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Racistes, les Marocains ?

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  • Racistes, les Marocains ?

    Racistes, les Marocains ?


    « Aâzzi », « draoui » « hartani », des insultes que les Noirs résidant au Maroc entendent souvent, quand ils ne sont pas agressés à coups de pierre dans la rue. Au début des années 2000, avec des flux migratoires importants venus d’Afrique subsaharienne, mis en exergue par les médias, un climat de xénophobie marquée s’est installé. Les femmes sont moins racistes.

    Maroc, terre d’accueil, d’hospitalité et de tolérance. Un cliché souvent rabâché. Pourtant, aujourd’hui, au Maroc, il existe une tendance xénophobe voire raciste. Il est des milieux où il est admis que le racisme anti-Noir fait partie de nos mœurs, où il est banalisé. Les étrangers originaires des pays subsahariens résidant dans notre pays, noirs donc, sont évidemment les premiers à en souffrir.

    Le recensement de 2004 a estimé à 7000 le nombre d’étudiants venus de ces pays et qui vivent au Maroc de façon régulière. Entre 8000 à 15.000 personnes y résident d’une manière irrégulière selon les estimations des observateurs qui ont travaillé sur le sujet. Et les Marocains, du moins un certain nombre parmi eux, éprouvent un malin plaisir à les ridiculiser, à les railler dans la rue en raison de la couleur de leur peau. Certains chauffeurs de taxis refusent même de les prendre en course. Sans vouloir généraliser, les témoignages recueillis ne laissent planer aucun doute sur l’existence d’un racisme, latent ou manifeste, au sein de la population marocaine.

    Dans la rue, un racisme primaire

    Antoine, d’origine camerounaise, est âgé de 41 ans, dont 16 ans passés au Maroc. Il a d’abord suivi les cours d’une école de management, avant de faire l’Ecole d’Etat des infirmiers de Marrakech. Quand on lui demande s’il est ou a été l’objet de racisme de la part des Marocains, Antoine a beaucoup de choses à dire. Il n’a pas ressenti ce racisme pendant son parcours estudiantin, ce n’est qu’après avoir épousé une Marocaine, acheté un appartement en copropriété à Casablanca (boulevard de la Gironde), raconte-t-il, qu’il a été la cible d’un racisme qu’il qualifie d’« épouvantable ». Certains voisins, dans son immeuble, n’hésitent pas à utiliser, en parlant de lui, des mots comme moussakh (sale), aâzzi (nègre), hartani (homme de second rang) et aâbd (esclave). Les choses se sont encore dégradées le jour où Antoine a ouvert, dans le même immeuble, une petite infirmerie pour exercer son métier. L’hostilité à l’égard d’Antoine et de sa femme, Meriem, Marocaine, est alors montée d’un cran. Les insultes à caractère raciste pleuvent dru. Pour lui mener la vie dure, ses voisins n’hésitent pas à colporter sur lui des ragots fabriquées de toutes pièces : « Ils m’accusent d’avoir un cybercafé à la maison, de ne pas payer mes impôts (comme s’ils étaient des agents du fisc), d’héberger des Africains clandestins, d’exercer le métier d’infirmier sans autorisation. Ils ont cassé les vitres et crevé les pneus de ma voiture... Combien de fois ne les ai-je pas entendus, derrière mon dos, jurer qu’ils “finiraient par renvoyer ce nègre chez lui” ».

    Le même traitement raciste a été réservé à trois autres Subsahariens qui ont loué un appartement dans le même immeuble, sous prétexte qu’ils étaient célibataires. Or, d’autres célibataires marocains habitent le même immeuble, qui ne sont pas le moins du monde inquiétés. Les voisins d’Antoine sont-ils donc tous racistes ? Non, loin de là, répond Antoine. « Plusieurs habitants ne sont pas d’accord avec ces agissements discriminatoires, mais ne le montrent pas, préférant plutôt se solidariser avec leurs compatriotes. D’autres frappent à ma porte en catimini pour une piqûre ou un médicament, ou m’appellent en pleine nuit, mais en cachette, pour me demander d’examiner un malade souffrant de fièvre ou de diarrhée... ». Meriem, la femme d’Antoine, n’est pas non plus à l’abri. Ce comportement « xénophobe » est honteux, tempête-t-elle. « Je suis allé plusieurs fois au Cameroun, l’accueil qu’on me réserve là-bas est d’une chaleur humaine indescriptible. Si ce n’était mon mari qui s’y oppose, nous aurions déjà quitté le Maroc pour aller vivre là-bas ».

