Les élections irakiennes

[observateur 66]

bonjour Avucic

Il est vrai il régne avant tout un chaos annoncé et ces élections dite démocratique ne tombe pas vraiment à un bon moment, le peuple n'est pas encore prét, il est trop tot pour eux mais il ce fait tard pour le gouvernement qui a d"autre chat à fouetté....
Je vais ésseyer de répondre à tes questions..

pour info il se dit....

La Commission électorale a commencé à distribuer sous haute sécurité les urnes dans le pays, y compris dans la province rebelle d'Al-Anbar, où 40 bureaux de vote ont été établis, a affirmé son porte-parole, Farid Ayar. Selon Carina Perelli, directrice de la division de l'assistance électorale à l'ONU, 14 270 000 Irakiens sont inscrits comme électeurs, et 55 000 observateurs irakiens et membres des partis ont été accrédités pour observer le déroulement du vote. En outre, 122 observateurs internationaux seront sur place.

ça va mal!!!

Les pertes américaines ont été, mercredi 26 janvier, les plus lourdes depuis l'invasion de l'Irak en mars 2003.
A quatre jours d'élections auxquelles le président américain, George W. Bush, a encouragé les Irakiens à participer, les forces américaines ont enregistré la mort de 37 de leurs soldats, mercredi 26 janvier dans le pays - soit leurs plus lourdes pertes en une journée depuis l'invasion de mars 2003.

Cette occupation de l'Irak devient une préocupation pour l'administration Buch il faut justifier les dépenses.....

Les seules opérations en Irak coûtent plus d'un milliard de dollars par semaine. Les fonds engagés pour la "guerre contre le terrorisme" atteignent près de 300 milliards de dollars depuis septembre 2001, dont 230 milliards pour l'Irak et 60 milliards pour l'Afghanistan. Cela représente près de la moitié, en dollars actualisés, des 613 milliards dépensés par les Etats-Unis pendant la première guerre mondiale et des 623 milliards de la guerre du Vietnam.

Dans un climat lourd de menaces d'attentats terroristes, 14 millions d'électeurs irakiens sont supposés aller aux urnes le dimanche 30 janvier, pour les premières élections multipartites dans ce pays depuis près d'un demi-siècle. Ils doivent élire simultanément les 275 membres de l'Assemblée nationale intérimaire et leurs délégués aux conseils provinciaux.

Loin du chaos, le Kurdistan se prépare à voter massivement

Il est vrai que le suspense n'est pas au rendez-vous. Les deux grands partis traditionnels kurdes (PDK, UPK), rejoints par les partis communiste, islamiste ou encore chrétien et turcomans, ont décidé de faire front commun en ne présentant qu'une seule liste, la Liste unifiée du Kurdistan, pour les élections à l'Assemblée nationale intérimaire. Dans cette région qui, la première du pays, a fait dès 1992 l'expérience d'élections libres, les signes visibles de la campagne sont rares.

et que veulent-ils?

L'enjeu pour les Kurdes tient en deux revendications extrêmement sensibles. La première est la "récupération" des villes de Kirkouk et, dans une moindre mesure, de Khanaqin (à la frontière iranienne), ainsi que de celle de Sindjar (à la frontière syrienne). Saddam Hussein y avait appliqué une politique d'arabisation brutale, en expulsant massivement la population kurde. L'autre revendication est la garantie que le droit des Kurdes sera protégé par la Constitution que l'Assemblée nationale intérimaire devra élaborer. Si les 20 % de Kurdes que compte le pays se rendent aux urnes, les responsables politiques espèrent emporter entre 70 et 90 des 275 sièges de la future Assemblée.

UN SIGNAL EMBARRASSANT

[renaissance]

je pense que ces elections seront un fiasco
ca cest clair avec d'un coté les chiites allaoui sans oublier les kurdes et les americains et bush
et de l'autre la resistance sunnite irakienne et zarka que l'on a plus a presenter
sachant que les candidats ne seront connus qu'a la derniere minute
pareil pour les lieux de votes
tout ca ca va partir en sucette
et hop la une petite guerre civile

sinon Cinq questions sur une élection
1. Qui va gagner les élections ?
Difficile de le savoir dans un pays en proie à la violence, où les sondages n’ont aucune valeur. D’autant plus que le scrutin proportionnel va atomiser les résultats. Et si les experts affirment que les chiites vont gagner, « ils ne constituent pas un bloc monolithique », rappelle le directeur de la rédaction des Cahiers de l’Orient, Antoine Sfeir. Les uns sont laïques, certains sont pro-iraniens, d’autres encore sont communistes. Ces derniers, refusant toute compromission, s’opposent à l’ancien régime comme aux Américains.



