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Le «casse-toi, pauvre con» fait fureur sur le web.

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  • Le «casse-toi, pauvre con» fait fureur sur le web.

    Déjà plus de deux millions de spectateurs pour le dérapage de Nicolas Sarkozy au Salon de l'Agriculture. Les détails du « buzz » en chiffres.

    C'est incontestablement le succès viral du moment. La vidéo du chef de l'Etat au Salon de l'Agriculture réalise des scores d'audience importants. La version officielle du Parisien a été vue plus d'un million de fois. Mais si l'on prend en compte les diverses copies, il faut y ajouter 775 000 vues sur Youtube, et environ 100 000 sur Dailymotion. Soit un autre million de spectateurs. Ces multiples copies squattent les classements des vidéos les plus vues ces derniers jours sur internet, et son succès pourrait avec le temps égaler celui de l'intervention d'un Nicolas Sarkozy légèrement troublé après un G8 (20 millions de spectateurs au bas mot).
    Le succès est tel que leparisien.fr a demandé aux deux plateformes d'hébergement de vidéo de retirer ces copies (au bas mot une cinquantaine sur chaque site). Isabelle André, éditrice du site, motive cette décision par la « politique d'édition de vidéos et de protection » de cette exclusivité. leparisien.fr refuse de divulguer le prix de cette vidéo achetée au collectif de journalistes Youpress, mais aurait, selon nos informations, fait une très bonne affaire. Le collectif, qui ne s'attendait pas à un tel retentissement, profite de son côté d'un joli buzz, avec un trafic multiplié par 30 sur son site internet. Et a pu revendre ses images à l'Associated Press, qui les avait refusées en première intention. Entre temps, la facture a plus que doublé pour l'agence…
    Mais le succès de l'épisode du Salon de l'Agriculture ne se limite pas aux vidéos. La courbe de croissance des mots « pauvre con » sur les blogs explosent. Le moteur de recherche Technorati indexe ainsi près de 1000 billets consacrés à l'évènement ces trois derniers jours.
    De même, plusieurs noms de domaines porteurs ont été aussitôt réservés. En vrac : cassetoipauvrecon.fr, cassetoi.fr, casse-toi-pauvre-con.fr ou encore cassestoipauvrecon.com. La radio Europe 1 en a profité pour drainer du trafic vers son site en achetant les mots clés « pauvre con » et « casse-toi » sur la plateforme publicitaire de Google, AdWords.

    «Stupid bastard» ou «bloody asshole» ?
    Sur Facebook, c'est l'esprit potache qui, comme souvent, prédomine. De nombreux « groupes » ont été créés. Parmi eux : je soutiens mon président dans ses «expressions musclées», The «Casse-toi pauvre con !» way of life, J'aurais préféré un «Veuillez déguerpir petit malapris»!! ou NICOLAS : TOUCHE MOI PAS ! La réplique du président a également le potentiel nécessaire pour s'imposer comme une «réponse type» lors de discussions enflammées sur le web...
    Si la presse et le web mondial ont consacré moins de place à l'affaire qu'en France, elle a tout de même un certain retentissement. Chose amusante, anglais, allemands ou italiens se demandent comment traduire correctement « pauvre con » dans leur langue. Les traductions fournies par l'AFP ont évidemment influencé les expressions utilisées, mais l'on trouve tout de même une variété due au flou sémantique de notre mot d'argot. En anglais, « bloody idiot » le dispute à « you jerk », « poor cretin », « stupid bastard », « sad idiot » ou « stupid asshole ». «Pobre imbecile» a les faveurs des Espagnols, même si « pobre gilipollas » est en bonne place. Les Allemands optent majoritairement pour « du Blödmann ». Le terme est si énigmatique pour les étrangers qu'une discussion a même été ouverte sur Yahoo Answers à ce sujet...

    Laurent Suply.
    Sources: lefigaro.fr.
    La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
    De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
    .
    Merci.
    " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

  • #2
    Déjà plus de deux millions de spectateurs pour le dérapage de Nicolas Sarkozy au Salon de l'Agriculture. Les détails du « buzz » en chiffres.
    Franchement ça restera dans les anales ce genre d'idioties présidentielles.

    En intronisant Sarkozy président on dirais que la France c'est trompée de personne.

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    • #3
      Attention à ne pas s'arrêter aux bricoles. C'est le fond qui compte. Ce type est un impulsif, et une caméra à choppé le truc d'une seconde.

      Bon là c'est un mauvais exemple, le fond de Sarkozy aussi est mauvais, c'est un prédateur bien de son temps, sans trop de principes et un peu simpliste. Mais n'empêche ce n'est pas là dessus qu'on doit juger.

      Je suis beaucoup plus inquiet que les dossiers. Il déconne sur la police (les "résultats"), il déconne sur l'immigration, il déconne sur la laïcité, il déconne sur la Justice, il déconne dernièrement sur la détention perpétuelle, il a fait disparaitre le 1er ministre. Ca fait pas mal.

