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  • #16
    Jawzia
    J'ai déjà donné une source qui précise que le taux de 18% a été enregistré en 2005 et non en 2000.


    Encore et toujours de la diffamation des infos !! vraiment .... !!
    n'importe qui d' autre aurait eu honte de propager des intox pareils !!

    Pour ton Info:

    A fin 2005, le taux d’accès à l’eau potable en milieu rural a été porté à 70%.
    Ainsi, l'intervention de l'ONEP en ce milieu a permis d'alimenter un total de 3656 Douars et 180 petits centres ruraux au bénéfice de 2,8 millions d'habitants (dont 690.000 par branchements individuels).
    La population rurale desservie par bornes fontaines (B.F) compte plus d'un million d'habitants au moyen d'un parc de 3034 B.F.


    Informes toi si tu veux des information splus precises sur tout les programmes:
    http://www.onep.org.ma/aep-rurale.htm

    18 % ?? Vraiment !! faut etre je ne sais qui pour dire pareil sans rougir !!!

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    • #17
      A fin 2005, le taux d’accès à l’eau potable en milieu rural a été porté à 70%.
      61% : Taux d'accès à l'eau potable en milieu rural . Cela Inclut ceux qui accèdent au :

      1. Réseau de distribution d'eau potable (Barrage puis Station d'epuration puis Gros tuyaux puis petits tuyaux et enfin ROBINETS) Ils sont 18%. Clair.

      2. Ceux qui s'abreuvent à travers des puits

      3. Ceux qui s'abreuvent à travers les fontaines publiques

      4. Ceux qui s'abreuvent à travers les sources.

      Si pas compris encore, pas m'en vouloir.

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      • #18
        Ah oui et tu appelles comment un branchement individuel ?

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        • #19
          "Reste que si les nouveaux systêmes de filtration de l’eau de mer par des membranes ont permis d’en abaisser le coût, la technologie de dessalement reste chère, aux alentours de 0,50 centimes d’euros par m3. Elle restera donc hors d’atteinte de nombreux pays du Sud, ceux-là mêmes qui en auraient le plus besoin…"
          Supposons qu'on ne parle pas de stations de dessalement. Prenons à titre d'exemple El Kala et Timimoune le cout du mètre cube d'eau couterait du simple au quintuple pour respectivement ces deux régions. Doit-on alors repercuter la vérité des couts sur la verité des prix.

          Le ministre de l'hydraulique Sellal a été clair. La solidarité nationale doit jouer et celle de l'état en premier. Si l'eau coute cher à Tamenrasset c'est pas la faute aux habitants locaux. Il en sera de même pour l'eau issu du déssalement.

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          • #20
            Supposons qu'on ne parle pas de stations de dessalement. Prenons à titre d'exemple El Kala et Timimoune le cout du mètre cube d'eau couterait du simple au quintuple pour respectivement ces deux régions. Doit-on alors repercuter la vérité des couts sur la verité des prix.

            Le ministre de l'hydraulique Sellal a été clair. La solidarité nationale doit jouer et celle de l'état en premier. Si l'eau coute cher à Tamenrasset c'est pas la faute aux habitants locaux. Il en sera de même pour l'eau issu du déssalement.

            .........................................
            jawzia

            Plutot que de chercher des solutions couteuses rien que parce que l'Etat dispose de liquidités et pour le prestige ( ca me rappelle la politique de l'industrie lourde des années socialistes ),pourquoi ne pas construire le plus grands nombres de barrages pour retenir l'eau des pluies qui tombent( bon an , mal an ) en quantités suffisantes ainsi que l'eau provenant de la fonte des neiges.L'Algerie disposant d'une chaine de montagnes tres importante.

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            • #21
              Désolé doublon.
              Dernière modification par jawzia, 18 janvier 2007, 16h41.

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              • #22
                pourquoi ne pas construire le plus grands nombres de barrages pour retenir l'eau des pluies qui tombent( bon an , mal an ) en quantités suffisantes
                La construction des barrages continue notamment à l'est et au centre du pays. De la pluie, il y en aura de moins en moins (à en croire certains météorologues).
                Les eaux des stations de dessalement alimenteroint les villes cotières tandis que celles des barrages seront destinées aux villes de l'intérieur et aux hauts plateaux (en consommation domestique et agricole).

                C'est certes cher, mais c'est pas bête comme stratégie et en plus avons nous le choix avec tout ces boulversements climatiques ?
                Dernière modification par jawzia, 18 janvier 2007, 16h43.

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                • #23
                  Allons, allons les gens meme le Maroc va adopter les techniques de dessalement d'eau de mer, en s'appuyant sur des technologies americaines, chinoises et Israeliennes.

                  Un reacteur nucleaire est en train d'etre construit pour allimenter en Energie une centrale de dessalement d'eau de mer dans le sud, ce qui servira de test pour etendre cette technologie en d'autres points du pays.

                  On sera obligé d'y avoir recourt comme dit Jawzia, les barrages ne peuvent nous garantir un approvisionnement permanent pour tout nos besoins, il ne faut pas rester dependant de la pluviometrie.

                  Il reste le probleme de cout, mais le developpement des sciences est la pour nous aider à les reduire, surtout le nucleaire et les techniques biochimiques.

                  Mais commençons d'abord par mieux gerer l'eau qu'on a, et à ameliorer nos reseaux de distribution.
                  Ca vaut pour le Maroc comme pour l'Algerie.

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                  • #24
                    A propos dessalement d' eau de mer

                    Aussi, le dessalement sera-t-il probablement un des moyens de sécuriser l'approvisionnement en eau. La technologie permet au pays de produire actuellement environ 20 000 m3/jour, soit 2 % de la capacité nationale, précise le directeur général de l'Office National de l'Eau Potable (ONEP), Fassi Fihri, grâce à quelques stations installées dans les provinces du Sud (Laâyoune, Boujdour, Tarfaya et Tan Tan). La baisse progressive des coûts d'investissement a incité l'ONEP a lancé d'autres projets : à Laâyoune (13 000 m3/jour), à Tan Tan (9 000 m3/jour) dont la mise en service est prévue respectivement pour 2008 et 2009, mais aussi à Agadir avec un programme d'une capacité de 44 000 m3/jour prévu pour 2015. Un premier objectif national a été fixé pour 2008, celui de doubler la capacité de production pour la porter à 40 000 m3/jour.
                    Les installations a venir seront, a ma connaissance, concue pour etre alimentées par l' energie solaire !

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                    • #25
                      Par ce que maman l'espagne nous avait interdit d'utiliser l'energie nucléaire pour ces fin à tantan ...

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