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lusieurs personnes ont été abattues mercredi en Tunisie par les forces de sécurité, qui traquaient les éléments d'un groupe qualifiés de "dangereux criminels" dans le sud de Tunis, a indiqué l'agence tunisienne Tap (officielle).
L'agence, citant le ministère de l'Intérieur, ne précise pas le nombre de personnes tuées au cours de la fusillade, indiquant seulement qu'elle fait "suite à un premier échange de coup de feu survenu dans la nuit du 23 décembre entre les forces de l'ordre et un groupe de dangereux criminels".
"Les forces de sécurité ont poursuivi, mercredi matin, la traque des éléments restants de ce groupe, ce qui a entrainé un échange de coups de feu au cours duquel les éléments de ce groupe ont été abattus", a ajouté la Tap.
La Tap n'indique pas le lieu précis de l'accrochage de mercredi, qui aurait eu lieu dans la localité de Soliman, une zone boisée près de Nabeul (45 km au sud de Tunis), qui a été bouclée par les forces de sécurité selon des résidents contactés par téléphone.
Cette annonce intervient alors que l'on pouvait assister à un déploiement exceptionnel de forces de sécurité, y compris d'effectifs de la garde nationale et de militaires sur l'autoroute reliant Tunis au sud du pays.
Des barrages de police ont été installés de façon permanente aux entrées de toutes les villes du pays et dans la capitale, et procède au contrôle de certains véhicules dont ils fouillent des passagers, selon des témoignages concordants.
Le 24 décembre, la Tap avait annoncé un accrochage au cours duquel deux personnes ont été tuées et deux policiers blessés et avait fait état de deux arrestations.
L'agence avait alors indiqué que l'accrochage avait opposé des forces de sécurité à de "dangeureux criminels recherchés", sans préciser la nature de leurs crimes.
La plupart des journaux ont évoqué l'incident du 23 décembre comme un fait divers relié à un trafic d'armes ou de drogue, un seul quotidien privé "Assarih" avait laissé entendre qu'il pourrait s'agir d'un groupe terroriste
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lusieurs personnes ont été abattues mercredi en Tunisie par les forces de sécurité, qui traquaient les éléments d'un groupe qualifiés de "dangereux criminels" dans le sud de Tunis, a indiqué l'agence tunisienne Tap (officielle).
L'agence, citant le ministère de l'Intérieur, ne précise pas le nombre de personnes tuées au cours de la fusillade, indiquant seulement qu'elle fait "suite à un premier échange de coup de feu survenu dans la nuit du 23 décembre entre les forces de l'ordre et un groupe de dangereux criminels".
"Les forces de sécurité ont poursuivi, mercredi matin, la traque des éléments restants de ce groupe, ce qui a entrainé un échange de coups de feu au cours duquel les éléments de ce groupe ont été abattus", a ajouté la Tap.
La Tap n'indique pas le lieu précis de l'accrochage de mercredi, qui aurait eu lieu dans la localité de Soliman, une zone boisée près de Nabeul (45 km au sud de Tunis), qui a été bouclée par les forces de sécurité selon des résidents contactés par téléphone.
Cette annonce intervient alors que l'on pouvait assister à un déploiement exceptionnel de forces de sécurité, y compris d'effectifs de la garde nationale et de militaires sur l'autoroute reliant Tunis au sud du pays.
Des barrages de police ont été installés de façon permanente aux entrées de toutes les villes du pays et dans la capitale, et procède au contrôle de certains véhicules dont ils fouillent des passagers, selon des témoignages concordants.
Le 24 décembre, la Tap avait annoncé un accrochage au cours duquel deux personnes ont été tuées et deux policiers blessés et avait fait état de deux arrestations.
L'agence avait alors indiqué que l'accrochage avait opposé des forces de sécurité à de "dangeureux criminels recherchés", sans préciser la nature de leurs crimes.
La plupart des journaux ont évoqué l'incident du 23 décembre comme un fait divers relié à un trafic d'armes ou de drogue, un seul quotidien privé "Assarih" avait laissé entendre qu'il pourrait s'agir d'un groupe terroriste
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