Javier Brings His Big Heart to Algeria
Le fraîchement oscarisé Javier Bardem s’est rendu samedi à Dakhla, dans le sud-Ouest du Maroc, à l’occasion du 5e festival international du film du Sahara.
Dans un camp de réfugiés Sahrawi, que le festival aide, l’acteur espagnol s’est montré très souriant et chaleureux.
Sous un soleil de plomb, le compagnon de l’actrice espagnole Penélope Cruz, a suivi de près la sélection de films mettant à l’honneur cette région aride.



Devant le drapeau de la nation sahraoui.
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Un homme de cœur ce Javier ! Il ne s'agit pas ici de lobbying, de graisser la patte de quelque sénateur américain qui ne doit même pas savoir ou se trouve l'Afrique.
Non il s'agit ici d'humanité, de noblesse de coeur, Javier a pris pitié des souffrances du peuple Sahraoui.
Comme beaucoup d'Espagnols, il regrette que l'Espagne ait quitté le Sahara Occidental dans ces conditions atroces, abandonnant les pauvres sahraouis à la veulerie du gouvernement marocain de l'époque.
Qui aurait pu se douter que aussitôt les Espagnols retirés, les Marocains se précipitent au Sahara, eux qui ne bougent pas un doigt pour Ceuta et Mellila ?
Le fraîchement oscarisé Javier Bardem s’est rendu samedi à Dakhla, dans le sud-Ouest du Maroc, à l’occasion du 5e festival international du film du Sahara.
Dans un camp de réfugiés Sahrawi, que le festival aide, l’acteur espagnol s’est montré très souriant et chaleureux.
Sous un soleil de plomb, le compagnon de l’actrice espagnole Penélope Cruz, a suivi de près la sélection de films mettant à l’honneur cette région aride.

Devant le drapeau de la nation sahraoui.
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Un homme de cœur ce Javier ! Il ne s'agit pas ici de lobbying, de graisser la patte de quelque sénateur américain qui ne doit même pas savoir ou se trouve l'Afrique.
Non il s'agit ici d'humanité, de noblesse de coeur, Javier a pris pitié des souffrances du peuple Sahraoui.
Comme beaucoup d'Espagnols, il regrette que l'Espagne ait quitté le Sahara Occidental dans ces conditions atroces, abandonnant les pauvres sahraouis à la veulerie du gouvernement marocain de l'époque.
Qui aurait pu se douter que aussitôt les Espagnols retirés, les Marocains se précipitent au Sahara, eux qui ne bougent pas un doigt pour Ceuta et Mellila ?
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