"Les hautes autorités algériennes ont évoqué ces dernières semaines, la question de la frontière avec le Maroc relevant à ce sujet que celle ci ne pourrait être réouverte pour l'instant en raison d'obstacles qui seraient liés aux conditions ayant conduit à sa fermeture.
Certaines déclarations évoquent pour leur part, le préalable d'un règlement définitif du différend régional du Sahara marocain. A cet égard, le Royaume du Maroc souhaite apporter les précisions et appréciations suivantes :.
1 - La fermeture de la frontière a été décidée par l'Algérie de manière unilatérale en 1994 dans un contexte international, régional et bilatéral aujourd'hui largement dépassé.
2 - La fermeture de la frontière entre les deux pays frères constitue de nos jours un fait singulier et exceptionnel dans le monde, contraire aux aspirations des peuples du Maghreb, des attentes de ses partenaires et des exigences régionales de paix et de développement.
3 - C'est dans cet esprit que le Royaume du Maroc a pris en 2004 et 2005 de nombreuses initiatives orientées vers l'avenir visant à favoriser la normalisation des relations bilatérales et la relance effective de la construction maghrébine. En particulier, le Royaume du Maroc avait décidé la levée de la procédure des visas à l'endroit des ressortissants algériens frères dix années après son instauration et s'était félicité de la réciprocité appliquée par les autorités algériennes tout en regrettant que depuis lors, la frontière soit restée, quant à elle, fermée.
4 - Le Royaume du Maroc réitère sa volonté d'ouvrir une page nouvelle dans les relations entre les deux pays voisins tenant compte de leur passé commun et de leur destin partagé.
5 - Dans ce cadre, le Royaume du Maroc appelle dans l'amitié fraternelle et la sincérité totale à une normalisation des rapports bilatéraux et à une ouverture de la frontière entre les deux pays.
Ainsi pourrait-on répondre aux aspirations manifestes des deux peuples si proches à divers titres, satisfaire les souhaits des populations frontalières et en particulier les familles concernées et enfin canaliser les flux des marchandises qui font aujourd'hui l'objet de mouvements illicites et de trafics notoires".
Certaines déclarations évoquent pour leur part, le préalable d'un règlement définitif du différend régional du Sahara marocain. A cet égard, le Royaume du Maroc souhaite apporter les précisions et appréciations suivantes :.
1 - La fermeture de la frontière a été décidée par l'Algérie de manière unilatérale en 1994 dans un contexte international, régional et bilatéral aujourd'hui largement dépassé.
2 - La fermeture de la frontière entre les deux pays frères constitue de nos jours un fait singulier et exceptionnel dans le monde, contraire aux aspirations des peuples du Maghreb, des attentes de ses partenaires et des exigences régionales de paix et de développement.
3 - C'est dans cet esprit que le Royaume du Maroc a pris en 2004 et 2005 de nombreuses initiatives orientées vers l'avenir visant à favoriser la normalisation des relations bilatérales et la relance effective de la construction maghrébine. En particulier, le Royaume du Maroc avait décidé la levée de la procédure des visas à l'endroit des ressortissants algériens frères dix années après son instauration et s'était félicité de la réciprocité appliquée par les autorités algériennes tout en regrettant que depuis lors, la frontière soit restée, quant à elle, fermée.
4 - Le Royaume du Maroc réitère sa volonté d'ouvrir une page nouvelle dans les relations entre les deux pays voisins tenant compte de leur passé commun et de leur destin partagé.
5 - Dans ce cadre, le Royaume du Maroc appelle dans l'amitié fraternelle et la sincérité totale à une normalisation des rapports bilatéraux et à une ouverture de la frontière entre les deux pays.
Ainsi pourrait-on répondre aux aspirations manifestes des deux peuples si proches à divers titres, satisfaire les souhaits des populations frontalières et en particulier les familles concernées et enfin canaliser les flux des marchandises qui font aujourd'hui l'objet de mouvements illicites et de trafics notoires".
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