Eau: Chute des stocks
La saison agricole de cette année est d’autant plus comprise que même les ressources souterraines et les stocks en eau des barrages se tarissent.
A titre indicatif, la nappe phréatique de l’oued Saïss (Fès-Meknès) connaît un déficit de 100 millions de m3. Au Souss-Massa, le déficit enregistré est de 300 millions de m3. «Cela pose le problème de la recharge naturelle des nappes et, par conséquent, la disponibilité de la ressource à moyen et long termes», indique Rachid Balafrej, spécialiste de l’eau et conseiller auprès du ministre de l’Aménagement du territoire. La situation n’est guère reluisante au niveau des barrages. Le taux de remplissage des ouvrages, comme El Massira et Lalla Takerkouste, qui alimentent des régions entières, est de moins de 50%.
Tarik QATTAB
L'Economiste
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Le Maroc a de quoi s’inquiéter cette année. IL y a un déficit pluviométrique de 44% par rapport à la moyenne.
La saison agricole de cette année est d’autant plus comprise que même les ressources souterraines et les stocks en eau des barrages se tarissent.
A titre indicatif, la nappe phréatique de l’oued Saïss (Fès-Meknès) connaît un déficit de 100 millions de m3. Au Souss-Massa, le déficit enregistré est de 300 millions de m3. «Cela pose le problème de la recharge naturelle des nappes et, par conséquent, la disponibilité de la ressource à moyen et long termes», indique Rachid Balafrej, spécialiste de l’eau et conseiller auprès du ministre de l’Aménagement du territoire. La situation n’est guère reluisante au niveau des barrages. Le taux de remplissage des ouvrages, comme El Massira et Lalla Takerkouste, qui alimentent des régions entières, est de moins de 50%.
Tarik QATTAB
L'Economiste
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Le Maroc a de quoi s’inquiéter cette année. IL y a un déficit pluviométrique de 44% par rapport à la moyenne.
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