2. Pourquoi les sunnites appellent-ils au boycott ?

Les groupes islamistes armés, comme l’Armée islamique en Irak ou les hommes de Zarqaoui ont appelé à « ne pas participer à cette apostasie ». Pour eux la démocratie est « contraire à la loi divine ». Certains partis politiques sunnites, sous l’influence du Comité des oulémas musulmans, la plus influente organisation religieuse sunnite, refusent de voter sous occupation américaine. Les autres veulent juste un report des élections pour des questions de sécurité. C’est le cas du Parti islamique irakien, principale formation sunnite qui avait formé une liste de candidats avant de se retirer, fin décembre. « Tous craignent aussi de perdre l’influence qu’ils avaient sur la vie politique au profit des chiites », précise Antoine Sfeir.



3. Fallait-il reporter les élections ?

Les avis divergent. Pour la France, ces « élections sont difficiles mais possible » et, dans la mesure où une date avait été fixée, « il était important de la respecter, même si les conditions dans lesquelles se déroulent les élections ne sont pas idéales. C’est une étape, pas la finalité », justifie un diplomate. Mais, pour Joost Hiltermann, de l’International Crisis Group « il fallait repousser le scrutin, afin d’amener les sunnites à y participer. Le problème n’est pas l’exclusion de 20 % des électeurs, mais de 20 % qui appartiennent à la même communauté. »



4. Ce scrutin peut-il être légitime ?

En multipliant les attentats dans les régions à majorité sunnite, les groupes armés tentent justement de nuire à la légitimité du scrutin. Malgré tout, Antoine Sfeir se veut optimiste : « Je crois que les Irakiens iront voter. Et au-delà de 65 % de participation, les Etats-Unis auront eu raison de maintenir le vote. » De plus, « l’essentiel, explique-t-on au Quai d’Orsay, c’est que toutes les parties de la société et tous les partis politiques participent au processus. Si les Irakiens trouvent un moyen consensuel d’y accéder, nous serons pour. » En clair, même si les sunnites ne participent pas au scrutin, il existe d’autres moyens de les intégrer à la transition démocratique : en nommant des ministres sunnites, en organisant un référendum sur la future Constitution, en espérant qu’ils participent aux futures législatives.



5. Y a-t-il un risque de guerre civile en Irak ?

A Paris, les diplomates « croient beaucoup au sentiment national en Irak. La guerre civile aurait pu éclater depuis longtemps, mais malgré les provocations des terroristes, les chiites ont fait preuve de maturité. » Un point de vue que ne partage pas Antoine Sfeir, qui estime que « la guerre civile a déjà commencé. La libanisation ou communautarisation de l’Irak a déjà commencé. » Il pense que « l’éclatement du pays est irréversible », contrairement à Henry Laurenz, professeur au Collège de France qui vient de publier Le Moyen-Orient à l’épreuve de l’Irak (Ed. Sindbad-Actes Sud). « Depuis plus de quatre-vingts ans, justifie-t-il, il y a un Etat, une continuité historique en Irak. C’est un élément très fort ». C. L.

[observateur 66]

bonjour renaissance,

Merci pour ces infos cela permet de mieux comprendre ces élections et apporter des réponses aux actions menées des uns des autres....

A savoir...Irak : début des élections à l'étranger, poursuite des attaques dans le pays annonçaient la presse ce matin...

