Bonsoir
Berlin - La Russie doit libérer un bateau de pêche japonais arraisonné en juin au large de ses côtes, ainsi que les 17 marins japonais à son bord, contre le versement d'une caution d'environ 285 000 euros.
Ainsi en a décidé lundi le tribunal international du droit de la mer.
Le Japon avait déposé plainte le 6 juillet devant le tribunal, présidé par l'Allemand Rüdiger Wolfrum (la cour est basée à Hambourg), pour récupérer le chalutier «Hoshin Maru No. 88». Le navire avait été saisi au large de la péninsule russe du Kamtchatka (Extrême-Orient russe) le 1er juin, sur des soupçons de braconnage.
Le 9 juillet, la Russie avait déclaré être prête à «libérer sous caution» le bateau de pêche, déplorant toutefois que le Japon ait fait appel au tribunal international du droit de la mer. La partie russe, qui a obtenu une contrepartie de 10 millions de roubles (près de 285 000 euros, 470 000 francs) avait réclamé 22 millions de roubles (1,03 million de francs).
Les incidents sont très fréquents entre pêcheurs japonais et garde-côtes russes.
SDA/ATS
Berlin - La Russie doit libérer un bateau de pêche japonais arraisonné en juin au large de ses côtes, ainsi que les 17 marins japonais à son bord, contre le versement d'une caution d'environ 285 000 euros.
Ainsi en a décidé lundi le tribunal international du droit de la mer.
Le Japon avait déposé plainte le 6 juillet devant le tribunal, présidé par l'Allemand Rüdiger Wolfrum (la cour est basée à Hambourg), pour récupérer le chalutier «Hoshin Maru No. 88». Le navire avait été saisi au large de la péninsule russe du Kamtchatka (Extrême-Orient russe) le 1er juin, sur des soupçons de braconnage.
Le 9 juillet, la Russie avait déclaré être prête à «libérer sous caution» le bateau de pêche, déplorant toutefois que le Japon ait fait appel au tribunal international du droit de la mer. La partie russe, qui a obtenu une contrepartie de 10 millions de roubles (près de 285 000 euros, 470 000 francs) avait réclamé 22 millions de roubles (1,03 million de francs).
Les incidents sont très fréquents entre pêcheurs japonais et garde-côtes russes.
SDA/ATS