    Sur le boulevard Oulad Ziane, des dizaines de familles africaines élisent domicile dont un grand nombre d’étudiants. Esi, une Congolaise de 25 ans, en fait partie. Elle se plaint du concierge de l’immeuble où elle réside, qui lui a refusé, par exemple, l’utilisation de l’ascenseur le jour du déménagement. Raison : le concierge a eu peur des représailles des autres copropriétaires marocains. Heureusement que l’un d’entre eux, Abdallah, est intervenu in extremis pour barrer la route au concierge.

    Bacar, Sénégalais, lui, est journaliste de son état. Il vit au Maroc depuis 17 ans. Il n’a observé aucun comportement raciste à son égard dans son milieu professionnel. Il subodore toutefois que ses collègues n’en sont pas exempts mais ne le manifestent pas au travail. Toujours est-il que ce racisme, il l’a vécu plus d’une fois à l’extérieur, dans la rue. Un jour, il prend rendez-vous avec un responsable marocain pour les besoins d’une enquête dans le cadre de son travail. Ce dernier ne sait pas que son interlocuteur est noir. Quand il l’a en face de lui, il se rebiffe. Bacar s’entend souvent traiter de draoui dans la rue, et il a été exposé maintes fois à des jets de pierre quand il habitait dans un quartier populaire. Il se souvient encore de ce jour où un enfant le traite de aâzoua (nègre) devant ses parents sans que ces derniers ne réagissent. Bacar lui caresse les cheveux et lui dit sur un ton affectueux : « Ce n’est pas ta faute mon fils, mais celle de tes parents qui ne t’ont pas bien éduqué ». Les parents, eux, ont fait la sourde oreille. A Dakar, ajoute Bacar, il connaissait beaucoup de Marocains, mais ceux qu’il rencontre à Casablanca sont différents. En classe, il n’a jamais vu un Marocain blanc s’asseoir à côté d’un noir.

    Pour les Noirs français, les choses sont plus supportables

    Le racisme anti-Noir est-il si ancré dans la société et la culture marocaines ? Richard et Olivier, respectivement manager et directeur commercial d’une société spécialisée en nouvelles technologies de l’information et de la communication à Casablanca, sont français de nationalité, Guadeloupéens d’origine, noirs de peau. Au terme de deux années passées au Maroc, ils ont déchanté. Le pays de la tolérance dont ils ont entendu parler quand ils étaient en France n’est pas celui qu’ils découvrent sur le terrain. Le pire est que ces Marocains qui les traitent de haut changent d’attitude quand ils apprennent que ces Noirs sont français. « Dans la rue, on a affaire à un racisme primaire épouvantable : mais quand des gens me traitent de aâzzi, je les traite, moi, de pauvres crétins », enchaîne Richard.

    Ce qui aggrave les choses, ajoute Richard, c’est qu’en plus d’être racistes, certains Marocains profitent de la moindre occasion pour arnaquer les étrangers, quelles que soient la couleur de leur peau et leur nationalité. Arnaque, hypocrisie aussi : « Ils nous prennent pour des imbéciles : les mêmes personnes qui peuvent vous faire un scandale parce que vous buvez de l’alcool, vous les surprendrez en train de boire en cachette. Quant à l’Administration, les portes s’ouvrent comme par magie dès qu’on montre nos passeports ». Sa nationalité française, Richard ne la révèle jamais au premier venu. « Je ne veux pas que les gens soient respectueux envers moi parce que je suis français, mais parce que je suis un être humain comme eux, au-delà de la couleur et de la nationalité ».

