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Ahmed Benchemsi relaxé dans le procès intenté par Mounir Majidi

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  • #16
    Relaxé, signifie dans le cas de Benchemsi, acquitté.

    Les prisme des relais du Makhzen (et de Majidi) est des plus déformateurs. On en attendais pas autre chose. Mais il fallait le souligner.

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    • #17
      Raco a posté ce qui suit :

      la tribune de Benchemsi dans "Le Monde" jugée diffamatoire

      Ahmed Reda Benchemsi, l'ancien directeur du journal "TelQuel", y avait tenu des propos très graves contre le secrétaire particulier du roi Mohammed VI.

      Le point

      En fait il s'agit de : Le Point Afrique , ce que m. raco n'a pas jugé bon de préciser .

      Voici l'article de ya biladi et il y a un passage qui n'est mentionné nulle part, et que je souligne en gras .

      Manipulation de l'information , ou je ne m'y connais pas .


      Paris : Mounir Majidi perd son procès contre Ahmed Benchemsi

      Mounir Majidi n’obtiendra pas gain de cause. Alors qu’il poursuivait Ahmed Benchemsi pour diffamation à Paris, le secrétaire particulier du roi Mohammed VI vient d’être débouté ce 12 juin par la justice française. Cette dernière a décidé de relaxer le journaliste marocain, ancien directeur de publicaition de Telquel, qui a tweeté l’information en début d’après midi.
      L'affaire opposant Benchemsi et Majidi traite d'un article paru en France, le 25 juin 2012, dans le jounral Le Monde qui évoquait un conflit d'intérêt entre Mounir Majidi et la RAM au sujet d’un investissement dans BaySys Morocco.
      « L’ensemble des propos poursuivis, y compris le troisième propos en ce qu’il fait référence à un possible délit pénal, présente donc un caractère diffamatoire", a estimé la justice française. Mais selon la Cour, la phrase "le Majidi business est au cœur de la corruption d'Etat au Maroc" n'est pas diffamatoire ».

      La nouvelle vient de tomber : Mounir Majidi a perdu son procès en diffamation contre moi à Paris. Je suis relaxé. #ProcesMajidiARB


      ..
      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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      • #18
        Le point essentiel n'est peut être pas la
        Le makhzen a pris l'habitude depuis un certains moment , de poursuivre en justice parfois pour des détails les " opposants " les plus gênants, qu'ils soient marocains ou pas
        Se trimballer un ou plusieurs procès est toujours gênants et usant même quand on a rien a se reprocher , c'est a mon avis la stratégie du pouvoir pour limiter toute " pollution" dans sa communication extérieur
        Maintenant est ce que cela dissuade ceux qui sont en ligne de mire ? Je donne ma langue au chat

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        • #19
          Manipulation de l'information , ou je ne m'y connais pas .
          Bien vu Iska!!

          D'habitude et au vu de leurs antécédents, je verifie toujours ce qu'ils postent. Sur ce coup, je n'ai pas fait attention. D'autant que le bougre n'en est pas à sa première tentative.

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          • #20
            jawzia

            Tu cherches sur google #ProcesMajidiArb et tu auras toutes les infos .
            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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            • #21
              Un article de Telquel , pour clore l'affaire .



              Exclusif. Les documents qui expliquent le jugement du procès Majidi / Benchemsi




              Diffamation. Voici le mot sur lequel surfent l’avocat de Mounir Majidi et la presse qui le soutient pour relativiser la défaite du conseiller du roi face au journaliste Ahmed Reda Benchemsi. Explications.

              Le 12 juin, le verdict du procès opposant Mounir Majidi à Ahmed Reda Benchemsi et le quotidien français Le Monde a été rendu. La justice française a relaxé le journaliste et le média.

              Contacté par Telquel.ma peu de temps après cette annonce, l’avocat de Mounir Majidi, Maître Naciri a estimé qu’il ne fallait pas « s’arrêter à la relaxe », insistant sur le fait que la justice avait reconnu que le journaliste avait diffamé le secrétaire particulier du roi. Un argumentaire repris par une partie de la presse marocaine. Sur le site Le360, on peut par exemple lire : « Pour la justice française, la liberté d’expression, aussi sacrée soit-elle, n’autorise pas à salir la réputation d’une personne au prix d’allégations calomnieuses ».

              Diffamation ne signifie pas mensonge

              Mais « diffamation » et « calomnie » sont deux choses totalement différentes. Pour le commun des mortels, le terme de « diffamation » est parfois perçu comme un synonyme de mensonge. En droit français il n’en est rien. En effet, l’article 29 de la loi du 29 juillet 1881 (qui régit le droit de la presse en France) définit la diffamation comme « toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé ». Autrement dit, diffamer c’est porter préjudice, que ce que l’on affirme soit vrai ou faux.

              La justice française part du principe que la diffamation est de mauvaise foi. C’est alors au journaliste de montrer qu’il est de bonne foi. Autrement dit, que les faits allégués sont vérifiables et qu’ils constituent un sujet d’intérêt général. Or, en l’espèce, la justice française a reconnu les deux.

              Pour la justice, Benchemsi a assez de preuves

              Dans la copie de travail de la 17ème chambre correctionnelle de Paris que Telquel.ma a obtenue et qui est publiée intégralement ci-dessous, le juge liste l’ensemble des documents que Ahmed Reda Benchemsi lui a donné pour prouver ce qu’il avançait dans son article : statut de la société Baysys Morocco, déclarations fiscales, décret… Le tribunal parle alors de « base factuelle suffisante ».

              A la fin du même document, la justice reconnaît donc qu’: « il apparaît que la partie civile, fonctionnaire public haut placé au sein de l’administration marocaine, a créé une société privée et qu’une grande compagnie publique marocaine a pris une participation au capital, envisageant pour l’avenir de lourds investissements, ce qui ne pouvait être que profitable pour les autres actionnaires, dont la partie civile elle-même ». En aucun cas donc le tribunal parisien n’a « réparé le préjudice moral » qu’aurait subi Mounir Majidi comme l’affirment d’autres médias.

              Consulter l’intégralité de la copie de travail de la 17e chambre correctionnelle de Paris

              http://telquel.ma/wp-content/uploads...identielle.pdf
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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