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Le roi du Maroc Mohammed VI et les superwalis

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  • #31
    J'ai le droit de parler du Maroc à ce que je sache, et regarde bien ce que j'ai ecris avant de m'accuser d'avoir dénigrer le Maroc. J'ai demandé une source d'histoire contemporaine marocaine, je veux lire cette histoire d'un historien crédible.

    ce que j'a dis sur le RIF etait ecris sur la lettre de Khettabi, et c'est la première fois que je l'entend, j'etais étonné mais el khettabi n'est pas un petit charlatant.

    pour la visite au Maroc, je viendrais incha allah à la première occasion que je déscenderai en Algérie.

    Bonne nuit

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    • #32
      J'ai le droit de parler du Maroc à ce que je sache( algerien 78 )

      .................................................. ..

      Aucun probleme ,à condition de ne pas etre selectif dans ta lecture de l' histoire du Maroc.Il existe d'autres versions.

      La guerre du rif est terminée , nous sommes en 2006.

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      • #33
        @moumed....

        nous sommes en 2006 ......et le rif existe toujours....et derange toujours...apparement!!!
        asghoun jevdith, jevdith ad i-neqdou...
        une corde ne peut etre tendu, et encore tendu, sans finir par rompre.

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        • #34
          C'est vraiment que sur ce forum ou on ressort cette histoire de Rif oO
          Il aura surement son autonomie à terme, le Roi ne peut plus gérer toutes les affaires dans un pays qui se complexifie et ou il y a de nouveaux pouvoirs qui apparaissent, il sait deleguer, il attend de voir à qui tout simplement.

          ce que j'a dis sur le RIF etait ecris sur la lettre de Khettabi, et c'est la première fois que je l'entend, j'etais étonné mais el khettabi n'est pas un petit charlatant.
          Oui pendant un moment donnée l'Etat n'a pas pu percevoir ces taxes a cause d'une revolte au Rif, ce ne fut pas la premiere fois, et d'autres regions ont fait pareil, il y a meme eu un royaume dans le royaume qui a créé sa propre religion dérivé de l'Islam et de rites berberes au Maroc pendant un cours moment.
          Si tu cherches la petite bebete dans l'histoire du Maroc tu en trouveras à gogo il en a vu de toutes les couleurs ce pays, et on est pas à notre premiere crise et surement pas la derniere.

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          • #35
            ithrinarif

            C'est le Maroc qui existe

            Le Rif derange parce que ses gens ne veulent pas travailler.

            Il derange plus que le Souss ,leTadla,le doukkalla etc........qui sont veritablement des regions qui travaillent et qui peuvent se suffire à elles memes( sans se la peter) au lieu de vivre de contrebande , du kif et actuellement des realisations de l'etat qui concentre tout sur cette region du Rif avec l'apport des cadres et techniciens de l'ENSEMBLE des marocains des autres regions.

            Pour gerer une region,il faut plus que des slogans.Il faut apprendre A BOSSER.

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            • #36
              Rebonsoir

              Si tu cherches la petite bebete dans l'histoire du Maroc tu en trouveras à gogo il en a vu de toutes les couleurs ce pays, et on est pas à notre premiere crise et surement pas la derniere.
              Allah yahdi makhlek. Je ne cherche ni petite ni grosse bebete. Je cherche à lire l'hsitoire contemporaine du Maroc mais d'une source crédible, je l'ai repeter deux fois.

              Et en voyant que vous parliez des projets d'autonomie, je me suis poser la question sur le modèle républicain, si ce modèle n'épargne pas la guéguerre parce qu'il est portère de plus de justice social et a plus de legitimité vis-a vis la population, car c'est la population qui devrait gouverner. Encoe, faudrai t-il que la république soit fondée sur des bases démocratiques solide. Je ne veux pas parler de modèle existant dans les autres pays arabes mais du Maroc, le Maroc n'a jamais connu une république à ma connaissance sauf la république du RIF (dont je ne sait pas grand chose, ithrinarif ou Mohand si vous pouvez nous expliquer un peu cette partie de l'histoire s'il vous plait) et je me demande si le peuple Marocain pourrait réussir cette démarche ou pas! personne ne sait, car il n'y avait jamais eu une expérience Marocaine dans ce sens.

              @ ithrinarif

              tu n'as pas un bon livre s'il te plait?
              Dernière modification par absent, 26 décembre 2006, 01h11.