      Je ne parle pas de ces conneries avec sa nénette, ses copains milliardaires à yacht, d'un certain cynisme.

      Il va bien falloir un jour que les électeurs s'arrêtent sur des choses sérieuses ... Mais comment faire ?

      Un président à l'essai comme en entreprise ?

      Des idées, messieurs dames ?

      Commentaire


      • #4
        pour defendre le president francais qui est indefendable raffarin a dit que c juste un dialogue privè entre deux hommes

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        • #5
          Nicolas Sarkozy à un badaud: «Casse-toi pauvre ***!»
          Sans surprise, la plupart des quotidiens français reviennent ce lundi matin sur les vigoureux propos lancés, samedi, par Nicolas Sarkozy à un visiteur qui refusait de lui serrer la main au salon de l'agriculture.



          Le «casse-toi alors pauvre con» asséné par le chef de l'Etat passe mal. Au point que Libération y consacre même sa Une. Rappelant la «Colère présidentielle», la première page du quotidien présente une caricature de Nicolas Sarkozy littéralement vert de rage, et reprend en toutes lettres la «réplique musclée» du Président. Le journal profite de la perle du salon de l'agriculture pour rappeler les précédents «écarts verbaux d'un Sarkozy qui manque de sang-froid». Déjà, souligne Libération, le Président «à fleur de peau» , «trop souvent à cran», avait «piqué une colère» en novembre dernier avec les marins pêcheurs.

          «Pataquès de Neuilly»


          Parlant carrément de «série noire» de Nicolas Sarkozy, le Parisien replace lui aussi «le nouveau coup dur» qui touche le chef de l'Etat, dont la visite au salon de l'agriculture «a viré à l'injure avec un badaud», dans un contexte plus large, du «pataquès de Neuilly», aux «controverses» sur les conseillers présidentiels et la rétention de sûreté.

          Refusant d'entrer dans la polémique, le Figaro se contente d'évoquer la réponse «sèche» du chef de l'Etat.

          «Evident manque de sang-froid»

          Dans la République des Pyrénées, Jean-Michel Helvig note que les prédécesseurs du Président, eux aussi victimes de «l'insulte publique», ont «su, d'une manière ou une autre, dominer leurs nerfs et opposer l'indifférence souveraine qui sied au chef de l'Etat, plutôt que de céder au rentre-dedans. Nicolas Sarkozy n'est pas de cette trempe».

          Dans Midi libre, la plume de Michel Noblecourt est tout aussi sévère. Le journaliste dénonce «une attitude incompatible avec la dignité qu'on attend d'un président de la République. Et qui dénote, là aussi, un évident manque de sang-froid».

          Faire «l'omelette de la rupture sans casser des oeufs»

          Tout en donnant «raison» au Président sur son jugement face au visiteur récalcitrant, Daniel Ruiz, de La Montagne, souligne que «L'ennui une fois encore, ce sont ces pulsions d'adolescent, ce manque de détachement qui provoque chez Nicolas Sarkozy des réactions ordinaires. Or il n'est pas ordinaire et il est président de la République. Cette propension à vouloir toujours être comme tout le monde est son problème.»

          Le Progrès
          souhaite quant à lui sauver le soldat Sarkozy. Mais à une condition «que notre jeune et fougueux Président apprenne à faire l'omelette de la rupture sans casser des oeufs, sans violenter la Constitution ni offenser les bonnes manières.»


          source: 20minutes.fr

          ===> video: http://www.leparisien.fr/home/info/p...leid=296079605


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          • #6
            Tiens on m'a raconté une anecdote interréssante :

            Chirac était un habitué du salon de l'agriculture aussi..

            Bien évidemment, ces bains de foule sont le moment révé pour tous les provocateurs, quelque soit le président ;;;

            Ainsi, un gars provoque Chirac en lui disant :
            " C O N N ARD !"
            ce à quoi Chirac répond , sans se départir de sa courtoisie
            " enchanté, moi c'est Chirac "



            c'etait pas du tout le même style ! là c'était classe et incisif

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            • #7
              Je me rappelle que durant le débat télévisé entre lui et Royal, il lui avait lancé une grenade quand elle s'est emportée sur j'en sais quel sujet du genre tuer c'est mal.
              Globalement, il lui a répondu que quand on aspire à devenir Présidenté de la république, faut savoir maîtriser ses émotions et garder son calme.
              Hein Sarko, c'est ce que t'as dit ?

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              • #8
                Ainsi, un gars provoque Chirac en lui disant :
                " C O N N ARD !"
                ce à quoi Chirac répond , sans se départir de sa courtoisie
                " enchanté, moi c'est Chirac "


                Toute de suite ca donne plus de classe.
                On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                • #9
                  il finira pas son mandat ce schlinguée

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