à nouveau sa participation. Elle n'a pas de liste des participants arrêtée alors que le gouvernement syrien a fait savoir à l'ONU que sa délégation était établie et serait annoncée «bientôt». Il n'y a pas eu d'accord vendredi entre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité sur une invitation à l'Iran, principal soutien économique et militaire de la Syrie, les États-Unis y étant opposés. «Nous sommes très préoccupés par le fait que l'Iran n'a pas exprimé publiquement son accord avec le Communiqué de Genève (de juin 2012 NDLR) et sur les principes sur lesquels cette Conférence est fondée», a souligné un haut responsable américain devant quelques journalistes.
Blog de Jacques Tourtaux 21 décembre 2013
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