Bonsoir
Hérouxville et ses 1300 habitants craignent de perdre leur culture à cause d'un éventuel afflux d'immigrés. Ils ont donc instauré des «normes», interdisant notamment de lapider, de brûler et d'exciser les femmes.
Hérouxville est un petit village québécois de 1300 habitants soucieux de conserver leurs eus et coutumes. Selon le journal canadien La Presse, le conseiller municipal André Drouin ne souhaite pas modifier ses habitudes, même dans le cas d'un important afflux d'immigrés.
Suite à différents sondages auprès de sa population, il a fait adopter par le conseil municipal de nouvelles «normes» officielles, interdisant de «tuer les femmes par lapidation sur la place publique ou en les faisant brûler vives, les brûler avec de l'acide, les exciser.»
Ces «normes» confirment par ailleurs que «les hommes et les femmes ont la même valeur» et qu'une femme peut entre autres «conduire une voiture, voter librement, signer des chèques, danser, décider par elle-même.»
Faisant allusion au port du voile et de la burka, elles précisent encore que le seul jour de l'année où il est autorisé de se promener en public le visage couvert est celui d'Halloween.
Jusqu'à aujourd'hui, le village ne compte pas le moindre immigré et malgré l'instauration de ces «normes», les citoyens d'Hérouxville ne craignent pas d'être taxés de racises, selon André Drouin: «On n'est pas des racistes, on explique notre culture.»
(kim)
Hérouxville et ses 1300 habitants craignent de perdre leur culture à cause d'un éventuel afflux d'immigrés. Ils ont donc instauré des «normes», interdisant notamment de lapider, de brûler et d'exciser les femmes.
Hérouxville est un petit village québécois de 1300 habitants soucieux de conserver leurs eus et coutumes. Selon le journal canadien La Presse, le conseiller municipal André Drouin ne souhaite pas modifier ses habitudes, même dans le cas d'un important afflux d'immigrés.
Suite à différents sondages auprès de sa population, il a fait adopter par le conseil municipal de nouvelles «normes» officielles, interdisant de «tuer les femmes par lapidation sur la place publique ou en les faisant brûler vives, les brûler avec de l'acide, les exciser.»
Ces «normes» confirment par ailleurs que «les hommes et les femmes ont la même valeur» et qu'une femme peut entre autres «conduire une voiture, voter librement, signer des chèques, danser, décider par elle-même.»
Faisant allusion au port du voile et de la burka, elles précisent encore que le seul jour de l'année où il est autorisé de se promener en public le visage couvert est celui d'Halloween.
Jusqu'à aujourd'hui, le village ne compte pas le moindre immigré et malgré l'instauration de ces «normes», les citoyens d'Hérouxville ne craignent pas d'être taxés de racises, selon André Drouin: «On n'est pas des racistes, on explique notre culture.»
(kim)
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