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              • #37
                Algerian meme l'Espagne et la grande bretagne, meme la France on est des regions autonomes
                Qu'ils soient totalement démocratique ou pas n'y change rien, il y a des communautés culturelles qui désirent des pouvoirs plus élargis, quand c'est possible il faut les leur accorder.
                Donc republique ou Monarchie la n'est pas la question.

                Allah yahdi makhlek. Je ne cherche ni petite ni grosse bebete. Je cherche à lire l'hsitoire contemporaine du Maroc mais d'une source crédible, je l'ai repeter deux fois.
                Hem je te conseillerai bien l'Encyclopedie du Maroc mais ca parle de l'histoire du Maroc depuis la prehistoire, donc c'est pas assez précis.
                Je ne peux malheureusement pas te conseiller, j'espere que d'autres pourront le faire, nous on apprend par ci par la, il faudrait que toutes ces données soient regroupés... Mais l'edition au Maroc c'est pas trop ca...

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                • #38
                  @moumed

                  la seule ville de Nador, represente la deuxième place bancaire après Casablanca...alors si on arrive à se faire de l' argent sans travailler....c' est qu' on est très doué....

                  pour ta pique sur la contrebande et le kif, je retorquerai bettement, pour descendre au meme niveau, qu' au moins , nous, on envoie pas nos soeurs sur les trotoires, ni nos femmes se faire exploité dans des usines ou dans des hotels...

                  @algerian78


                  la republique du rif n' etait que temporaire dans l' attente de la liberation du maghreb....

                  sinon je te conseille:"Abdelkrim, une epopée d' or et de sang" par zakia daoud...meme s' il manque de details, ce livre resume assez bien cette periode....

                  ah oui dernière chose moumed....la contrebande n' est pas consideré comme qqch de mauvais chez nous....on a toujours commercé avec l' algerie et melillia nous appartient, alors je ne vois pas pourquoi on devrait payer des taxes à un pays qui n' a fait rentrer aucun bulldozer depuis 50 ans....pour le kif,.....c' est pas plus grave que l' alcool dont le maroc encourage tant la consommation....
                  Dernière modification par ithrinarif, 26 décembre 2006, 01h25.
                  asghoun jevdith, jevdith ad i-neqdou...
                  une corde ne peut etre tendu, et encore tendu, sans finir par rompre.

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                  • #39
                    la seule ville de Nador, represente la deuxième place bancaire après Casablanca...alors si on arrive à se faire de l' argent sans travailler....c' est qu' on est très doué....

                    .................................................

                    Tres doués à blanchir l'argent sale obtenu de la contrebande et du narco trafic.

                    Casablanca comme place bancaire , c'est le fruit du labeur des gens qui font les trois/huit dans les usines et qui apportent une plus values pour le pays.

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                    • #40
                      la republique du rif n' etait que temporaire dans l' attente de la liberation du maghreb....( ithrinarif)

                      ...........................................

                      Tiens ! tu l'as dejà crée "ta republique" .Tu ne parlais pas d'autonomie.

                      Il faut savoir ce que tu veux .

                      Et puis? c'est le maghreb que tu convoites maintenant

                      Pour leur imposer quoi ? le thirifite!

                      Descend un peu de ton nuage.Agma,parole d'amazighe.

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                      • #41
                        @algerian78
                        il existe un livre qui s'apelle "Revolt of the Rif" ecrie par David S. Woolman en englais. Les sources sont creditibles.

                        Pour des futurs d’Humanité
                        1919-1926 : la guerre du Rif

                        Jusqu’à la fin de l’année, notre grande série : " Il était une fois l’Humanité ".

                        La campagne contre la guerre du Rif, qui se développe au début des années vingt, représente un moment de jeunesse de l’Humanité et du communisme en France.

                        Pendant six ans, à partir de 1919, se déroule dans l’étroite bande côtière du Maroc, la sanglante " guerre du Rif ". Elle opposera successivement, puis conjointement, l’armée espagnole et l’armée française à la guérilla conduite par Abd el-Krim, et fera des dizaines de milliers de victimes. Finalement, le leader marocain sera déporté à La Réunion, et la provisoire République du Rif sera dissoute. Pourquoi cet acharnement dans une guerre coûteuse, alors qu’Abd el-Krim ne menaçait guère ces empires coloniaux ?

