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La justice espagnole a rejeté les plaintes de Rabat contre Ali Lmrabet

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  • #31
    L’affaire Abdelhaï Beliardouh
    L’année 2002 a été marquée par l’agression dont a été victime Abdelhaï Beliardouh (voir photo), correspondant d’El Watan à Tébessa "où les barons de l’import-import (6), de la contrebande et du terrorisme ont pignon sur rue." (7) Le 20 juillet, Saâd Garboussi, président de la Chambre de commerce et d’industrie des Nememchas (wilayas de Tébessa et de Souk Ahras), se présente, avec trois fonctionnaires de la Chambre de commerce, dont un est armé, au domicile d’Abdelhaï Beliardouh. Le journaliste est roué de coups devant sa famille avant d’être traîné, par le col de sa chemise, dans les rues de la ville jusqu’à la place du 1er Novembre. Il est alors de nouveau violenté et insulté. Selon El Watan du 21 juillet, ni la police ni la gendarmerie ne sont intervenues pour porter secours au journaliste. Il est ensuite conduit, en voiture, dans la cave de la villa de Saâd Garboussi où il est interrogé sur la source d’une information, parue le jour même, dans le quotidien francophone. Il est relâché quelques heures plus tard.
    Cette agression fait suite à la parution, dans l’édition du 20 juillet d’El Watan, d’un article intitulé "Arrestation du président de la Chambre". Abdelhaï Beliardouh écrivait notamment que Saâd Garboussi "aurait été cité par un repenti comme étant un pourvoyeur de fonds pour le terrorisme" et "aurait participé au blanchiment des fonds du GIA, fruits du crime et du racket qui ont endeuillé les régions de Médéa et de Jijel". Peu avant l’agression, Saâd Garboussi avait appelé Fayçal Métaoui, rédacteur en chef du quotidien, pour lui demander d’inclure, dans l’édition du lendemain, une mise au point. Quand Fayçal Métaoui lui a expliqué que cela ne serait pas possible avant l’édition du lundi, le président de la Chambre de commerce et d’industrie a lancé : "Vous allez voir, je vais lui en faire voir de toutes les couleurs." Le 21 juillet, la rédaction d’El Watan a déposé plainte auprès du procureur de la République de Tebessa pour "séquestration et intimidation". De son côté, le président de la Chambre de commerce a démenti l’agression. Après quatre heures d’audition chez le procureur et douze heures d’audition devant un juge d’instruction, Saâd Garboussi a été mis en liberté provisoire. Des huit personnes qui devaient témoigner en faveur du journaliste, trois seulement se sont présentées devant le juge d’instruction.
    Le 23 juillet, dans un communiqué, l’association des correspondants de presse de la wilaya de Tébessa a souligné que "Saâd Garboussi a préféré appliquer sa propre loi et sa justice ainsi que la logique de la force, sans donner le moindre crédit à l’Etat, comme si cet individu était convaincu qu’il n’y a pas d’Etat dans la wilaya de Tébessa." L’association a également envoyé une lettre au wali de Tébessa sollicitant l’autorisation de porter des armes : "Nous considérons que nos vies ainsi que celles de nos familles sont en danger, et il ne nous reste aucune autre solution que celle de compter sur nous-mêmes pour défendre notre honneur et notre droit à la vie". Pour Salima Tlemçani, journaliste à El Watan, il est nécessaire d’armer rapidement les journalistes et correspondants "dont la vie se décide désormais chez les barons de la contrebande et les terroristes". Le 19 octobre, Abdelhaï Beliardouh a tenté de se suicider en avalant de l’acide pur. Il a été transporté d’urgence dans un hôpital d’Alger. Le journaliste est décédé dans la nuit du 19 au 20 novembre. L’acide avait provoqué de graves lésions internes, notamment à l’œsophage et à l’estomac

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    • #32
      Envoyé par chicha51
      La liberté de la presse victime de l’Etat de non-droit
      Mais résultat, aucun journaliste dans les prisons algériennes, une prouesse jamais innégalée dans ton royaume enchanté !

      Alors au lieu de détourner le sujet en t'appliquant à chercher les poux sur la tete d'un chauve, éssaie au moins de dénoncer les pratiques scandaleuses de la répression contre la presse que fait subir le jeune despote qui régne sur Rabat.

