L’Algérie demeure exposée aux risques terroristes et ne nourrit aucune « illusion du risque zéro », a admis, ce mardi 21 octobre, Ramtane Lamamra. « L’Algérie qui cultive aujourd’hui les vertus de la démocratie, de la réconciliation et du développement au bénéfice de ses citoyens, se veut un exportateur de stabilité et de sécurité. Elle le fait en veillant à ce que son territoire national soit sécurisé sans nourrir d’illusion à un risque zéro », a affirmé le ministre des Affaire étrangères à la clôture de la célébration du 20e anniversaire du dialogue méditerranéen de l’Alliance du Traité de l’Atlantique nord (Otan).
En admettant l’existence de potentielles menaces, Lamamra fait référence aux conséquences de la dégradation sécuritaire en Libye, à l’instabilité au Sahel, mais probablement aussi à l’exécution en septembre dernier du guide français, Hervé Gourdel et d’autres attentats récents qui ont visé des membres des services de sécurité. « L’Algérie est directement exposée aux retombées du prolongement de la crise libyenne. Nos voisins méditerranéens partagent avec nous cette préoccupation et notre volonté de contribuer à convaincre d’abord les frères libyens de redécouvrir les vertus du dialogue inclusif », a déclaré Lamamra, selon des propos repris par l’APS.
Il a mis en exergue la « volonté de l’Algérie à convaincre les Libyens à se diriger vers une réconciliation nationale garante d’une consolidation de la légitimité des institutions et d’une mobilisation de tous les moyens et ressources pour reconstruire ce pays dévasté par la guerre et des confrontations fratricides ». « Les efforts que déploie l’Algérie pour le règlement de la crise libyenne et celle qui prévaut dans la Sahel, se fait également dans la mesure où la sécurité nationale en est directement affectée », a-t-il encore précisé.
« Le terrorisme international ne constitue plus aujourd’hui une menace sérieuse, ni à la sécurité ni à l’économie nationale de l’Algérie, mais reste une menace pour la sécurité des personnes et des biens », a-t-il dit en soulignant qu’il forme une « source de préoccupation et sollicite la mobilisation de grands moyens de l’État comme une vigilance de la part de tous les citoyens ». Il a, par ailleurs, indiqué que « l’Algérie veille à ce que ses frontières ne soient pas utilisées à des fins de déstabilisation vers l’intérieur du territoire national comme vers les territoires des pays voisins ».
tsa
En admettant l’existence de potentielles menaces, Lamamra fait référence aux conséquences de la dégradation sécuritaire en Libye, à l’instabilité au Sahel, mais probablement aussi à l’exécution en septembre dernier du guide français, Hervé Gourdel et d’autres attentats récents qui ont visé des membres des services de sécurité. « L’Algérie est directement exposée aux retombées du prolongement de la crise libyenne. Nos voisins méditerranéens partagent avec nous cette préoccupation et notre volonté de contribuer à convaincre d’abord les frères libyens de redécouvrir les vertus du dialogue inclusif », a déclaré Lamamra, selon des propos repris par l’APS.
Il a mis en exergue la « volonté de l’Algérie à convaincre les Libyens à se diriger vers une réconciliation nationale garante d’une consolidation de la légitimité des institutions et d’une mobilisation de tous les moyens et ressources pour reconstruire ce pays dévasté par la guerre et des confrontations fratricides ». « Les efforts que déploie l’Algérie pour le règlement de la crise libyenne et celle qui prévaut dans la Sahel, se fait également dans la mesure où la sécurité nationale en est directement affectée », a-t-il encore précisé.
« Le terrorisme international ne constitue plus aujourd’hui une menace sérieuse, ni à la sécurité ni à l’économie nationale de l’Algérie, mais reste une menace pour la sécurité des personnes et des biens », a-t-il dit en soulignant qu’il forme une « source de préoccupation et sollicite la mobilisation de grands moyens de l’État comme une vigilance de la part de tous les citoyens ». Il a, par ailleurs, indiqué que « l’Algérie veille à ce que ses frontières ne soient pas utilisées à des fins de déstabilisation vers l’intérieur du territoire national comme vers les territoires des pays voisins ».
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