L’Union féministe libre (UFL), une association marocaine qui oeuvre pour
l’émancipation des femmes a diffusé une vidéo sur Youtube le 20 décembre alertant sur le cas d’El Hasnae, jeune fille de 18 ans retrouvée morte au fond d’un puits dans la région de Rabat après qu’elle ait subit un viol collectif. « Combien de femmes doivent mourir pour que la loi change ? » s’insurgent les membres de l’association qui relatent le parcours d’El Hasnae rencontrée la première fois errante dans le périmètre de la gare
de Rabat, après avoir fui son domicile où son père adoptif abusait d’elle, affirme l’UFL.
Recueillie par l’association, elle avait ensuite été placée dans un centre. Peu de temps après, la jeune fille est retrouvée morte au fond d’un puits dans son douar. L’UFL veut faire de son cas un nouveau symbole de la lutte contre les violences à l’égard les femmes au Maroc, notamment les viols portés à l’opinion publique qui se succèdent alors que la législation demeure laxiste en la matière.
l’émancipation des femmes a diffusé une vidéo sur Youtube le 20 décembre alertant sur le cas d’El Hasnae, jeune fille de 18 ans retrouvée morte au fond d’un puits dans la région de Rabat après qu’elle ait subit un viol collectif. « Combien de femmes doivent mourir pour que la loi change ? » s’insurgent les membres de l’association qui relatent le parcours d’El Hasnae rencontrée la première fois errante dans le périmètre de la gare
de Rabat, après avoir fui son domicile où son père adoptif abusait d’elle, affirme l’UFL.
Recueillie par l’association, elle avait ensuite été placée dans un centre. Peu de temps après, la jeune fille est retrouvée morte au fond d’un puits dans son douar. L’UFL veut faire de son cas un nouveau symbole de la lutte contre les violences à l’égard les femmes au Maroc, notamment les viols portés à l’opinion publique qui se succèdent alors que la législation demeure laxiste en la matière.