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      • #33
        Certains journalistes rencontrés par Reporters sans frontières vont jusqu’à mettre en cause la mafia du foncier dans l’assassinat d’un journaliste survenu il y a quelques années. Le 3 septembre 1995, le correspondant du quotidien algérois Le Matin à Tizi-Ouzou, Saïd Tazrout, est assassiné. Selon des témoins, les assassins seraient arrivés à bord d’un taxi. Atteint d’une ou plusieurs balles à la jambe, Saïd Tazrout est tombé à terre puis a été achevé de deux balles dans la tête. Le journaliste avait, une semaine avant sa mort, fait paraître un dossier sur une affaire foncière. Son article concluait : "Dans le prochain numéro, nous vous donnerons des noms." Selon un confrère, certaines personnes impliquées dans "ce lobby" seraient les commanditaires du meurtre. "Le journaliste a été tué à 400 mètres de la gendarmerie. Il avait sur lui deux armes. Depuis ce jour, personne n’a osé écrire sur cette mafia du foncier à Tizi-Ouzou", a-t-il expliqué à Reporters sans frontières. Pour un autre journaliste de Tizi-Ouzou, Saïd Tazrout "avait touché aux intérêts de groupes extrêmement puissants". Un troisième journaliste a précisé à Reporters sans frontières qu’en 1998, suite à un article sur la "mafia du foncier" dans la région, un individu était venu à son bureau et l’avait menacé. "Me souvenant du journaliste assassiné en 1995, lorsque ma direction m’a demandé, plus tard, de retravailler sur ce sujet, j’ai refusé. J’avais trop peur." A l’époque, la presse avait rapporté que Saïd Tazrout avait été tué par des groupes armés islamistes.
        "Le journalisme d’investigation est quasiment impossible", s’accordent à dire les journalistes. Tout particulièrement dans le domaine économique. "C’est un système souvent très opaque où l’on ne peut identifier les responsables", confie Abrous Outoudert, directeur de publication de Liberté. "Et si vous commencez à faire du journalisme d’investigation, gare aux accidents de voiture...", lâche-t-il.
        2. Les émeutes en Kabylie : les journalistes pris entre deux feux
        Le 18 avril 2001, Guermah Massinissa, un jeune lycéen, est tué par balles dans une gendarmerie de Beni Douala (localité située à quelques kilomètres de Tizi-Ouzou). Pour les Kabyles, cette mort est "la goutte d’eau qui fait déborder le vase". Des émeutes éclatent alors dans toute la Kabylie. Les manifestants constituent ce que l’on appelle le "mouvement citoyen", qui va être rapidement pris en main par les "Aârchs" (8). Ces émeutes, réprimées violemment par les forces de l’ordre, ont fait plus de cent vingt morts et plus de mille blessés. La Coordination des Aârchs, Daïras et Communes (C.A.D.C.) a appelé au boycott des élections de mai et d’octobre 2002. (9)

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        • #34
          Trop long comme article et comme mefaits contre les journalistes sous l'ere Bouteflika

          ci apres lien.

          http://www.rsf.org/article.php3?id_article=4367

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          • #35
            Bravo pour tes éfforts Chicha, mais tu détournes encore une fois le sujet, car ici on parle de l'état policier et la terreur que subit la presse au Maroc sous le régne de ta majesté.

            Donc ça suffit la dérobade et merci de revenir au sujet initial maintenant

            Commentaire


            • #36
              Mais résultat, aucun journaliste dans les prisons algériennes, une prouesse jamais innégalée dans ton royaume enchanté !

              Alors au lieu de détourner le sujet en t'appliquant à chercher les poux sur la tete d'un chauve, éssaie au moins de dénoncer les pratiques scandaleuses de la répression contre la presse que fait subir le jeune despote qui régne sur Rabat.


              Mendz

              .......................................

              Je n'ai jamais dit que le Maroc etait un modèle de democratie sinon prouve le.

              Je réagis uniquement à mister Jawzia qui poste un article sur le Maroc en oubliant de parler des contraintes que subissent les journalistes en Algerie.

              Je lui rafraîchit seulement la mémoire avec le rapport de reporter sans frontiere.

              Il n'y a , peut etre, pas de journalistes en prison en Algerie ( ca reste à vérifier) car ils se tiennent à carreau depuis que Boutef et ses patrons ont donné des exemples avec Benchicou et les fameux bons de caisse .Car quant on veut tuer son chien , on l'accuse de rage dit l'adage.

              Avant Boutef , la presse en Algerie avait une liberté de ton qui frisait meme l'anarchie .

              Depuis que ce pur produit du parti unique a pris les rênes du pouvoir c'est carrement le silence sauf pour parler des scandales qui concernent des sous fifres.

              Commentaire


              • #37
                Bravo pour tes éfforts Chicha, mais tu détournes encore une fois le sujet, car ici on parle de l'état policier et la terreur que subit la presse au Maroc sous le régne de ta majesté.