                        René Gallissot. La conquête du Maroc renvoie au partage de l’Afrique, à la rivalité franco-allemande au début du XXe siècle. L’exemple n’en est pas moins un des premiers compromis du système-monde impérialiste. À la conférence d’Algésiras en 1906 (la Russie et les États-Unis y participent), la zone Nord, le Rif donc, est dévolu à l’Espagne, et la plus grande part du pays à l’occupation française. Les deux zones seront sous protectorat conservant le régime du sultanat chérifien. Tanger reste zone franche internationale. La Banque d’État du Maroc est un consortium privé dont le principal actionnaire est la Banque de Paris et des Pays-Bas ; le commerce du Maroc n’est pas intégré à l’empire français, mais déjà au marché mondial car les douanes sont limitées au plus bas selon le régime dit de la " Porte ouverte ".

                        La guerre mondiale à peine finie, quels intérêts l’Espagne puis la France ont-elles de se lancer dans cette grande opération guerrière ?

                        René Gallissot. La guerre de 1914 a fait des États-Unis le banquierdu monde, la puissance qui tire profit de sa dette. La France est saignée, mais dispose d’une immense armée faisant appel aux troupes coloniales. Lyautey destitué, c’est Pétain qui sera envoyé pour combattre Abd el-Krim ; il disposera de 32 divisions, plus de 350 000 hommes. L’Espagne qui est en mal d’empire perdu, est poussée par le parti africaniste à reprendre pied outre-mer ; or son armée a déjà été battue dans ses tentatives de conquérir le Rif, avant 1914 à partir de Ceuta et Melilla ; elle l’est à nouveau à Anoualen en 1921 ; elle reste en difficulté sous l’action de guérilla que mènent Abd el-Krim et ses groupes mobiles de montagnards armés ; Hô Chi Minh puis Mao le citeront en exemple. Devant les succès d’Abd el-Krim, la panique gagne Fès et les villes au pied du Rif. L’armée française va prêter main-forte ou plutôt main lourde à l’armée espagnole, en mobilisant les grands moyens, des bateaux de guerre et des avions et en procédant à des bombardements, avec usage de " bombes asphyxiantes ".

                        Qui est Abd el-Krim ? Quelles sont ses bases sociales et ses idées ? Veut-il unifier le Maroc sous sa souveraineté ?

                        René Gallissot. République du Rif ne veut pas dire État marocain. C’est nous, et plus encore après 1945 et à travers l’ONU, qui avons l’État nation dans la tête avec un État, un peuple, un territoire ; c’est la forme ultime du nationalisme, et nous sommes incapables de comprendre le soulèvement des peuples, au pluriel, et les mouvements nationalitaires de résistance qui se manifestent encore dans l’entre-deux guerres.

                        Le nom de Mohammed ben Abd el-Krim el-Khattabi manifeste les deux faces du personnage social et politique : le leader moderne et le lettré de famille de fonction. Le père a été cadi (juge) au début du siècle, investi par le sultan dans sa région de la tribu berbérophone des Beni Ouriaghel ; il a été aussi écarté lors de changement de sultans. C’est dire que la famille a un patrimoine, une notabilité et des alliances. Les fils Abd el-Krim, capital familial aidant, sont allés à l’école espagnole ; un frère, Abdessalam, qui sera l’intendant de la défense du Rif, a poursuivi ses études en Espagne ; il est ingénieur. Celui qu’on appelle l’émir, pour dire commandant en chef, après des études secondaires, a été plusieurs années collaborateur d’un journal espagnol de Melilla, accompagnant et servant la pénétration coloniale. Les Rifains partent nombreux en émigration, laissant leur pays de vallées et de montagne à son organisation réglée par la parenté et le pouvoir des chefs de familles et de tribus. Ces Rifains ouverts sur le monde, étonnés par la guerre et les révolutions de Russie et de Turquie, s’enflamment pour des Républiques fondées sur un soulèvement populaire contre des envahisseurs et contre la domination des puissances et des groupes capitalistes étrangers.

