MOSCOU, 27 septembre (Xinhua) -- Les dernières munitions chimiques des arsenaux russes ont été détruites dans le district fédéral de la Volga, dans le sud-ouest de la Russie, a annoncé mercredi le gouvernement russe.
"Nous pouvons affirmer sans exagération qu'il s'agit d'un événement historique, étant donné l'énorme quantité de munitions chimiques héritée de l'ère soviétique", a déclaré le président russe Vladimir Poutine dans une téléconférence donnée à Udmurtia, où la destruction des armes chimiques a eu lieu.
"C'est un grand pas en avant vers un monde moderne plus équilibré et plus sûr", a-t-il ajouté.
Rappelant que la Russie avait été l'un des premiers pays à signer la Convention sur l'interdiction des armes chimiques (CIAC), M. Poutine a souligné que Moscou avait totalement rempli ses obligations internationales, y compris dans le domaine du désarmement et de la non-prolifération des armes de destruction massive.
La CIAC est entrée en vigueur en 1997, sous la supervision de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC). Selon l'OIAC, 96 % des stocks d'armes chimiques déclarés par les 192 pays signataires de la convention ont désormais été détruits de manière vérifiée.
"Nous pouvons affirmer sans exagération qu'il s'agit d'un événement historique, étant donné l'énorme quantité de munitions chimiques héritée de l'ère soviétique", a déclaré le président russe Vladimir Poutine dans une téléconférence donnée à Udmurtia, où la destruction des armes chimiques a eu lieu.
"C'est un grand pas en avant vers un monde moderne plus équilibré et plus sûr", a-t-il ajouté.
Rappelant que la Russie avait été l'un des premiers pays à signer la Convention sur l'interdiction des armes chimiques (CIAC), M. Poutine a souligné que Moscou avait totalement rempli ses obligations internationales, y compris dans le domaine du désarmement et de la non-prolifération des armes de destruction massive.
La CIAC est entrée en vigueur en 1997, sous la supervision de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC). Selon l'OIAC, 96 % des stocks d'armes chimiques déclarés par les 192 pays signataires de la convention ont désormais été détruits de manière vérifiée.