                Donc ça suffit la dérobade et merci de revenir au sujet initial maintenant


                MENDZ

                ..........................................

                Pourquoi tu parles de derobade ? On est meme dans le vif du sujet .

                Comme l'Algerie est autant un etat policier que le Maroc , pourquoi ne pas faire d'une pierre deux coup en analysant les deux cas.

                A moins que tu ne crois vivre en Suede. Là ca serait grave.

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                • #38
                  Envoyé par chicha51
                  Je réagis uniquement à mister Jawzia qui poste un article sur le Maroc en oubliant de parler des contraintes que subissent les journalistes en Algerie.
                  Et bien il l'a posté à son juste endroit dans la rubrique internationale donc il a toutes les raisons de le poster mais toi tu n'a pas toutes les raisons de détourner le sujet en parlant d'Algérie.

                  Envoyé par chicha51
                  Il n'y a , peut etre, pas de journalistes en prison en Algerie ( ca reste à vérifier) car ils se tiennent à carreau depuis que Boutef et ses patrons ont donné des exemples avec Benchicou et les fameux bons de caisse .Car quant on veut tuer son chien , on l'accuse de rage dit l'adage.

                  Avant Boutef , la presse en Algerie avait une liberté de ton qui frisait meme l'anarchie .

                  Depuis que ce pur produit du parti unique a pris les rênes du pouvoir c'est carrement le silence sauf pour parler des scandales qui concernent des sous fifres.
                  Mais oui viens vérifier Chicha peut etre tu sera mieux qu'RSF et tu trouvera un qui se cache dans une prison

                  Et puis en affirmant que la presse algérienne n'est pas critique envers le pouvoir, là ta crédibilité atteint les abysses !

                  Il faut te mettre à l'évidence que la relation entre l'Etat et les journalistes a bien évolué positivement en Algérie.

                  Et que aujourd'hui nos journalistes se permettent le loisir de librement critiquer et meme d'insulter tous les représentants du pouvoir sans avoir à etre condamnés en prison comme chez certains pays que tu connais bien.


                  Envoyé par chicha51
                  Comme l'Algerie est autant un etat policier que le Maroc , pourquoi ne pas faire d'une pierre deux coup en analysant les deux cas.
                  Ah non, l'Algérie n'emprisonne plus ses journalistes au Maroc c'est monnaie courante !

                  Donc ne mélange pas les torchons et les serviettes stp

                  Et si tu veux etre crédible,alors dénonce nous maintenant la sauvage repression que subit actuellement la presse par le despote de Rabat, comme tu as dénoncé les sois disant pressions que subit la presse algérienne

                  Que Chicha ose et franchisse le Rubicon mais je ne pense pas qu'il a ce courage !

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                  • #39
                    Donc ne mélange pas les torchons et les serviettes stp

                    mendz

                    .......................................


                    C'est ça ! Continue à jouer à l'autruche et à te voiler la face.

                    Les serviettes , c'est plus au "Nord" que tu les trouveras.

                    Il te faudra traverser la méditerranée pour ça.

                    Mais rien ne t'empêche de rêvasser et heureusement qu'on paye pas d'impot pour ça ; sinon tu serais ruiné.

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                    • #40
                      C'est ça ! Continue à jouer à l'autruche et à te voiler la face.
                      malheureusement ya pas u nqui se voile la face plus que toi sur se forum ça maejstik emprisonne des journalistes pour des raisons foireuse aucune indignation de ta part té juste entrain d'essayer de défendre l'indéfendable .

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                      • #41
                        La rubrique International est elle même sous "Actualité, débats et sciences". L'article que Chicha a posté remonte au| 25.11.2002 et émane de RSF. ça ne nous rajeunit pas.

                        Les cas Lmrabet et Mourtada sont d'actualité. Pour le premier, la MAP a été débouté il y a une semaine de cela. Mourtada est à l'heure actuelle au tribunal, où il risque 5 ans de prison pour une plaisanterie.

                        Je réagis uniquement à mister Jawzia qui poste un article sur le Maroc en oubliant de parler des contraintes que subissent les journalistes en Algerie.
                        J'ai rien oublié.

                        Un Topic est sensé traiter d'un fait d'actualité. A moins qu'à chaque sujet concernant le Maoc il faille préparer d'abord une thèse et une synthèse comparative. Ce qui, tu conviens, est ridicule. La rubrique "Algerie actualité" t'es grande ouverte pour traiter du sujet qui te siera, Mister Chicha.

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