Début des élections à l'étranger. Les bureaux de vote pour les élections irakiennes ont ouvert, vendredi 28 janvier, en Australie, afin de permettre à près de 12 000 Irakiens expatriés de déposer leur bulletin dans l'urne.
Le scrutin ne débute que dimanche en Irak mais les bureaux de vote ouvrent dès ce vendredi dans les 14 pays où une élection pour les expatriés est organisée.
Les élections auront lieu en Australie, en Grande-Bretagne, au Canada, au Danemark, en France, en Allemagne, en Iran, aux Pays-Bas, en Suède, en Syrie, en Turquie, aux Emirats arabes unis, aux Etats-Unis et en Jordanie.Au total, près de 280 000 Irakiens vivant à l'étranger se sont inscrits pour les élections générales contre le million prévu.
En Iran, les bureaux de vote sont ouverts dans six villes iraniennes et "aucun problème n'a été rapporté jusque-là", a déclaré Monica Ellena, une responsable de l'OIM en Iran.
Dans la ville sainte de Qom (120 km au sud de Téhéran), au bureau de vote de la mosquée des Najafiha, près de 300 électeurs irakiens attendaient dans deux longues files d'attentes pour voter, a constaté un journaliste de l'AFP.
Quelque 60 908 Irakiens se sont inscrits à travers l'Iran pour participer au scrutin, soit environ la moitié des électeurs potentiels.

L'Irak met en place d'importantes mesures de sécurité pour les élections
D'impressionnantes mesures de sécurité sont mises en place pour cette journée historique. Car elle va permettre d'élire, non seulement une Assemblée transitoire, dont la principale mission sera de rédiger une nouvelle Constitution - qui devra régir le pays après son adoption par référendum avant le 15 octobre -, mais également les conseils des 18 provinces, ainsi que, dans le Kurdistan, une Assemblée kurde de 111 membres. C'est dire l'enjeu du scrutin !

Circulation interdite, frontières fermées, trois jours en "état d'alerte".
Le pays tout entier sera coupé du monde. Les frontières et l'aéroport seront fermés pour trois jours. La circulation sera interdite, sauf pour les véhicules autorisés. Les abords des quelque 5 500 bureaux de vote seront placés sous la protection d'importantes forces de sécurité nationales et des troupes de la coalition, afin que les 12,6 millions d'électeurs inscrits puissent déposer leur bulletin dans les 90 000 urnes. Les rassemblements seront interdits. Tous les hôpitaux, notamment ceux de Bagdad, seront sur le pied de guerre, et "800 ambulances seront en état d'alerte", a annoncé le ministère de la santé.

ET LA CAMPAGNE ELECTORALE?

La campagne électorale, si l'on peut dire, devait officiellement prendre fin vendredi matin. Le débat destiné à partager les 84 partis et alliances ainsi que les 27 personnalités en lice n'a pratiquement pas eu lieu. Il n'y a pas eu de réunions électorales, ni de confrontations. Les affiches électorales ont été apposées un peu partout, mais les noms sur les listes ont été tenus secrets jusqu'au 24 janvier, par mesure de sécurité.

entre autres:
L'un des pions Buch en échec

Scandale autour d'un transfert de fonds en pleine campagne électorale en Irak
Le ministre de la défense a été mis en cause.
concernées, Sur fond de rivalités électorales entre les personnalités une belle pagaille autour d'un transfert - ou plutôt d'un transport - de fonds est venue se greffer, ces derniers jours, sur le chaos qui sévit en Irak. L'affaire a éclaté au grand jour, vendredi 21 janvier, avec la publication par le quotidien saoudien Al-Charq Al-Aousatde déclarations du ministre irakien de la défense, Hazem Chaalane, annonçant qu'il allait faire arrêter Ahmed Chalabi, le chef du Congrès national irakien, après l'Aïd Al-Adha (la fête du sacrifice) et le faire traduire en justice pour diffamation.

Le ministre affirme que M. Chalabi l'a accusé d'être lié aux services de renseignement de Saddam Hussein et d'avoir fait "transporter" à l'étranger une somme de 500 millions de dollars, ponctionnée sur le budget de son ministère. Accusation qui insinue un risque de détournements de fonds.

Toutes informations sur ces élections sont les biens venues!

[renaissance]

je le sens c'est la berezina c'est election quand tu t'appercois que :
Les élections auront lieu en Australie, en Grande-Bretagne, au Canada, au Danemark, en France, en Allemagne, en Iran, aux Pays-Bas, en Suède, en Syrie, en Turquie, aux Emirats arabes unis, aux Etats-Unis et en Jordanie.
et que les irakiens de l'etranger vont voter pour des elections misent en place par les americains en toute securite et que les irakiens en irak risquent leur vie
moi je conseille aux ressortissants iraqiens a l'etranger de boycotter
ces elections en signe de protestation face a l'occupation americaine cde leur pays
et pour que cesse cette agression
et pour militer pour une iraq plus sur sans les americains et avec une independance totale des iraqiens vis a vis des americains et de l'onu

QUE VIVE LA RESISTANCE IRAQIENNE FACE A L'OCCUPANT AMERICANOSIONISTE ET FACE A SES ALLIES

[adnocturne]

Tu as raison la meilleure facon de ce faire entendre c'est ce taire....