                        Pour Abd el-Krim, la République doit être moderne, établir un État de fonction publique et de justice par la réforme d’un État musulman. Il n’en reste pas moins que son initiative est en rupture avec le sultanat du Maroc ; il ne revendique pas l’empire des chérifs qui prétendent descendre de la famille du Prophète. il fait exploser dans le Rif une République qui fait partie de ces soulèvements de minorités nationales, dans l’élan des mouvements Jeunes nationaux, après la révolution soviétique, en pays kurde au Moyen-Orient, et avec le soulèvement principalement druze en Syrie et au Liban. Précisément, c’est contre la guerre du Rif et de Syrie que l’Internationale communiste appelle à faire campagne.

                        En septembre 1924, les communistes français salueront dans un télégramme à Abd el-Krim " la victoire du peuple marocain sur les impérialistes espagnols ". Comment le jeune Parti communiste et l’Humanité ont-ils développé l’action contre la guerre ?

                        René Gallissot. C’est Jacques Doriot pour les Jeunesses communistes et Marcel Sembat pour la Section française de l’Internationale communiste (SFIC) qu’est le jeune Parti communiste, qui signent ce télégramme de salut. En France, la guerre du Rif est présentée par les actualités cinématographiques. Après la boucherie de 1914-1918 et pour compenser la censure, la grande presse comme l’Illustration est pleine de photos et d’images, voire de reportages qui se tiennent entre la vision guerrière et l’exotisme. L’Humanité est alors un journal iconoclaste. Ainsi en juin 1925, ce bandeau à la une : " Caillaux de sang ", pour dénoncer l’impôt que le ministre des Finances fait voter pour faire " la guerre des banquiers et des industriels ", les prolétaires et les colonisés ont les mêmes exploiteurs. C’est à Pétain que l’on fait appel. Verdun n’est pas encore un mémorial patriotique, surtout pas pour les communistes qui reprennent, après la campagne contre l’occupation de la Ruhr, ce qu’on appelle " l’action anti " : antimilitariste, antinationaliste, anticolonialiste et en même temps anticléricale, contre ce cléricalisme qui bénit les drapeaux, honore les ganaches décorées et fait défiler les anciens combattants pour le compte de la droite nationaliste. Cette virulence qui continue l’anarcho-syndicalisme, dénonce la guerre du Rif que mène le gouvernement du Cartel des gauches, car la gauche est coloniale. La directive de l’Internationale communiste de Front unique avec les socialistes, reste une formule abstraite ; pour renaître, le mouvement ouvrier doit exorciser la faillite et la honte de 1914 qui ont fait l’Union sacrée.

                        Le jeune communisme est en dehors du nationalisme français, fut-il exprimé sous les voiles du patriotisme républicain de gauche. Les socialistes passés en majorité au PC au congrès de Tours, reviennent en 1923 à la vieille maison. Restés en petit nombre, quand ils ne sont pas des militants venant du syndicalisme révolutionnaire, les communistes sont des adhérents de vingt ans. Vingt ans en 1920, c’est l’âge du communisme. Ces jeunes démobilisés et en quête d’emploi, ces destinées prolétaires se retournent contre le vieux monde et les prêcheurs de guerre avec cet éclat subversif que jettent, eux aussi, les jeunes écrivains et artistes surréalistes.

                        Comment ce jeune parti mène-t-il son action ? Quel rôle joue vraiment Maurice Thorez ?

                        René Gallissot. La geste d’histoire du PCF autour de Maurice Thorez sera écrite par la suite. C’est après 1931-1932 que Moscou fait fond sur Maurice Thorez. La campagne a été menée par les Jeunesses communistes. C’est Jacques Doriot qui conduit le plus souvent la bataille parlementaire qui tient effectivement de la bataille. C’est l’activisme des jeunes qui anime les manifestations sur les lieux publics, devant les casernes et quelquefois dedans, en criant les mots d’ordre de fraternisation qui s’adressent d’abord aux troupes coloniales. André Marty monte au créneau pour répéter le geste des mutins de la Mer noire : " Hissez le drapeau rouge, n’embarquez pas de cadavres en sursis pour la terre africaine " (juin 1925, encore dans l’Humanité). Quand Maurice Thorez est mis à la tête du Comité d’action contre la guerre du Rif, en avril 1925, c’est cependant pour montrer que le Parti existe et pas seulement les Jeunesses ; à ce titre il sera condamné à quatorze mois de prison.

