Rien de surprenant dans a position de la dictature marocaine. Effet, on voit comment ladite dictature pourrait défendre une cause analogue à celle du Sahara Occidental ainsi qu'heurter son sosie israélien.
- Le «Deal du siècle» et les «révélations» de la chaîne israélienne 13 ont volé la vedette à la présentation des projets de loi 37.17 et 38.18 devant les membres de la Commission des Affaires étrangères à la Chambre des conseillers, faite mardi matin par Nasser Bourita.
Les parlementaires du PJD et de son bras syndical (Union Nationale du Travail au Maroc) se sont focalisés sur la position de Rabat vis-à-vis du plan de paix au Moyen Orient présenté le 28 janvier par le président des Etats-Unis Donald Trump.
Les élus islamistes, qui n’ont pas partagé les déclarations du chef de diplomatie sur le «Deal du siècle», ont qualifié la question palestinienne de «première cause du royaume», comme le rapporte des médias.
Dans sa réponse, le ministre des Affaires étrangères a martelé que «le Sahara reste la première cause du Maroc et non la Palestine». Et de les inviter à «ne pas être plus palestiniens que les Palestiniens eux-mêmes». Une manière indirecte de leur rappeler que les Palestiniens avaient signé les accords d’Oslo avec les Israéliens en septembre 2013 et qu'ils continuent leur coordination sécuritaire avec les autorités de Tel-Aviv.-
- Le «Deal du siècle» et les «révélations» de la chaîne israélienne 13 ont volé la vedette à la présentation des projets de loi 37.17 et 38.18 devant les membres de la Commission des Affaires étrangères à la Chambre des conseillers, faite mardi matin par Nasser Bourita.
Les parlementaires du PJD et de son bras syndical (Union Nationale du Travail au Maroc) se sont focalisés sur la position de Rabat vis-à-vis du plan de paix au Moyen Orient présenté le 28 janvier par le président des Etats-Unis Donald Trump.
Les élus islamistes, qui n’ont pas partagé les déclarations du chef de diplomatie sur le «Deal du siècle», ont qualifié la question palestinienne de «première cause du royaume», comme le rapporte des médias.
Dans sa réponse, le ministre des Affaires étrangères a martelé que «le Sahara reste la première cause du Maroc et non la Palestine». Et de les inviter à «ne pas être plus palestiniens que les Palestiniens eux-mêmes». Une manière indirecte de leur rappeler que les Palestiniens avaient signé les accords d’Oslo avec les Israéliens en septembre 2013 et qu'ils continuent leur coordination sécuritaire avec les autorités de Tel-Aviv.-
Commentaire