    Un bémol : selon Richard, les femmes sont beaucoup moins racistes que les hommes, plus tolérantes. Certaines ont noué une relation avec avec un Noir. Sauf que, dans ce cas, la famille peut s’opposer à un éventuel mariage car on n’accepte pas de Noirs dans la famille, surtout s’il est non musulman. Mais Richard, lui, malgré son sévère réquisitoire contre les Marocains, a fini par épouser une Marocaine, une métisse dont le père est noir, mais qui n’a jamais accepté que sa fille en épouse un. Cette dernière a, depuis, coupé toute relation avec sa famille. « Les Marocains ont une fâcheuse manière de juger les gens avant de les connaître », estime- t-il.

    Pourquoi ce racisme ? Profond sentiment de supériorité qui puise ses racines dans l’histoire esclavagiste du Maroc de l’Antiquité comme le prétendent certains ? La pratique de l’esclavage a été interdite depuis mais jamais abolie de façon officielle dans les pays du Maghreb. Toujours est-il, qu’il perdure toujours, en ce début du XXIe siècle, dans certaines familles marocaines, un sentiment de supériorité vis-à-vis des hommes de couleur, fussent-ils marocains. Et cette relation raciste maître-esclave, on la retrouve encore chez certaines familles aisées qui traitent leurs bonnes ou leurs jardiniers, noirs ou blancs, comme des personnes de second rang. Les témoignages des Noirs victimes d’actes racistes au Maroc attribuent ce comportement surtout à un manque d’éducation qu’ils qualifient tous de « terrible ». « Qu’il y ait eu des esclaves noirs au Maroc, et que les Marocains continuent dans leur subconscient de se considérer comme des maîtres supérieurs aux noirs, c’est leur affaire, mais nous n’avons pas, nous, à en payer le prix », s’indigne Olivier.

    Des Marocains, dans leur subconscient, continuent de se considérer comme des maîtres supérieurs aux Noirs

    Pour d’autres, ce racisme n’est perceptible que dans les classes populaires. Pour Walter, originaire du Congo Brazaville, étudiant au Maroc depuis deux ans, les personnes cultivées sont ouvertes d’esprit.

    Dans les quartiers populaires, par contre, il y a les autres, ceux qui ne veulent avoir aucun rapport avec les étrangers d’Afrique, et qui les regardent de haut. Tout dépend aussi du comportement des Africains eux-mêmes, nuance Walter. « Moi, peut-être à cause de mon caractère extraverti, je suis très bien accueilli et j’ai même été à plusieurs reprises président du bureau des étudiants. Si on s’ouvre, on fera un grand pas vers l’intégration. Personnellement, j’ai pas mal d’amis marocains. J’étais en Algérie, je dirai que les Marocains sont plus ouverts que les Algériens et moins égocentriques. » Au Maroc, il s’agit plutôt d’un racisme primaire, confirme Mehdi Lahlou, enseignant chercheur et auteur de plusieurs études sur les migrations irrégulières. Les Marocains, selon lui, ont la fâcheuse manie de se sentir meilleurs que les autres. « S’ils prononcent des mots et font des gestes déplacés qui font du mal aux autres, c’est plus par ignorance et naïveté que par préméditation ou méchanceté. » Les médias publics audiovisuels, pour leur part, n’arrangent guère les choses en déformant l’image de ces Noirs d’Afrique subsaharienne, ajoute-t-il.

    La vie éco - Jaouad Mdidech

  • #2
    pour enrichir le debat et qu'il ne tombe pas dans le réglement de compte.

    malhereusement la connerie du racisme est l'une des tarres les plus partagée de l'humanité.:22:

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...hlight=raciste



    immigration clandestine - Les algériens seraient-ils racistes ?

    “Je n’aurai jamais cru que les Africains étaient racistes entre eux.” Racisme. Le mot est fort et choquant. Pourtant, les Africains se comportent comme tel.