                        Les Jeunesses s’appuient sur les syndicalistes révolutionnaires de la CGTU, qui s’emploient à entraîner les travailleurs " coloniaux " dans des congrès ouvriers nord-africains. Les mots d’ordre partent de la Maison des syndicats, rue de la Grange-aux-Belles ; ce volontarisme appelle à la grève générale. Au lendemain des manifestations du 12 octobre 1925, l’Humanité titre sur 900 000 grévistes ; les historiens rabattent sur 300 000 ou 400 000, ce qui est déjà extraordinaire face à une guerre coloniale. C’est la force et l’étroitesse de la minorité révolutionnaire.



                        René Gallissot. Trop tôt pour que l’emporte une guerre de libération nationale. À partir de 1948, et derrière le Bureau du Maghreb et de la Palestine de la Ligue arabe, pour les pays arabes qui n’ont pas d’État, il s’emploie à préparer l’entrée en lutte de l’Armée de libération du Maghreb. C’est ce dispositif qui pousse en avant, au Maroc, les deux branches armées de libération, celle du Rif, à nouveau donc, et celle du Sahara, et l’ALN algérienne. Il est ainsi présent à la fin des temps de libération nationale, moins la Palestine.

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                        • #42
                          @moumed

                          les banques centrales de la capitale economique ne se plaignent pas de l' argent qu' ils pompent des banques rifaines pour faire marcher l' economie...ni les entreprises qui se créent en s' octroyant des crédits dans ces banques.....

                          tout le maroc profite de cet argent,...alors faites pas comme si.....

                          je te signale aussi qu' à part les traficants de drogues, le rif compte 1.5 millions de ressortissants à l' etranger, que le rif , c' est aussi la region de a3arwi, aknoul jusqu' aux pourtours de berkane, qui est la deuxième region agricole du pays (eh oui, le vieux clichés, le rif ce n' est pas que des montagnes)...le rif, c' est aussi , la peche, l' artisanat, l' industrie metallurgiques et une region très riche en minnerai, la peche, ainsi que toute les petites entreprises necessaire au quotidien de la population....les rifains ne font pas n' importe quel boulot, mais les rifains travaillent.....


                          edit: @moumed

                          la republique du rif a existé dans le passé, je parlais d' histoire au cas ou tu l' as pas compris, on se demande qui s' enmele les pinceaux.....
                          Dernière modification par ithrinarif, 26 décembre 2006, 01h49.
                          asghoun jevdith, jevdith ad i-neqdou...
                          une corde ne peut etre tendu, et encore tendu, sans finir par rompre.

                          Commentaire


                          • #43
                            Bonsoir tout le monde,

                            Moumed et Ithrinarif, akhziou chitanne

                            Je vous remercie pour les sources les amis, et ca ne me derange pas que ca soit ecrit en Anglais.

                            Bonne nuit a tout le monde
                            Dernière modification par absent, 26 décembre 2006, 03h33.

                            Commentaire


                            • #44
                              Salut,
                              moi je ne veux pas pragmatiser les choses.
                              La verite est que le rif n'a pas besoin l'aide des autres pour exister. Nous avons pas seulement des montagnes, comment ithrinarrif a explique. L'histoire rifain est une autre que celle que qq raconte dans les ecoles. Je vous invite de lire "Bayan mina adawlat wa nida2 ila jami3a aloumam, houkoumat joumhouriyat arrif" ecrit par Moray Mohand (Mohammed ibn Abdelkrim Alkhattabi) comme une message a touts les peuples! Cette declaration est un des preuves que le Rif est une region qui n'a rien avec les autres, la langue, l'histoire, la culture, la civilisation, mais le Rif invites touts les peuples pour travailler ensemble.

                              je reve d'un jour ou le maroc serait une confederation, avec des regions autonome, ca serait mieux pour un maroc unie. Toutes les regions seraient responsables pour leurs affaires, avec des parlement qui se change chaque 4 ans.Ca c'est la democracie.
                              Une derniere chose, je dit bravo au polisario, pq c'est ceux qu'ont roule la balle sur la discussion d'autonomie.

                              Commentaire


                              • #45
                                Quasard: "le Roi ne peut plus gérer toutes les affaires dans un pays qui se complexifie et ou il y a de nouveaux pouvoirs qui apparaissent, il sait deleguer, il attend de voir à qui tout simplement."

                                Quasard, on a l'impression que tu es un proche confident du Roi!

                                Commentaire

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