À peine quelques heures après une méga déflagration dans l'usine de fabrication de missiles anti-missile Tomer à Gush Dan, située au cœur des territoires occupés, déflagration que les les israéliens ont tenté de mettre sur le compte d'un test raté bien qu'Israël soit totalement dépourvu de missiles capables de provoquer des déflagrations d'une si grande envergure, la première frappe aux missiles balistiques tactiques de la Syrie a eu lieu en plein territoire occupé, et ce sous les yeux impuissants des batteries de missiles antimissiles Patriot en état d'alerte maximal à la fois à Eilat, le port israélien sur la mer Rouge et parfaitement exposés aux capacités balistiques de la Résistance yéménite, mais encore au Néguev qui abrite, comme chacun le sait, le réacteur nucléaire de Dimona.
La puissante explosion, selon des colons qui ont eu le temps de témoigner avant que ne tombe le chape de censure médiatique, a été entendu à Abu Qurainat près de Dimona mais aussi à al-Khalil (Hebron), à Qods occupée (Jérusalem) et à Ramallah et tout ceci sur fond des sirènes d'alertes qui ne cessaient de retenir à Kiryat Ono, Modi'in, Rehovot, Be'er Sheva à Dimona entre autres.
Après avoir tenté de faire croire à une attaque aux roquettes depuis Gaza, l'armée israélienne a été forcé de reconnaître qu'aucun engin n'avait pas été tiré depuis le front Sud et qu'au contraire "l'explosion a eu son origine sur le front Nord, à savoir en provenance de la Syrie".
Dans la foulée, les F-16 israéliens qui depuis fin février et l'entrée en action des unités électroniques de la DCA intégrée Syrie-Résistance plantées sur la frontière syro-sud libanaise avec Israel n'osent plus faire leur apparition dans le ciel du sud-Liban par crainte de voir leurs liens GPS totalement coupés, ont apparu dans le ciel du Golan occupé pour tirer en direction leurs fameux missiles de croisière Delilah en direction de l'aéroport de Damas. Peine perdue: la DCA renforcée de l'armée syrienne par des pièces "iraniennes" (Oghab) qui a fait de royales démonstrations de force en février et en mars en faisant systématiquement échec aux raids israéliens, a fait capoter ce raid à Delilah aussi. les cibles au sud de Damas étaient loin d'être ce que l'entité sioniste croyait, à savoir des sites ayant été à l'origine de l'explosion de Néguev.
L'armée israélienne a annoncé par son porte-patrole Avichay Adraee :
« Suite à l'activation de l'alerte, un missile sol-air a été tiré depuis le territoire syrien vers le territoire israélien et a atterri dans la région du Néguev. Le réacteur n'a pas été touché par le missile "égaré" syrien qui ne s'en est même pas approché. Il s'agissait d'un missile de type SA-5 qui une fois tiré vers un chasseur israélien, s'est écrasé dans la localité de al-Shaitat al-Badaoui. En réponse, l'armée israélienne a attaqué il y a quelque minutes la batterie qui a lancé le missile et d'autres batteries de missiles sol-air en territoire syrien. »
atr
La puissante explosion, selon des colons qui ont eu le temps de témoigner avant que ne tombe le chape de censure médiatique, a été entendu à Abu Qurainat près de Dimona mais aussi à al-Khalil (Hebron), à Qods occupée (Jérusalem) et à Ramallah et tout ceci sur fond des sirènes d'alertes qui ne cessaient de retenir à Kiryat Ono, Modi'in, Rehovot, Be'er Sheva à Dimona entre autres.
Après avoir tenté de faire croire à une attaque aux roquettes depuis Gaza, l'armée israélienne a été forcé de reconnaître qu'aucun engin n'avait pas été tiré depuis le front Sud et qu'au contraire "l'explosion a eu son origine sur le front Nord, à savoir en provenance de la Syrie".
Dans la foulée, les F-16 israéliens qui depuis fin février et l'entrée en action des unités électroniques de la DCA intégrée Syrie-Résistance plantées sur la frontière syro-sud libanaise avec Israel n'osent plus faire leur apparition dans le ciel du sud-Liban par crainte de voir leurs liens GPS totalement coupés, ont apparu dans le ciel du Golan occupé pour tirer en direction leurs fameux missiles de croisière Delilah en direction de l'aéroport de Damas. Peine perdue: la DCA renforcée de l'armée syrienne par des pièces "iraniennes" (Oghab) qui a fait de royales démonstrations de force en février et en mars en faisant systématiquement échec aux raids israéliens, a fait capoter ce raid à Delilah aussi. les cibles au sud de Damas étaient loin d'être ce que l'entité sioniste croyait, à savoir des sites ayant été à l'origine de l'explosion de Néguev.
L'armée israélienne a annoncé par son porte-patrole Avichay Adraee :
« Suite à l'activation de l'alerte, un missile sol-air a été tiré depuis le territoire syrien vers le territoire israélien et a atterri dans la région du Néguev. Le réacteur n'a pas été touché par le missile "égaré" syrien qui ne s'en est même pas approché. Il s'agissait d'un missile de type SA-5 qui une fois tiré vers un chasseur israélien, s'est écrasé dans la localité de al-Shaitat al-Badaoui. En réponse, l'armée israélienne a attaqué il y a quelque minutes la batterie qui a lancé le missile et d'autres batteries de missiles sol-air en territoire syrien. »
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