« Je suis habitué à ces tentatives », a déclaré quelques heures plus tard le chef de l’État à la presse. Un objet « a explosé à quelques centimètres de moi, mais ce n’était pas mon heure », a-t-il ajouté.
- Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, a échappé samedi à un probable attentat à la bombe qui a visé une réunion électorale à laquelle il participait à Bulawayo (sud) et fait plusieurs blessés, dont au moins un des deux vice-présidents du pays.
« Le président a été évacué avec succès. Il se trouve au siège de la province à Bulawayo », a déclaré au téléphone à l’AFP son porte-parole, George Charamba.
« Je suis habitué à ces tentatives », a déclaré quelques heures plus tard le chef de l’État à la presse. Un objet « a explosé à quelques centimètres de moi, mais ce n’était pas mon heure », a-t-il ajouté.
À un mois des élections générales, Emmerson Mnangagwa, candidat à la présidentielle sous les couleurs du parti au pouvoir, la Zanu-PF, a immédiatement condamné la violence et appelé ses compatriotes au calme. Un objet « a explosé à quelques centimètres de moi, mais ce n’était pas mon heure », a-t-il ajouté.
À un mois des élections générales, Emmerson Mnangagwa, candidat à la présidentielle sous les couleurs du parti au pouvoir, la Zanu-PF, a immédiatement condamné la violence et appelé ses compatriotes au calme-.
Jeune Afrique
- Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, a échappé samedi à un probable attentat à la bombe qui a visé une réunion électorale à laquelle il participait à Bulawayo (sud) et fait plusieurs blessés, dont au moins un des deux vice-présidents du pays.
« Le président a été évacué avec succès. Il se trouve au siège de la province à Bulawayo », a déclaré au téléphone à l’AFP son porte-parole, George Charamba.
« Je suis habitué à ces tentatives », a déclaré quelques heures plus tard le chef de l’État à la presse. Un objet « a explosé à quelques centimètres de moi, mais ce n’était pas mon heure », a-t-il ajouté.
À un mois des élections générales, Emmerson Mnangagwa, candidat à la présidentielle sous les couleurs du parti au pouvoir, la Zanu-PF, a immédiatement condamné la violence et appelé ses compatriotes au calme. Un objet « a explosé à quelques centimètres de moi, mais ce n’était pas mon heure », a-t-il ajouté.
À un mois des élections générales, Emmerson Mnangagwa, candidat à la présidentielle sous les couleurs du parti au pouvoir, la Zanu-PF, a immédiatement condamné la violence et appelé ses compatriotes au calme-.
Jeune Afrique