Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Bruxelles sera bientôt à majorité musulmane et noire

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Bruxelles sera bientôt à majorité musulmane et noire

    le taux de natatlite expolse a bruxelles.a bruxelles un bebe sur deux est qui est d orgine etrangere.
    de plus une personne sur 4 est d origine marocaine
    .


    A Bruxelles, un tiers de la population est en âge d’avoir des enfants. Du coup, notre région enregistre le taux de natalité le plus élevé du pays, soit 15,9 %. Mais des différences subsistent en matière de mortalité infantile. A la demande des ministres bruxellois de la Santé, Guy Vanhengel (Open/VLD) et Benoît Cerexhe (CDH), l’Observatoire de la santé et du social vient de rendre publique sa dernière étude sur les indicateurs de santé périnatale.

    Premier constat, la natalité bruxelloise n’a cessé d’augmenter depuis les années 80. En 2004, 16.288 naissances ont été enregistrées. Mais le nombre réel de petits Bruxellois doit encore être augmenté car 6 % des naissances ne sont pas comptabilisées. Il s’agit surtout des femmes sans papiers ou dont la régularisation est en cours. Et comme pressenti, les bébés vivent surtout dans les quartiers défavorisés de la capitale.

    Deuxième constat : le taux de mortalité néonatale est relativement bas. Durant le premier mois après l’accouchement, seuls 3,1 nourrissons sur 1.000 décéderont. « Ce chiffre est dû à la très bonne qualité des soins périnataux en Région bruxelloise », explique Benoît Cerexhe. Par contre, pour la mortalité infantile (décès avant l’âge de un an), la Région est moins bien placée. Elle enregistre un taux de 4,4 décès pour 1.000 enfants. Il peut être expliqué par un nombre croissant des prématurés et des grossesses multiples. Le nombre de mères de plus de 35 ans voire de 40 ans n’a également cessé d’augmenter.

    La nationalité joue
    A Bruxelles, un enfant sur deux a une maman qui n’a pas la nationalité belge. L’étude démontre que la nationalité des mères est un des facteurs de risque dans la mortalité infantile. Les femmes venant d’Afrique subsaharienne courent plus de risque de mettre au monde un enfant prématuré qu’une Belge. Cela serait notamment dû au passage à une alimentation plus riche, cause de diabète. La mortalité infantile est aussi plus élevée pour les enfants nés d’une mère marocaine ou turque. Les conditions sociales sont, cette fois, mises en avant par l’étude.

    Quelle que soit la nationalité, si l’enfant naît dans une famille sans revenu, il court un risque trois fois plus élevé de décéder avant son premier anniversaire. Or, 30 % viennent au monde dans un ménage sans salaire.

    Pour améliorer les politiques en matière de santé, les ministres ont décidé de créer un centre d’épidémiologie périnatale à Bruxelles. Il recueillera les informations relatives à la santé des mamans et des enfants.
Chargement...
X