    “Et toi ! Le Noir ! Nigro ! Yal’kahlouche !” Ce sont les termes utilisés par les Algériens pour s’adresser aux Africains. Comme s’ils n’étaient pas Africains eux-mêmes. Comme s’ils étaient supérieurs.

    Djabraïl a développé une forme d’autisme. Tellement il a entendu des expressions à la limite du racisme. Face à cette situation, il ne veut plus rien entendre des Algériens. Djabraïl vit à La Casbah avec ses compatriotes maliens. Ils payent 100 DA la nuitée dans une maison vétuste, alors qu’ils gagnent 150 DA par jour. “C’est le seul endroit où on est acceptés, la majorité des hôtels refusent de prendre le risque de nous héberger”, confie-t-il.

    Djabraïl est un peu surpris lorsque nous lui avons posé cette question : “Comment se conduisent les Algériens avec vous ?” Il esquisse un sourire moqueur : “Je ne parlerai pas de la méchanceté des adultes. Nous y sommes habitués. Ce qui m'effraie, c'est le comportement des enfants. Que d’insultes dans leur bouche ! On ne peut plus marcher seul dans la rue, on s’arrange pour circuler tout le temps en groupe. Trop de haine. Trop d'agression. Je suis tellement scandalisé que je ne réponds plus à leur remarque.” Son copain Abedou-Allah rougit quand nous lui avons demandé de nous répéter les injures qu’ils subissent au quotidien. “Ces insultes raisonnent encore dans mes tympans, mais il m’est difficile de redire ces horreurs surtout devant une femme. C’est inimaginable de voir des anges débiter un tel venin. Je blâme leurs parents qui les ont éduqués dans la haine et l’intolérance.” Notre présence devient ainsi une occasion pour ces clandestins de raconter leur vie ici en Algérie. Un groupe d'immigrants de divers pays nous entoure.

    Ces personnes nous racontent à tour de rôle l’inhospitalité algérienne à laquelle ils sont confrontés. “J’étais en train de marcher lorsqu’un policier m’a interpellé pour une simple vérification de papiers. Je lui ai montré mon certificat de demandeur d’asile, il l’a déchiré puis il me l’a jeté au visage avant de m’embarquer en me bousculant. Il a fallu faire appel à l’UNHCR, qui a dû engager une avocate pour me sortir de prison”, confie l’un d’eux. Un Sénégalais abonde dans le même sens : “Je suis passé l'autre soir dans une ruelle, il y avait dans un coin un groupe d'adolescents. J'ai dit salam alikoum. Personne n'a daigné me rendre mon salut et certains me l'ont rendu avec des pierres.” Bouba, un Nigérien, dit : “Dans le bus, les gens semblent mal à l'aise en notre présence. Quand on entre dans un magasin pour acheter quelque chose, un article de 40 DA grimpe à 50, c’est à n’y rien comprendre !” Il nous parle longuement de sa galère dans les hôtels. “On se permet de fouiller notre petit bagage à notre insu. Souvent, on nous vole.” Certains se retrouvent sans aucun sou. Leur argent est souvent volé durant la traversée. À Dély Ibrahim, à quelques encablures du centre universitaire, des manœuvres et des travailleurs algériens nous accostent. “Engagez-nous, ne faites pas confiance aux Africains. On fait un meilleur boulot”, déclare un maçon algérien.

    Il précise qu’avec l’arrivée des immigrants, le marché de la maçonnerie a baissé. “On gagnait jusqu'à 1 200 DA par jour. À cause de ces Africains, le marché de la main-d’œuvre est tombé de moitié”, poursuit-il. Interrogé sur le lieu de regroupement des manœuvres étrangers, il refuse de nous indiquer l’endroit. “Je ne sais pas où ils se trouvent. Pourquoi vous insistez pour les voir ?” interroge-t-il. À quelques pas, dans une petite ruelle isolée, loin du regroupement des Algériens, les Africains se sont rassemblés. “Auparavant, on restait près de la fac pour se faire recruter à côté des manœuvres algériens, mais ils ont fini par nous chasser comme si c’était un endroit réservé pour eux. Nous nous sommes déplacés du côté de la supérette. Nous avons eu droit à une douche chaque matin pour nous éloigner”, dit Clément. Alors que le manœuvre algérien touche 700 DA la tâche, le travailleur africain n’a que 300 DA pour la même tâche.

