Selon une source bien informée, la nouvelle Moudawana (ou Code civil marocain), entrée en vigueur en 2004, a manqué ses objectifs ; à savoir l'incitation au mariage en diminuant le nombre de divorces et de naissances hors conjugales.
Selon notre source, excepté les deux premières années qui ont suivi la mise en application en 2004 de la nouvelle Moudawana qui donne plus de droits à la femme, les années 2006 et 2007 ont enregistrée un revirement spectaculaire de tendance. Le nombre de divorces a carrément explosé et celui des nouveaux-nés abandonnés a presque doublé (un orphelinat de Casablanca étant arrivé à saturation avec jusqu'à 3 bébés abandonnés par jour !). Et cerise sur le gâteau : les jeunes hommes sont de plus en plus réticents à se marier, se contentant de l'union libre officieuse et forcée ; du fait que le nouveau Code octroie plus de droits à la conjointe qui peut ainsi réclamer la moitié des biens du conjoint en cas de séparation. Bref : les tribunaux de famille instaurés par ledit texte de loi, qui s'inspire de la charia islamique, sont débordés de plaintes aboutissant le plus fréquemment à des divorces irréversibles.
Notre source explique les chiffres encourageants enregistrés en 2004, 2005 et 2006 par l'embellie qui a suivi le mariage du Roi Mohammed VI en 2002 : nombre de jeunes ont voulu imiter le Souverain très bien aimé de ses sujets.
Rappelons que la Moudawana est entrée en vigueur après à un vote parlementaire qui a suivi une série de séances marathoniennes où elle a été amendée.
K.B.
Sources.e-marrackech.info
Selon notre source, excepté les deux premières années qui ont suivi la mise en application en 2004 de la nouvelle Moudawana qui donne plus de droits à la femme, les années 2006 et 2007 ont enregistrée un revirement spectaculaire de tendance. Le nombre de divorces a carrément explosé et celui des nouveaux-nés abandonnés a presque doublé (un orphelinat de Casablanca étant arrivé à saturation avec jusqu'à 3 bébés abandonnés par jour !). Et cerise sur le gâteau : les jeunes hommes sont de plus en plus réticents à se marier, se contentant de l'union libre officieuse et forcée ; du fait que le nouveau Code octroie plus de droits à la conjointe qui peut ainsi réclamer la moitié des biens du conjoint en cas de séparation. Bref : les tribunaux de famille instaurés par ledit texte de loi, qui s'inspire de la charia islamique, sont débordés de plaintes aboutissant le plus fréquemment à des divorces irréversibles.
Notre source explique les chiffres encourageants enregistrés en 2004, 2005 et 2006 par l'embellie qui a suivi le mariage du Roi Mohammed VI en 2002 : nombre de jeunes ont voulu imiter le Souverain très bien aimé de ses sujets.
Rappelons que la Moudawana est entrée en vigueur après à un vote parlementaire qui a suivi une série de séances marathoniennes où elle a été amendée.
K.B.
Sources.e-marrackech.info
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