Oui ! que s'est-il vraiment passé ?
une coalition de 3 mastodontes pour lancer 100 missiles sans avoir l'aval de l'Onu ! résultat : aucune victime, quelques dégâts matériels.
D'abord, qui sont les agresseurs ?
les 3 pays qui ont envoyé des agents sur place depuis des années. ces agents ont servi de cadres à l'organisation du putsch contre Assad. ils ont organisé la guérilla islamiste, infiltré les rangs ennemis, réceptionné les convois d'armes (Officiellement, la CIA a fait transiter + de 2000 camions d'armements par la Turquie selon Erdogan dans sa conf de presse à Paris).
Qu'y a-t-il de changé sur le terrain ?
les troupes de l'armée régulière syrienne finissent de nettoyer les poches de rébellion islamiste. La dernière en date est la Ghouta, banlieue de Damas. Particulièrement la Douma où les intérêts occidentaux semblent directement malmenés. Bizarrement, c'est un Assad victorieux qui devient subitement trop idiot pour lancer des gaz sur sa propre population ! Et patatras, une affaire dont le scénario est bouclé en une semaine !
Y a-t-il eu un précédent d'une attaque éclair ?
of course, une semaine avant, quelques missiles ont détruit un immeuble en Syrie. Le lendemain, on apprend qu'il s'agit d'une attaque israélienne. L'autorisation donnée à Israel découle sans doute du fait que ce pays ne peut être associé à une coalition internationale sans ternir l'image de cette dernière.
Le rôle de la Russie?
contrairement à ce qui se dit de façon assez binaire ici, la Russie a consolidé ses positions en Syrie au grand dam des occidentaux. Mais la Russie qui joue sa propre partition négocie dur. La Realpolitik et le pragmatisme de Poutine lui permettent de tout envisager en Syrie, pourvu que Damas reste sous son influence. Ainsi, derrière les gesticulations, la Russie accorde l'autorisation aux occidentaux de détruire des locaux cibles préalablement vidés dont aucune carte topographique n'a été fournis par les médias occidentaux, syriens ou russes. une preuve que les tergiversations de pentagone étaient destinées à gagner du temps en attendant un accord tripartite commun des cibles de cette mauvaise pièce de théâtre de dupes.
Et maintenant que vais-je faire ?
attendre ou agir ? tel est le dilemme ! il est clair que Assad va capitaliser sur son rôle de victime dont le pays fut agressé avec une logique absconse que les occidentaux ne comprennent pas ! la Russie se retrouve conforté dans son investissement régional ! les occidentaux eux ont effacé leur présence en Syrie. Maintenant commence pour eux le long chemin de la rédemption ! les affreux ! ils auraient aimé que la prise de la Ghouta s'accompagna d'un succès de la négociation sur l'évacuation de leurs milices locales ! malheureusement ce qui fut fait à Idlib avec les fameuses colonnes de cars verts (islamistes) flambant neufs n'était plus possible !
Pourquoi cette issue fatale ?
A Idlib, la négociation permettait d'évacuer les miliciens désarmés vers une autre destination. Les eux parties étaient gagnantes. L'une prenait possession des lieux et marquait son inexorable avancée, l'autre se promettait de réarmer et réorganiser les rangs des milices. Or cette fois-ci, l'armée syrienne a plus d'emprise sur la situation générale. Elle permet aux politique de ne pas chercher un compromis. Puis d'abord, comment laisser filer les miliciens qui n'ont nulle part où aller ?
Fatale pour qui ?
d'abord le projet séditieux et putschiste ! puis l'intervention étrangère en générale ! ensuite ces chiens galeux d'islamistes qui vont être maintenant définitivement lâchés car les perdants ont toujours tort !
Un mot sur les pays du maghreb ?
un mot c'est à la fois trop et pas assez ! qui ne se souvient de Benkirane rompant les relations diplomatiques de sa majetski avec Damas. Il s'en était suivi une bronca de l'ambassadeur de Syrie au CS ! Le Maroc finit par revenir à de bons sentiments ! il dénonce l'attaque ux missiles contre la Syrie ! Et la Tunisie ? elle n'a pas été fidèle à elle même ! jadis neutre et bienveillante, la Tunisie du sommeil de Ennahda a aussi promptement rompu ses relations diplomatiques avec Assad. Depuis, silence radio ! il est vrai que le FMI est passé par là !
une coalition de 3 mastodontes pour lancer 100 missiles sans avoir l'aval de l'Onu ! résultat : aucune victime, quelques dégâts matériels.