    “Actuellement, je n’emploie pas d’Africains mais je fais appel à eux de temps en temps. Ils sont robustes, travailleurs et n’exigent pas un salaire excessif. Je les paye 25 DA par sac transporté, ça leur fait 150 Da par jour. C’est bien !” déclare Nacer, entrepreneur à La Casbah. Djabraïl travaille en ce moment chez khalti Zineb. Il nous confie qu’après avoir été exploité, il s’est fait embaucher par une dame. “Elle s’occupe de moi comme si j’étais un membre de sa famille, elle me donne à manger et me paye même les jours de repos”, confie-t-il. Khalti Zineb nous révèle qu’elle a engagé le jeune Malien, le temps de restaurer sa maison à La Casbah. “C’est mon fils qui l’a ramené suite au départ de notre manœuvre. Il travaille bien et moi je lui donne ce qu’il mérite. Je le paye 50 DA pour chaque course, sans oublier les travaux à l’intérieur de la maison. Il arrive à gagner jusqu'à 700 DA, comme notre ex-employé”, dit-elle. Par manque de pot, Youcef n’a pas eu la même chance. Il a travaillé chez un entrepreneur qui l’a exploité durant des mois avant de le livrer à la police. “Après un bref séjour en prison, j’ai été relâché. On se sent plus dépaysé en Algérie qu’en Europe”, conclut-il.

    source : liberté
    Dernière modification par grandloup, 03 janvier 2007, 02h35.

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    • #3
      d ou tu as sorti ca cher ami

      tous ce que je peux te dire c est que tu viens visiter le maroc pour voir que tous ce que tu as dit n est pas vrai la preuve est que tous les villes du maroc sont terres d acceuil a des etudiants africains qui disent que le maroc est une terre de paix

      mabrouk al aid et bonne année

      ( excuse mon francais

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      • #4
        grand loup;
        pourquoi tu ne fais pas comme nous et tu donnes ton avis sur le sujet, fais comme tes voisins:sur les 92 messages postés aucun n'a écrit: mouais mais nos voisins le sont aussi,
        y ont a qui donne raison à l'hypotèse, d'autre non, et chacun essaye de donner ses arguments et surtout des témoignages sur ce qu'il a vécu (pourtant c trés simple, y a rien de compliqué)
        je vais vous raconté une petite histoire qu'on ne peut généraliser car je ne connais qu'un nombre réduit de marocains
        c le jour d'éléction du délégué de classe, tout mes amis marocains se sont mis d'accord sur les memes noms, ben j'ai pas fait la meme chose qu'eux, primo je ne demande pas l'avis de mon chef (du groupe) pour voter secondo, je préférais quelqu'un d'autre donc j'ai voté pour mamadou, aprés une copine m'a demandé pour qui j'ai voté, qd je lui ai dit que c t sur mamadou, elle me dit t'as trouvé personne à part ce Aazi!!!
        une autre fois, les délégué n'avaient pas réussi a décaler la date des exams, tlm a ralé mais y a qu'un marocain qui a dit: c normal c parcequ'on a voté sur un noir.
        une dernière, c t en période d'exams, j'était avec des copines marocaines, on discutait sur l'exams et ce mamadou est venu me demander un truc, et ma copine commence a dire ce aazi .... ce aazii.... c ce jour là que j'ai compris le sens de ce mot.
        une autre qui me revient c t pendant le mariage de mon cousin qui est de père marocain, ils ont ramener negafat, le responsable était un homme, la marié avait ramené sa coiffeuse qui était noire, le negaf et la coiffeuse se disute alors il lui dit "tu sais toi mes grands parents mettaient sur le ventre de tes semblables une pièrre sur le ventre et s'asseyaient dessus".
        ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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        • #5
          k-rim 74

          Ta vraiment du culot toi pour nous traiter de racistes
          Tu n'a meme pas visité le maroc et tu insulte son peuple .
          Si c'est ta façon de faire des amis , tu en fera autant

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          • #6
            et cehz vous lamia vous dites pas Kahlouchi ou ca c'est de la pure poesie !!

            n'importe quoi tes histoires comme toujours !!

