L'utilisation de l’informatique et de l’internet est en train de ce développer de manière vertigineuse au Maroc, cependant le problème du piratage est en train de connaitre le même sore, ce dernier est un problème aux multiples figures, c'est surtout le téléchargement sur Internet qui s'impose comme la forme dominante de piratage,
au Maroc c'est particulièrement la vente à l'étalage qui s'affiche un peu partout, Derb Ghallef à Casablanca ou encore Casabarata à Tanger.
On aperçoit cette vente pourtant illégal aux quatre coins des rues, des centaines de commerçants à la sauvette dans tous le royaume (DVD, CD,DVX…) on trouve de tout, pour certains artistes musiciens, réalisateurs et producteurs c'en est trop, c'est transformé en un véritable fléau, certains se sont d'ailleurs associés pour faire face a ce défit en travaillant de concert avec les pouvoirs publiques à une alternative afin de trouver une solution à cette économie souterraine de la culture qui mine certains secteurs, de cette union est née l'association marocaine contre le piratage audiovisuel.
Pourtant cette nouvelle scène fleurissante a su s'adapter, en fait une grande partie de ces artistes a grandi avec le piratage, le téléchargement, c'est le cas de plusieurs groupes phares au Maroc. Au bureau marocain de droits d'auteurs on ne croit pas à cette nouvelle économie alternative de la création qui prend acte du piratage.
Sachez que malgré les effort de quelque organe du gouvernemant, le Maroc reste un des pays où le taux de piratage est le plus élevé dans le monde.
D'aprés l'article de: 20 minutes
http://www.tunisieaffaire.com/index....327&Itemid=157
au Maroc c'est particulièrement la vente à l'étalage qui s'affiche un peu partout, Derb Ghallef à Casablanca ou encore Casabarata à Tanger.
On aperçoit cette vente pourtant illégal aux quatre coins des rues, des centaines de commerçants à la sauvette dans tous le royaume (DVD, CD,DVX…) on trouve de tout, pour certains artistes musiciens, réalisateurs et producteurs c'en est trop, c'est transformé en un véritable fléau, certains se sont d'ailleurs associés pour faire face a ce défit en travaillant de concert avec les pouvoirs publiques à une alternative afin de trouver une solution à cette économie souterraine de la culture qui mine certains secteurs, de cette union est née l'association marocaine contre le piratage audiovisuel.
Pourtant cette nouvelle scène fleurissante a su s'adapter, en fait une grande partie de ces artistes a grandi avec le piratage, le téléchargement, c'est le cas de plusieurs groupes phares au Maroc. Au bureau marocain de droits d'auteurs on ne croit pas à cette nouvelle économie alternative de la création qui prend acte du piratage.
Sachez que malgré les effort de quelque organe du gouvernemant, le Maroc reste un des pays où le taux de piratage est le plus élevé dans le monde.
D'aprés l'article de: 20 minutes
http://www.tunisieaffaire.com/index....327&Itemid=157
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