D'abord, qui sont les agresseurs ?
les 3 pays qui ont envoyé des agents sur place depuis des années. ces agents ont servi de cadres à l'organisation du putsch contre Assad. ils ont organisé la guérilla islamiste, infiltré les rangs ennemis, réceptionné les convois d'armes (Officiellement, la CIA a fait transiter + de 2000 camions d'armements par la Turquie selon Erdogan dans sa conf de presse à Paris).
Qu'y a-t-il de changé sur le terrain ?
les troupes de l'armée régulière syrienne finissent de nettoyer les poches de rébellion islamiste. La dernière en date est la Ghouta, banlieue de Damas. Particulièrement la Douma où les intérêts occidentaux semblent directement malmenés. Bizarrement, c'est un Assad victorieux qui devient subitement trop idiot pour lancer des gaz sur sa propre population ! Et patatras, une affaire dont le scénario est bouclé en une semaine !
Y a-t-il eu un précédent d'une attaque éclair ?
of course, une semaine avant, quelques missiles ont détruit un immeuble en Syrie. Le lendemain, on apprend qu'il s'agit d'une attaque israélienne. L'autorisation donnée à Israel découle sans doute du fait que ce pays ne peut être associé à une coalition internationale sans ternir l'image de cette dernière.
Le rôle de la Russie?
contrairement à ce qui se dit de façon assez binaire ici, la Russie a consolidé ses positions en Syrie au grand dam des occidentaux. Mais la Russie qui joue sa propre partition négocie dur. La Realpolitik et le pragmatisme de Poutine lui permettent de tout envisager en Syrie, pourvu que Damas reste sous son influence. Ainsi, derrière les gesticulations, la Russie accorde l'autorisation aux occidentaux de détruire des locaux cibles préalablement vidés dont aucune carte topographique n'a été fournis par les médias occidentaux, syriens ou russes. une preuve que les tergiversations de pentagone étaient destinées à gagner du temps en attendant un accord tripartite commun des cibles de cette mauvaise pièce de théâtre de dupes.
Et maintenant que vais-je faire ?
attendre ou agir ? tel est le dilemme ! il est clair que Assad va capitaliser sur son rôle de victime dont le pays fut agressé avec une logique absconse que les occidentaux ne comprennent pas ! la Russie se retrouve conforté dans son investissement régional ! les occidentaux eux ont effacé leur présence en Syrie. Maintenant commence pour eux le long chemin de la rédemption ! les affreux ! ils auraient aimé que la prise de la Ghouta s'accompagna d'un succès de la négociation sur l'évacuation de leurs milices locales ! malheureusement ce qui fut fait à Idlib avec les fameuses colonnes de cars verts (islamistes) flambant neufs n'était plus possible !
Pourquoi cette issue fatale ?
A Idlib, la négociation permettait d'évacuer les miliciens désarmés vers une autre destination. Les eux parties étaient gagnantes. L'une prenait possession des lieux et marquait son inexorable avancée, l'autre se promettait de réarmer et réorganiser les rangs des milices. Or cette fois-ci, l'armée syrienne a plus d'emprise sur la situation générale. Elle permet aux politique de ne pas chercher un compromis. Puis d'abord, comment laisser filer les miliciens qui n'ont nulle part où aller ?
Fatale pour qui ?
d'abord le projet séditieux et putschiste ! puis l'intervention étrangère en générale ! ensuite ces chiens galeux d'islamistes qui vont être maintenant définitivement lâchés car les perdants ont toujours tort !
Un mot sur les pays du maghreb ?
un mot c'est à la fois trop et pas assez ! qui ne se souvient de Benkirane rompant les relations diplomatiques de sa majetski avec Damas. Il s'en était suivi une bronca de l'ambassadeur de Syrie au CS ! Le Maroc finit par revenir à de bons sentiments ! il dénonce l'attaque ux missiles contre la Syrie ! Et la Tunisie ? elle n'a pas été fidèle à elle même ! jadis neutre et bienveillante, la Tunisie du sommeil de Ennahda a aussi promptement rompu ses relations diplomatiques avec Assad. Depuis, silence radio ! il est vrai que le FMI est passé par là !
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