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            • #7
              lumiere_blanche
              faut pas etre suceptible ce n'est pas K-rimqui vous traite de racistes, elle a posté un article de presse, mais franchement ce matin vous me démontrez votre intolérance et votre incapacité de discuter sur vos maux,
              y a pas longtemps on a traité du racisme en Algérie (ton compatriote a pris le soin de le rappeler) et personne n'a trouvé ça anormal tlm a donné son avis sans le moindre pb.
              ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

              Commentaire


              • #8
                il s'agit pas de discuter si chez nous ou chez vous y a un racisme , le sujet du topic , est : y a t il un racisme au maroc ?


                en ce qui conserne de la société algerienne , y a des noirs Algériens de tamanraset ou du Sud en général , je pense que j'ai jamais enttendu d'une forme de mepris racial envers eux !

                et avec les noirs africains qui viennent des pays voisins comme le Mali ou le Neijer , tachad ,,etc ils attestes tous de l'hospitalité qu'ils trouvent chez nous

                par exemple dans les cités universitaires on les trouve comme les favoris , on les respecte et j'ai jamais enttendu d'un mépris entre étudiant dans le même compus universitaire

                Commentaire


                • #9
                  Tizi, non mes histoires ne sont pas du n'importe quoi , je raconte que ce que j'ai vécu, et j'ai dit qu'il ne faut pas généraliser
                  regarde mon intervention sur l'autre topic, tu sais la différence entre "vous" et "nous" (j'aime pas utilisé ces termes) c qu'on a pas peur de dire ce qui ne va pas

                  je confirme ya bcp de racisme en algérie.
                  @ Oran y'en a pas mal et pas que des africains ma famille a bcp d'amis de couleur (à tiaret et à oran ):
                  à tiaret ce sont une légende du foot tout le monde les aiment et les respecte.
                  à oran je connais un qui a pris la vedette à tout le toute les filles monde, toute les filles sont amoureuse de lui.
                  mais le raciste je crois vraiment qu'il existe: y a eu pas mal de mariages non aprouvés par les parent à cause de la couleur du conjoint et pourtant c'est derniers etaient des algériens.
                  et je me rappele trés bien d'une amie à ma mère qui nous a dit une fois (à sa fille et à moi) qu'il faut éviter de les avoir comme amis car l'amitié peut engendrer d'autres trucs, ça m'a outrée.
                  cet été aussi ma copine m'a choqué, elle me parlait d'un ami africain qui était avec elle à la fac mais qu'elle ne supportait pas de le voir avec sa copine ça l'écoeurait.
                  encore un autre cas, je crois que c'est le pire, c l'histoire de l'oncle de ma mère qui disait ne pas pouvoir marier sa fille avec un homme de couleur quoique il n'a rien contre eux, ma mère lui demande pourquoi et elle poussse un peu loin la discussion avec lui, alors il lui dit qu'ils sont d'un niveau inferieur qu'ils ne sont bons que pour la danse et le sport et qu'il n'y a jamais eu un grand scientifique noir, et le comble c qd elle lui cite Bilal (ra), il lui dit mais comme meme tu ne peux imaginer qu'un des grands sahaba comme omar (ra) ou abou bakr (ra) entrain d'éscalader un palmier pour appeler à la prière!!!!!!!! (et ça c grave car ça implique que le bon Dieu lui meme est raciste).
                  au final je crois qu'il y a pas mal de racisme en Algérie mais on ne veut pas se l'avouer car qd on leur dit que c'est du racisme ils te disent : mais non c pas ça c que.........
                  et on oublie que nos ancetres étaient noirs et le pire on se prétend musulman
                  allah yehdina bark.
                  __________________
                  ps: saha 3idek tizi
                  ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