Je trouve ton post... ridicule (desole j'ai pas d'autre mot)

[tounsi]

Si les Election sont faite sous l égide ONU je suis pour si c est les yankee qui s en occupent ce scrutin n est pas legitime déja dans leur pays il trichent pour elirent leur president alors imaginer en Irak ils nous prennent vraiment pour des con ces ricains merde

[renaissance]

USA =ONU

[Le Roi Lion]

USA=ONU

[quote]

J'espère que non.

[tounsi]

J'espère que non.

Si ça aurait été le cas pourquoi l 'ONU a t elle refuser attaquer Irak ???

[renaissance]

l'onu est controler a 100pour 100 controler par les americains a tous les niveau
sauf au conseil de securite composer des 5 pays
gb russie france usa et chine
qui eux ont un veto et peuvent influencer les resolution votées

[adnocturne]

Donc l'onu n'est pas controle par les ricains

[renaissance]

SI

[renaissance]

tu sais pourquoi l'onu est sous le controle des usa
une des raisons essentielle c'est aprce que son siege est a new york
et pas a geneve lausanne strasbourg paris bruxelles ou lahaye

[Le Roi Lion]

Je ne pense pas que l'ONU soit controlé par les USA même s'il ont une trés grande influence sur l'ONU.
ex:L'ONU a déclaré la guerre en Irak illégale mais elle n'a pas pris de sanction contre les USA.

[observateur 66]

bonjour,
pour répondre a ta question:

Si ça aurait été le cas pourquoi l 'ONU a t elle refuser attaquer Irak ???

L'ONU a refuser l'utilisation de la force en Irak estimant que Saddam à répondu aux résolutions qui lui était imposé, certes Saddam n'est pas un ange "Gazage de la population Kurdes" entre autre, je pense que le monde se devait d'intervenir en Irak mais pas de cette maniere.
C'est le peuple qui en souffre aujourd'hui et demain L'Iran...

Les Américains hésitent face au programme nucléaire iranien

La perspective de voir l'Iran disposer d'une bombe nucléaire a été qualifiée d'"inacceptable" par George Bush. Elle est considérée comme trop risquée par la grande majorité des spécialistes, proches du gouvernement ou pas. Kenneth Pollack, responsable du Golfe persique au Conseil national de sécurité dans l'administration Clinton, ancien spécialiste de l'Iran à la CIA, aujourd'hui à la Brookings Institution, ne croit pas que "l'arme nucléaire apporte soudain la sagesse à Téhéran, comme voudraient le croire ceux qui ont déjà renoncé, aux Etats-Unis et surtout en Europe, à l'empêcher de l'acquérir. Au contraire. Depuis huit ans, ce pays modère son comportement dans la crainte d'une action militaire américaine et de sanctions économiques. Avec la bombe atomique, il pourrait considérer qu'il n'a plus rien à craindre.

On ne change pas une méthode qui marche

Dick Cheney a prévenu que si les négociations échouent, les Etats-Unis demanderont au Conseil de sécurité des Nations unies d'agir. La situation ne serait alors pas sans rappeler celle du début 2003 avec l'Irak. Si la diplomatie échoue, faute de consensus à l'ONU ou si Téhéran refuse de céder, il restera alors aux Etats-Unis la troisième option, celle de la menace et de l'intervention militaire.

Ce qui se dit dans les couloirs du pentagone à voix haute

Les Etats-Unis ont les moyens militaires de mener une campagne de bombardements de plusieurs semaines. Mais le coût politique et les conséquences en matière de terrorisme, notamment en Irak, seraient considérables.
En outre, l'efficacité des bombardements est loin d'être prouvée. "Nous ne connaissons pas l'étendue du programme iranien. Nous avons été surpris de découvrir en 2002 l'existence de sites à Arak et Natanz. Les installations sont dispersées, parfois enterrées et protégées. Certaines se trouvent au milieu de zones peuplées et les bombarder feraient de nombreuses victimes civiles",

Voila ou en est le gouvernement Buch.... au suivant, les élections seront déterminantes pour "à la poursuite de l'or noir"