David Schenker, le sous-secrétaire d’Etat adjoint américain en charge des questions du Proche-Orient, a entamé une visite officielle à Alger depuis hier mercredi 6 janvier. Et à cette occasion, il a animé aujourd’hui jeudi 7 janvier une conférence de presse au sein des locaux de l’ambassade des Etats-Unis à Alger au cours de laquelle il a répondu volontiers aux questions de la presse algérienne. Et dans ses réponses, ce haut responsable de l’administration Trump n’pas hésité à s’exprimer ouvertement sur la question du Sahara Occidental qui paralyse encore la construction du Maghreb à cause d’un conflit qui dure depuis 1975 et opposant le Maroc au front Polisario.
“Les États-Unis ont toujours cru et ont continué à croire que seules les négociations politiques sont capables de résoudre les problèmes entre le Maroc et le Polisario et que ces négociations doivent avoir lieu dans le cadre du plan d’autonomie”, a souligné d’emblée David Schenker qui balaie d’un revers de main les revendications indépendantistes prônées par le Front Polisario soutenu activement par l’Algérie.
Depuis Alger, David Schenker a soutenu également que l’administration Trump “a fait un pas vers une solution plus sérieuse, plus réaliste et plus crédible au conflit au Sahara Occidental”. David Schenker a défendu donc ardemment la reconnaissance américaine de la souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental.
D’après le même haut responsable américain, la solution au conflit du Sahara Occidental “nécessite des approches audacieuses, créatives et peu orthodoxes du problème” et “c’est ce que l’administration américaine a fait”, assure le sous-secrétaire d’Etat adjoint américain en charge des questions du Proche-Orient.
Soulignons enfin que David Schenker est un expert sur la Syrie, le Liban, le Hezbollah, la Jordanie et le terrorisme islamique, est un ancien conseiller de Donald Rumsfeld, alors qu’il était secrétaire à la Défense de George W. Bush avait occupé de hautes fonctions au Pentagone. Avant sa nomination au Département d’Etat, le deuxième non-diplomate de carrière désigné par Trump, il était jusque-là directeur de programme au Washington Institute for Near East Policy, un think tank pro-Israel, indique une source à Washington DC, a été confirmé le 14 juin dernier dans ses fonctions par un vote de 83-11 au Sénat américain. Le nouveau poste de M. Schenker au département d’État est vacant depuis l’entrée en fonction de M. Trump. Sa nomination intervient alors que Donald Trump cherche à obtenir un soutien des chefs d’Etat arabes pour l’accord du siècle de l’administration pour résoudre le conflit israélo-palestinien.
Selon sa biographie officielle publiée par le Département d’Etat, David Schenker “avait occupé de 2002 à 2006 le poste de directeur de pays du Levant au Bureau du Secrétaire à la Défense. À ce titre, il était chargé de conseiller le secrétaire et d’autres hauts responsables du Pentagone sur les affaires militaires et politiques de la Syrie, du Liban, de la Jordanie, d’Israël et des territoires palestiniens. Il a reçu la Médaille du Secrétaire à la Défense pour service civil exceptionnel en 2005. Avant de rejoindre le gouvernement en 2002, M. Schenker était chercheur au Washington Institute et coordinateur de grands projets financés par l’USAID en Egypte et en Jordanie. M. Schenker a étudié à l’Université du Vermont, à l’Université du Michigan et à l’American University au Caire”.
ALG. Part Plus
“Les États-Unis ont toujours cru et ont continué à croire que seules les négociations politiques sont capables de résoudre les problèmes entre le Maroc et le Polisario et que ces négociations doivent avoir lieu dans le cadre du plan d’autonomie”, a souligné d’emblée David Schenker qui balaie d’un revers de main les revendications indépendantistes prônées par le Front Polisario soutenu activement par l’Algérie.
Depuis Alger, David Schenker a soutenu également que l’administration Trump “a fait un pas vers une solution plus sérieuse, plus réaliste et plus crédible au conflit au Sahara Occidental”. David Schenker a défendu donc ardemment la reconnaissance américaine de la souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental.
D’après le même haut responsable américain, la solution au conflit du Sahara Occidental “nécessite des approches audacieuses, créatives et peu orthodoxes du problème” et “c’est ce que l’administration américaine a fait”, assure le sous-secrétaire d’Etat adjoint américain en charge des questions du Proche-Orient.
Soulignons enfin que David Schenker est un expert sur la Syrie, le Liban, le Hezbollah, la Jordanie et le terrorisme islamique, est un ancien conseiller de Donald Rumsfeld, alors qu’il était secrétaire à la Défense de George W. Bush avait occupé de hautes fonctions au Pentagone. Avant sa nomination au Département d’Etat, le deuxième non-diplomate de carrière désigné par Trump, il était jusque-là directeur de programme au Washington Institute for Near East Policy, un think tank pro-Israel, indique une source à Washington DC, a été confirmé le 14 juin dernier dans ses fonctions par un vote de 83-11 au Sénat américain. Le nouveau poste de M. Schenker au département d’État est vacant depuis l’entrée en fonction de M. Trump. Sa nomination intervient alors que Donald Trump cherche à obtenir un soutien des chefs d’Etat arabes pour l’accord du siècle de l’administration pour résoudre le conflit israélo-palestinien.
Selon sa biographie officielle publiée par le Département d’Etat, David Schenker “avait occupé de 2002 à 2006 le poste de directeur de pays du Levant au Bureau du Secrétaire à la Défense. À ce titre, il était chargé de conseiller le secrétaire et d’autres hauts responsables du Pentagone sur les affaires militaires et politiques de la Syrie, du Liban, de la Jordanie, d’Israël et des territoires palestiniens. Il a reçu la Médaille du Secrétaire à la Défense pour service civil exceptionnel en 2005. Avant de rejoindre le gouvernement en 2002, M. Schenker était chercheur au Washington Institute et coordinateur de grands projets financés par l’USAID en Egypte et en Jordanie. M. Schenker a étudié à l’Université du Vermont, à l’Université du Michigan et à l’American University au Caire”.
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