                  Commentaire


                  • #10
                    lumiere_blanche
                    faut pas etre suceptible ce n'est pas K-rimqui vous traite de racistes, elle a posté un article de presse, mais franchement ce matin vous me démontrez votre intolérance et votre incapacité de discuter sur vos maux,
                    y a pas longtemps on a traité du racisme en Algérie (ton compatriote a pris le soin de le rappeler) et personne n'a trouvé ça anormal tlm a donné son avis sans le moindre pb.
                    Celui qui a traiter l'agerie de pays raciste , je ne le connais pas , et en plus il ne represente pas la mentalité marocaine, alors ne generalise pas s'il te plait .
                    Je n'ai jamais traité un frere de raciste Lorsqu'on juge quelqu'un , on se juge soit même

                    Commentaire


                    • #11
                      lumière blanche je crois que ta lumière ne te suffit pas pour comprendre
                      il ne sagit pas de traiter untel ou untel de raciste c un débat, c a d chacun dit ce qu'il pense du sujet,je te conseille de voir un peu le sujet sur le racisme en Algérie pour comprendre un peu comment ça se passe.
                      ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

                      Commentaire


                      • #12
                        lumière blanche je crois que ta lumière ne te suffit pas pour comprendre
                        il ne sagit pas de traiter untel ou untel de raciste c un débat, c a d chacun dit ce qu'il pense du sujet,je te conseille de voir un peu le sujet sur le racisme en Algérie pour comprendre un peu comment ça se passe.
                        celui qui a traité l'algerie de raciste n'est pas mon ami
                        celui qui a traité le maroc de raciste n'est pas mon ami
                        de toute façon lamia14 , tu es innocente dans ce monde de brut

                        Commentaire


                        • #13
                          c qu'on a pas peur de dire ce qui ne va pas

                          Vous vous ne dites absolument rien !!

                          regardes bien cet article est ecrit et paru dans un journal marocain et publié dans tous les forums marocains !!

                          Nous on cherche, on en parle et on trouve des solutions alors que vous c'est le tabou general et l'education militaire qui vous dirige !!!

                          Nous, on n'edite pas des sujets polemiques sur l' Algerie !!

                          Alors que vous, vous ramassez n'importe quoi sur le net et vous le jettez ici !!

                          Vous, lamia et tes semblables, vous etes malades de votre haines enfouie et bien enracinés en vous !!

                          Vas voir sous la rubriqe "Algerie" si un marocain a ouvert un topic labas et va voir la contribution des marocains sous cette rubrique et tu verras clairement qui sont nous et qui sont vous* ?!!

                          Avec "vous" je veux dire et tes semblables !!

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                          • #14
                            Franchement je trouve les réponses pathétiques et chacun se voile la face, je pense que dans les deux pays y a du racisme, il ne faut pas le nier, peut pas contre les noires marocains ou algériens mais surement contre ceux qui viennet de l'afrique sub-saharienne.

                            ps: tizi je n'ai pas comrpis en quoi le mot kahlouche est péjoratif, il veut dire tous simplement noire sauf si il un autre sense que je ne connais pas
                            Dernière modification par absente, 03 janvier 2007, 11h30.

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                            • #15
                              Loo

                              tizi je n'ai pas comrpis en quoi le mot kahlouche est péjoratif, il veut dire tous simplement noire

                              beh justement !! mais lamia utilise l'equivalent de ce mot au Maroc (Azzi) dans ces messages comme etant un signe de racisme !!

                              Franchement je trouve les réponses pathétiques et chacun se voile la face

                              c'est pas le sujet qui est un probleme !! un topic pareil a ete deja publie sur FA et amplement discuté !! mais l'a, reediter ce meme sujet deja posté n'a qu'un seul but: la provocation !!

                              et tu vas voir l'auteur de ce topic qui est sensé etre interessé par la discussion ne va ajouter aucun mot a la discussion !! c'est des pur provocateur et rien de plus !! et il y en a en masses ici sur FA des ecervellés comme ca
                              Dernière modification par Tizinissa, 03 janvier 2007, 11h26.

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